Œuvres complètes de Voltaire, Volume 50la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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... n'en étaient pas moins fables . La fête des lupercales attefta le 15 février , pendant neuf cents ans , non - feulement le prodige de la naiffance de Romulus & de Remus , mais encore l'aventure de Faunus , qui prit Hercule pour Omphale ...
... n'en étaient pas moins fables . La fête des lupercales attefta le 15 février , pendant neuf cents ans , non - feulement le prodige de la naiffance de Romulus & de Remus , mais encore l'aventure de Faunus , qui prit Hercule pour Omphale ...
Page 6
... n'en comptait que trois milliars trois cents trente - trois mille . Ils recherchaient fi Ufaphed roi d'Egypte , était fils ou neveu du roi Véneph . Ils ne favaient pourquoi Cayomarat , ou Cayoumaras ayant été le premier roi de Perfe ...
... n'en comptait que trois milliars trois cents trente - trois mille . Ils recherchaient fi Ufaphed roi d'Egypte , était fils ou neveu du roi Véneph . Ils ne favaient pourquoi Cayomarat , ou Cayoumaras ayant été le premier roi de Perfe ...
Page 16
... n'en ont pas eu la force ; car le défir ne leur a pas manqué ; & ce qu'ils ont fait au Japon ne l'a prouvé que trop à leur honte éternelle . Ce n'eft pas ici le lieu de retracer aux yeux épouvantés des lecteurs judicieux ces portraits ...
... n'en ont pas eu la force ; car le défir ne leur a pas manqué ; & ce qu'ils ont fait au Japon ne l'a prouvé que trop à leur honte éternelle . Ce n'eft pas ici le lieu de retracer aux yeux épouvantés des lecteurs judicieux ces portraits ...
Page 23
... n'en régna que treize . Ce livre d'Abdias , écrit en fyriaque , fut traduit en grec par fon difciple nommé Eutrope , & nous l'avons en latin de la traduction de Jules africain , homme favant du troifième fiècle , & prefque un père de l ...
... n'en régna que treize . Ce livre d'Abdias , écrit en fyriaque , fut traduit en grec par fon difciple nommé Eutrope , & nous l'avons en latin de la traduction de Jules africain , homme favant du troifième fiècle , & prefque un père de l ...
Page 33
... n'en " parle que pour montrer l'extravagance de leurs - " prophètes , qui trompaient de vieilles femmes imbé- cilles . Quid de templo fuo dicent , quod cùm tertio fit " everfum , nondum ad hodiernum ufque diem inslauratur ? " Hæc ego ...
... n'en " parle que pour montrer l'extravagance de leurs - " prophètes , qui trompaient de vieilles femmes imbé- cilles . Quid de templo fuo dicent , quod cùm tertio fit " everfum , nondum ad hodiernum ufque diem inslauratur ? " Hæc ego ...
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Common terms and phrases
abfurdes accufé affez affurément ainfi Albéroni Alcoran auffi Bourzeys c'eft c'eſt cardinal de Richelieu cents mille Charlemagne Charles Charles XII chofes compofé confeil confidérables connaiffait d'Etat difcours dire efprit enfans enfuite eſpèce eſt Etats eût évêque fage fang fans doute fauffe favant favoir fe trompe feconde fecret fefait femble fept ferait fervir feul fiècle figné foit foldats Foncemagne font fous fouvent fouverains fuivi fujet fuppofé furtout guerre Henri Henri IV hiftoire hiftoriens hommes imprimé j'ai jamais Jean XXII jéfuites jufqu'à l'abbé l'auteur l'efprit l'Eglife l'Europe l'hiftoire l'hiſtoire laiffé livre lorfque Louis XIV maffacres Mahomet manufcrit Mélanges hift mémoire Monfieur mort n'avait n'eft n'eſt narration fuccincte nations néceffaire non-feulement ouvrage paffer pape parler penfe perfonnes peuple philofophie plufieurs Pologne préfent prefque premier miniftre prince profcription proteftans puiffance qu'un raiſon refte religion romain royaume s'eft ſes Siècle de Louis Suède teftament politique Turcs vérité Voltaire
Popular passages
Page 133 - Cela ejl cher comme poivre , proverbe trop bien fondé fur ce qu'en effet une livre de poivre valait au moins deux marcs d'argent avant les voyages des Portugais. Enfin il fallait ou nous ruiner pour acheter ce fuperflu de nos voiGns , ou nous ruiner un peu moins en allant le chercher nous-mêmes.
Page 285 - Il faut laifler dans l'oubli les auteurs qui fe cachent fous un grand nom, comme ceux qui attaquent tous les jours ce que nous avons de meilleur, qui louent ce que nous avons de plus mauvais , et qui font de la noble profeffion des lettres, un métier auffi lâche et auffi méprifable qu'eux-mêmes.
Page 89 - Hénault , qui dit que la Satire Ménippée ne fut guère moins utile à Henri IV que la bataille d'Ivry ; mais il ajoute peut-être , 8c il fait trèsbien.