Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence |
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... mille hommes de trou- pes : il n'y a donc que les grandes nations qui aient des armées . Il n'en étoit pas de même dans les anciennes républiques : car cette proportion des soldats au reste du peuple , qui est aujourd'hui comme d'un à ...
... mille hommes de trou- pes : il n'y a donc que les grandes nations qui aient des armées . Il n'en étoit pas de même dans les anciennes républiques : car cette proportion des soldats au reste du peuple , qui est aujourd'hui comme d'un à ...
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... mille ; Athenes quatre cent tren- te et un mille . Mais ce dénombrement de Rome tombe dans un temps où elle étoit dans la force de son institution ; et celui d'Athenes dans un temps où elle étoit entièrement cor- rompue . On trouva que ...
... mille ; Athenes quatre cent tren- te et un mille . Mais ce dénombrement de Rome tombe dans un temps où elle étoit dans la force de son institution ; et celui d'Athenes dans un temps où elle étoit entièrement cor- rompue . On trouva que ...
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... mille parts ; il en donna trente mille aux autres habitants . Voyez Plu- tarque , vie de Lycurgue , tom . 1 , p . 177 , édit de Cussac . - ( 2 ) Voyez Plutarque , vie d'Agis et de Cléomenes , t.7 , p . 365 .— ( 3 ) Voyez Plutarque ...
... mille parts ; il en donna trente mille aux autres habitants . Voyez Plu- tarque , vie de Lycurgue , tom . 1 , p . 177 , édit de Cussac . - ( 2 ) Voyez Plutarque , vie d'Agis et de Cléomenes , t.7 , p . 365 .— ( 3 ) Voyez Plutarque ...
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... mille hommes de pied et cinq cents che- vaux qu'il avoit ( 2 ) . Ce prince , maître d'un pe- tit état dont on n'a plus entendu parler après lui , étoit un aventurier qui faisoit des entre- prises continuelles , parcequ'il ne pouvoit sub ...
... mille hommes de pied et cinq cents che- vaux qu'il avoit ( 2 ) . Ce prince , maître d'un pe- tit état dont on n'a plus entendu parler après lui , étoit un aventurier qui faisoit des entre- prises continuelles , parcequ'il ne pouvoit sub ...
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... mille hommes de pied et soixante et dix mille de cheval pour opposer aux Gaulois . ( 1 ) Dans le fort de la seconde guerre punique , Rome eut toujours sur pied de vingt - deux à vingt - quatre légions ; cependant il paroît , par Tite ...
... mille hommes de pied et soixante et dix mille de cheval pour opposer aux Gaulois . ( 1 ) Dans le fort de la seconde guerre punique , Rome eut toujours sur pied de vingt - deux à vingt - quatre légions ; cependant il paroît , par Tite ...
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Common terms and phrases
à-peu-près affaires alliés Ammien Marcellin Antiochus Antoine Appien armées auroit avoient ayant barbares bataille de Cannes blique c'étoit Carthage Carthaginois cavalerie César choses Cicéron citoyens Comnene conquêtes Constantin Constantinople consul continuellement coutume crimes d'abord Denys Denys d'Halicarnasse devoit dieux Dion disoit donner empereurs ennemis esclaves établi état étoient étoit Etoliens eurent eût faisoient faisoit falloit firent foiblesse forces fût gens Goths gouvernement grandeur Grecs guerre punique guerres civiles hommes jamais Justinien l'empire légions lois Macédoine magistrats mains malheurs maniere Marius ment Mithridate monde n'avoient n'avoit n'étoient n'y avoit nations paix parcequ'il parceque paroît Parthes patriciens pays Perses peuple romain peuples d'Italie Plutarque Polybe Pompée pouvoient pouvoit premiere presque prince Priscus Procope provinces puissance regne religion rent république rois Rome seconde guerre punique sénat seroit seul soldats Sylla Syrie temps-là terre Tibere tion Tite-Live toyens tribuns troupes tyrannie Végece victoire vouloit Voyez Zosime
Popular passages
Page 82 - Demander, dans un État libre , des gens hardis dans la guerre et timides dans la paix , c'est vouloir des choses impossibles ; et, pour règle générale, toutes les fois qu'on verra tout le monde tranquille dans un État qui se donne le nom de république, on peut être assuré que la liberté n'y est pas.
Page 167 - Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui agissent dans chaque monarchie, l'élèvent, la maintiennent, ou la précipitent ; tous les accidents sont soumis à ces causes...
Page 97 - D'ailleurs, dans les guerres civiles, il se forme souvent de grands hommes, parce que dans la confusion ceux qui ont du mérite se font jour, chacun se place et se met à son rang; au lieu que dans les autres temps on est placé, et on l'est presque toujours tout de travers.
Page 95 - César; mais cet homme extraordinaire avait tant de grandes qualités, sans pas un défaut, quoiqu'il eût bien des vices , qu'il eût été bien difficile que , quelque armée qu'il eût commandée, il n'eût été vainqueur, et qu'en quelque république qu'il fût né, il ne l'eût gouvernée.
Page 35 - D'un autre côté, le consul Térentius Varron avoit fui honteusement jusqu'à Venouse : cet homme, de la plus basse naissance, n'avoit été élevé au consulat que pour mortifier la noblesse. Mais le sénat ne voulut pas jouir de ce malheureux triomphe : il vit combien il...
Page 79 - Ce qui fait que les États libres durent moins que les autres , c'est que les malheurs et les succès qui leur arrivent leur font presque toujours perdre la liberté ; au lieu que les succès et les malheurs d'un État où le peuple est soumis confirment également sa servitude. Une république sage ne doit rien hasarder qui l'expose à la bonne ou à la mauvaise fortune : le seul bien auquel elle doit aspirer, c'est à la perpétuité de son Etat. Si la grandeur de l'empire perdit la république...
Page 27 - Il n'ya rien de si puissant qu'une république où l'on observe les lois, non pas par crainte, non pas par raison, mais par passion, comme furent Rome et Lacédémone ; car pour lors il se joint à la sagesse d'un bon gouvernement toute la force que pourroit avoir une -faction.
Page 35 - Ce n'est pas ordinairement la perte réelle que l'on fait dans une bataille (c'est-à-dire celle de quelques milliers d'hommes), qui est funeste à un État; mais la perte imaginaire et le découragement, qui le privent des forces mêmes que la fortune lui avoit laissées. Il ya des choses que tout le monde dit, parce qu'elles ont été dites une fois.
Page 3 - Dans la naissance des sociétés, dit Montesquieu, ce sont les chefs des républiques qui font l'institution, et c'est ensuite l'institution qui forme les chefs des républiques.
Page 227 - Je ne sentis point devant lui le désordre où nous jette ordinairement la présence des grands hommes, et, dès que nous fûmes seuls : " Sylla," lui dis-je, " vous vous êtes donc mis vous-même dans cet état de médiocrité qui afflige presque tous les humains ; vous avez renoncé...