Biographie moderne, ou, Galerie historique, civile, militaire, politique, littéraire et judiciaire: contenant les portraits politiques de Français de l'un et de l'autre sexe, morts ou vivans, qui se sont rendus plus ou moins célèbres, depuis le commencement de la révolution jusqu'à nos jours, par leurs talens, leurs emplois, leurs malheurs, leur courage, leurs vertus ou leurs crimes, Volume 2A. Eymery, 1816 - France |
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... nationale . Il était marchand à Avignon à l'é- poque de la révolution dont il em- brassa la cause , contribua aux malheurs et à la réunion de son pays natal , de- vint maire , puis fut élu en septembre 1792 député des Bouches du Rhône à ...
... nationale . Il était marchand à Avignon à l'é- poque de la révolution dont il em- brassa la cause , contribua aux malheurs et à la réunion de son pays natal , de- vint maire , puis fut élu en septembre 1792 député des Bouches du Rhône à ...
Page 25
... nationale où il vota la mort de Louis XVI . Il se prononça aussi contre les girondins au 31 mai 1793 , et provoqua la mise en accusation de Buzot . Envoyé ensuite à l'armée chargée deréprimer les fédéralistes du Calvados , il se ...
... nationale où il vota la mort de Louis XVI . Il se prononça aussi contre les girondins au 31 mai 1793 , et provoqua la mise en accusation de Buzot . Envoyé ensuite à l'armée chargée deréprimer les fédéralistes du Calvados , il se ...
Page 28
... nationale , etc. Il était avocat à la Guerche à l'épo- que de la révolution dont il se mon- tra le partisan , y devint ensuite juge du tribunal du district , et fut élu en 1792 député du département d'Ille et Vilaine à la convention ...
... nationale , etc. Il était avocat à la Guerche à l'épo- que de la révolution dont il se mon- tra le partisan , y devint ensuite juge du tribunal du district , et fut élu en 1792 député du département d'Ille et Vilaine à la convention ...
Page 31
... nationale . Il était marchand à l'époque de la révolution ; il en embrassa la cause avec chaleur , devint administrateur du dé- partement de la Côte d'Or en 1790 , et fut nommé au mois de septembre 1791 , député suppléant à l'assemblée ...
... nationale . Il était marchand à l'époque de la révolution ; il en embrassa la cause avec chaleur , devint administrateur du dé- partement de la Côte d'Or en 1790 , et fut nommé au mois de septembre 1791 , député suppléant à l'assemblée ...
Page 35
... nationale . Il était avocat à l'époque de la ré- volution dont il embrassa la cause , et fut élu en septembre 1792 député du département de la Manche à la con- vention nationale . Il déclara le 9 dé- cembre qu'il croyait que Louis XVI ...
... nationale . Il était avocat à l'époque de la ré- volution dont il embrassa la cause , et fut élu en septembre 1792 député du département de la Manche à la con- vention nationale . Il déclara le 9 dé- cembre qu'il croyait que Louis XVI ...
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Common terms and phrases
10 août 18 brumaire 9 thermidor armées arrêté avant la révolution avril bataille bientôt Bonaparte camp campagne chef chevalier de Saint-Louis cinq cents colonel comité commandant commissaire COMTE CARNOT condamné à mort conseil des anciens conseil des cinq conseiller d'état convention nationale corps législatif croix de Saint-Louis décret député aux états député du département devint directoire élu en septembre embrassa la cause émigrés ensuite entra envoyé états généraux fonctions garde nationale général de brigade général de division guerre homme jacobins juillet juin l'armée l'assemblée l'époque légion d'hon légion d'honneur législature Louis XVI maréchal mars membre du conseil mème ment militaire ministre mois mort de Louis mourut Napoléon néral neur nommé obtint officier paix passa préfet Premier Consul président prince prit régiment révo Rhin Robespierre royale septembre 1792 député session sion soldats sortit successivement talens tiers état tion tribunal révolutionnaire TRONCHET vint vota la mort
Popular passages
Page 200 - Hollande et du Rhin. Dénués de tout, vous avez suppléé à tout. Vous avez gagné des batailles sans canons, passé des rivières sans ponts, fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain.
Page 307 - L'oppression et l'humiliation du peuple français sont hors de leur pouvoir ! S'ils entrent en France, ils y trouveront leur tombeau. " Soldats ! nous avons des marches forcées à faire, des batailles à livrer, des périls à courir ; mais avec de la constance, la victoire sera à nous; les droits, l'honneur et le bonheur de la patrie seront reconquis ! " Pour tout Français qui a du cœur, le moment est arrivé de vaincre ou de périr.
Page 297 - Soldats, venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef; son existence ne se compose que de la vôtre ; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres; son intérêt , son honneur, sa gloire ne sont autres que votre intérêt, votre honneur et votre gloire.
Page 129 - L'étranger jouira en France des mêmes droits civils que ceux qui sont ou seront accordés aux Français par les traités de la nation à laquelle cet étranger appartiendra.
Page 288 - Voilà la bataille que vous avez tant désirée. Désormais la victoire dépend de vous; elle nous est nécessaire; elle nous donnera l'abondance, de bons quartiers d'hiver et un prompt retour dans la patrie.
Page 221 - N'est-ce pas nous qui avons détruit le pape, qui disait qu'il fallait faire la guerre aux musulmans? N'est-ce pas nous qui avons détruit les chevaliers de Malte , parce que ces insensés croyaient que Dieu voulait qu'ils fissent la guerre aux musulmans?
Page 245 - Soldats d'Italie l un nouveau général vous commande; il fut toujours à l'avant-garde dans les plus beaux jours de votre gloire. Entourez-le de votre confiance, il ramènera la victoire dans vos rangs.
Page 216 - Soldats, matelots, vous avez été jusqu'ici négligés; aujourd'hui la plus grande sollicitude de la république est pour vous: vous serez dignes de l'armée dont vous faites partie. «Le génie de la liberté qui a rendu, dès sa naissance, la république l'arbitre de l'Europe, veut qu'elle le soit des mers et des nations les plus lointaines.
Page 260 - Soldats, lorsque tout ce qui est nécessaire pour assurer le bonheur et la prospérité de notre patrie sera accompli, je vous ramènerai en France : là, vous serez l'objet de mes tendres sollicitudes. Mon peuple vous reverra avec joie, et il vous suffira de dire : J'étais à la bataille d'Austerlitz, pour que l'on vous réponde : Voilà un brave ! — NAPOLÉON : Proclamation à la Grande Armée.
Page 294 - France, prétendraient-ils commander et enchaîner nos aigles, eux qui n'ont jamais pu en soutenir les regards ? Souffrirons-nous qu'ils héritent du fruit de nos glorieux travaux, qu'ils s'emparent de nos honneurs, de nos biens, qu'ils calomnient notre gloire ? Si leur règne durait, tout serait perdu, même le souvenir de ces immortelles journées, avec quel acharnement ils...