Le christianisme et le libre examen: discussion des arguments apologétiques de Grotius, Pascal, Samuel Clarke, Paley, ... etc, Volume 2 |
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Popular passages
Page 323 - Je regarde toutes les religions particulières comme autant d'institutions salutaires qui prescrivent dans chaque pays une manière uniforme d'honorer Dieu par un culte public, et qui peuvent toutes avoir leurs raisons dans le climat , dans le gouvernement, dans le génie du peuple , ou dans quelque autre cause locale qui rend l'une préférable à l'autre, selon les temps et les lieux.
Page 212 - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie ; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait assez reconnaître.
Page 104 - Chose admirable ! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie, fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 133 - Je n'hesite pas & ajouter que, sauf le Christ tout seul, il n'est point, parmi les fondateurs de religion, de figure plus pure ni plus touchante que celle du Bouddha.
Page 348 - La première était d'obéir aux lois et aux coutumes de mon pays, retenant constamment la religion en laquelle Dieu m'a fait la grâce d'être instruit dès mon enfance et me gouvernant en toute autre chose suivant les opinions les plus modérées et les plus éloignées de l'excès qui fussent communément reçues en pratique par les mieux sensés de ceux avec lesquels j'aurais à vivre.
Page 401 - Tarquin serait trop étroit pour donner passage à tant d'immondices. Là , nul autre Dieu que l'intérêt; on y vendrait les peuples, on y vendrait le genre humain, on y vendrait les trois personnes de la sainte Trinité, l'une après l'autre, ou toutes ensemble, pour un coin de terre, ou pour quelques piastres.
Page 140 - Un homme incomparable, si grand que, bien qu'ici tout doive être jugé au point de vue de la science positive, je ne voudrais pas contredire ceux qui, frappés du caractère exceptionnel de son œuvre, l'appellent Dieu...
Page 71 - Si quelqu'un vient à moi, et ne hait pas son père, sa mère, .sa femme, ses enfans, ses frères, ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peut être mon disciple.
Page 370 - Honorez en général tous les fondateurs de vos cultes respectifs; que chacun rende au sien ce qu'il croit lui devoir; mais qu'il ne méprise point ceux des autres. Ils ont eu de grands génies et de grandes vertus : cela est toujours estimable. Ils se sont dits les envoyés de Dieu; cela peut être et n'être pas : c'est de quoi la pluralité ne saurait juger d'une manière uniforme, les preuves n'étant pas également à sa portée.
Page 350 - ... dans vos écrits. Cher Deleyre, défiez-vous de votre esprit satirique; sur-tout apprenez à respecter la religion : l'humanité seule exige ce respect. Les grands, les riches, les heureux du siècle, seroient charmés qu'il n'y eût point de Dieu ; mais l'attente d'une autre vie console de celle-ci le peuple et le misérable. Quelle cruauté de leur ôter encore cet espoir ! Je suis attendri, touché, de tout ce que vous me dites de MG...