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Entrées.

MM.

13. 1833. Lacroix, professeur de mathématiques, agentvoyer en chef du département, rue Maurepas, 13.

14. 1834. Rabourdin (Antoine), cultivateur à Villacoublay, près Versailles.

15. 1835. Pigeon (Joseph), ancien cultivateur, à Ver

sailles.

16. 1836. Pasquier fils, cultivateur à Trou-Guyancourt, près Versailles.

17. 1837. Barre, ancien cultivateur, à Paris, rue Mar

18.

19.

20.

21.

22.

23.

24.

25.

tignac, 1.

D'Abzac (le v.), propriétaire à Milon-la-
Chapelle, par Chevreuse.

De Chantelou, membre du Conseil-Général,
propriétaire à Flins, par Meulan.

Le Roy, médecin, rue de la Bibliothèque, 5, à Versailles.

Degeneté (Auguste), cultivateur à Villerat-
Saclay, par Orsay, maître de poste à Ver-
sailles, avenue de Paris, 24.

Thomassin, ancien cultivateur à Pontoise.
Besnard, maître de poste à Pontchartrain.
Leclère, ancien cultiv., à Neauphle-le-Chât.
Chachoin, fermier à Guyancourt.

26. 1839. Barbé (Jules), cultivateur à la ferme de la

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Ménagerie, près Versailles.

Entrées.

MM.

27. 1840. Pluchet, cultivateur à Trappes.

28.

Belin, pharmacien, rue de la Paroisse, 19, à Versailles.

29. 1841. Erambert, prof. de mathémat. à Versailles. 30. 1843. Dailly, cultivateur à Bois-d'Arcy, maître de poste à Paris, rue Pigale, 4.

31.

Liger, médecin-vétérinaire à Neauphle.

32. 1844. Thibierge, ancien pharmacien à Versailles, rue Neuve, 47.

33.

De La Nourais, propriétaire, à Versailles, place Hoche, 2.

34. 1845. Guillemin, propr: à Bazemont, près Maule. Ploix, jurisconsulte, r. Mademoiselle, 7 bis,

35.

36.

37.

38.

à Versailles.

Pigeon (Alexis), cultivateur à Saclay.

Labbé, pharmacien, rue de la Paroisse, 123, à Versailles.

Séguy, directeur des eaux de la liste civile, à Versailles, rue des Bons-Enfants, 1o. 39. 1849. Cugnot, cultivateur, rue de Vergennes, 14, à Versailles.

40.

Marcille, cultivateur à Lisses.

41. 1850. Bella (François), directeur de l'École impériale de Grignon, par Neauphle.

42. 1850. Mozer, médecin-vétérinaire à Versailles, rue des Chantiers, 36.

Entrées.

MM.

43. 1850. Gilbert, cultivateur à Crespières.

44. 1851. Barbé (Augustin), cultivateur à Villepreux. 45. 1852. De Brewvery, membre du Conseil-Général, propriétaire à St.-Germain.

46.

47.

Baron, cultivateur à Trappes.

Richard de Jouvance, ingénieur civil, à Versailles, boulevard de la Reine, 31.

48. 1855. Grosjean, propriétaire à Versailles, rue SaintLouis, 25.

Entrées.

MM.

MEMBRES ASSOCIÉS.

1. 1811. Pigeon (Pierre-Marie), avenue de Paris, 32,

à Versailles.

2. 1835. Jomard, membre de l'Institut, rue Neuve

3.

des-Petits-Champs, 12, à Paris.

Rabourdin, ancien cultivateur à Champlan, par Longjumeau.

4. 1839. Bault, cultivateur à Saint-Aubin.

5.

6.

Fontaine aîné, cult., rue du Bac, 77, à Paris. Blondel, architecte du Département, avenue de Saint-Cloud, 38, à Versailles.

7. 1845. Vavin, ancien Député, à Orsay; à Paris, rue du Regard, 3.

8. 1849. Petit fils, architecte à Versailles.

reau, un V en fer, dont la force est proportionnée à la charge que peut porter la voiture. Ce V est aussi percé à ses extrémités supérieures de trous dans lesquels passe le boulon; par ce moyen le V peut se relever à volonté lorsque l'on veut supprimer le tuteur, qui lui-même joue autour de l'essieu, n'étant arrêté que par un collier.

Ce V, dont la partie inférieure applatie est percée d'un trou, s'enfonce dans une mortaise C, percée dans le tuteur au milieu de la cambrure du sabot; une clavette cheville le tout.

Par ce moyen un cheval peut glisser et se laisser choir, sans que la voiture lui fasse le moindre mal, supportée qu'elle est lors de sa chute sur le sabot, qui alors glisse sur le sol sans rien heurter.

Je crois même que ce tuteur, fait plus large de sabot et se montant et descendant par une crémaillère à trous, au lieu de pitons fixés à la voiture (fig. 3 et 4), servirait seul, en le descendant assez bas, à maintenir le poids de la voiture et à l'enrayer assez par son frottement sur le sol, pour laisser au limonier tous ses moyens d'action dans la direction de la voiture en ces moments difficiles; du moins, dans ce cas, l'enrayage des roues ne fatiguerait plus le limonier.

Si ce système réussissait, il amènerait une grande amélioration dans l'existence des limoniers de tout roulage, et notamment de l'Agriculture. La consommation qui se fait aujourd'hui de ces sortes, de chevaux est effrayante par les accidents et le peu de durée que leur donne notre système de traction, si fatigant pour eux; le poids du tuteur que je propose ne dépasse pas 50 kil.

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