Espirit d'Alexandre Vinet: pensées et réflexions extraites de tous ses ouvrages de quelque manuscrits inédits, Volume 1Joël Cherbuliez, 1861 - Religion |
Other editions - View all
Common terms and phrases
aime Alexandre Vinet âme amour besoin Bible bonheur canton de Vaud carac caractère catholicisme catholique cesse chair charité chose chré chrétien Christ christianisme christianisme positif cisme cœur conscience conséquent conviction croire croit croyance culte d'être devoir dire divine doctrine dogme doit doute Église éléments elle-même esprit évan évangélique force forme gloire Henri Durand hommes humaine idée individuelle jamais jésuitisme Jésus Jésus-Christ joie justice l'âme l'amour l'autre l'Église l'esprit l'être l'Évangile l'homme l'humanité l'humilité l'idée l'individu l'obéissance l'œuvre l'œuvre de Dieu l'unité laisser liberté ment mieux monde morale mort mystère n'en nature naturel nécessaire nisme nous-mêmes œuvre pardon parole péché pensée personne philosophie premier principe protestant protestantisme pure qu'à qu'un raison réformation religieuse religion reste révélation rien s'il saint Saint-Esprit Sainte-Beuve salut saurait sauver science sens sentiment serait seul siècle société sorte spirituel symbole système tianisme tion tisme tradition trouve vérité vertu veut Vinet voilà volonté vrai yeux
Popular passages
Page xxiv - ... termes. C'est lui, puissance spirituelle, lien de foi et d'amour, communauté intime et profonde, c'est lui qui prépare la sainte ligue, la confédération sacrée que vous avez rêvée, cette confédération où le catholique, le protestant et le païen régénérés perdent leurs dénominations superficielles, pour n'être tous ensemble que les hérauts de la justice, le sel de la terre, et les messagers de celui qui nous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière.
Page 122 - Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.
Page 36 - Et elle vit deux Anges vêtus de blanc, assis l'un à la tête et l'autre aux pieds, au lieu où le corps de Jésus avait été couché.
Page lxxv - Essais de philosophie morale et de morale religieuse, suivis de quelques essais de critique littéraire, 1837. Paris, chez L. Hachette, libraire de l'Université, rue Pierre Sarrazin, n° 12 ; 1 volume in-8. 4* Nouveaux discours sur quelques sujets religieux (1841). 2°" édition, revue et corrigée, 1842.) Paris, L.-R.
Page viii - Quand une fois on a trouvé le moyen de prendre la multitude par l'appât de la liberté, elle suit en aveugle, pourvu qu'elle en entende seulement le nom.
Page lx - Quand dans un discours se trouvent des mots répétés, et qu'essayant de les corriger, on les trouve si propres qu'on gâterait le discours, il les faut laisser : c'en est la marque, et c'est là la part de l'envie, qui est aveugle et qui ne sait pas que cette répétition n'est pas faute en cet endroit ; car il n'ya point de règle générale.
Page 339 - Croyez à ma parole, sinon croyez aux œuvres que je fais ». « La vérité a ses titres en elle-même ; elle est sa preuve à elle-même ; elle se démontre en se montrant : et le cœur est le miroir de la vérité ; mais ce miroir mal posé, ne réfléchit pas la lumière, jusqu'à ce qu'une main divine l'ait tourné du côté du soleil ; le cœur a besoin d'être incliné ; ce qui reçoit en nous la vérité, ce qui...
Page 385 - Si le grain de blé qui est tombé à terre ne meurt, il demeure seul ; mais s'il meurt, il porte beaucoup de fruits...
Page 319 - Or, la liberté n'étant qu'un moyen, le protestantisme non plus n'est qu'un moyen. On ne se sépare pas pour se séparer, but contradictoire à toutes les indications naturelles et aux intentions visibles de la Providence. On se sépare pour se réunir; l'individualisme doit ramener au socialisme, le protestantisme au vrai catholicisme, la liberté à l'unité.
Page 82 - Car tout ce que Dieu a créé est bon et rien n'est à rejeter, pourvu qu'on le prenne avec actions de grâces ; car c'est sanctifié par la parole de Dieu et la prière.