la penfée qui précéde, & en terminer le fens d'une maniére naturelle : & il plaît fur-tout, quand, représentant les mêmes mots, il préfente des idées un peu différentes, comme dans celui-ci de Malleville. Coeffé d'un froc bien rafiné, Ce n'eft pas que frere René Qu'il foit docte, qu'il fache écrire; Ni qu'il dife le mot pour rire: Le Triolet eft une espèce de Rondeau, dont la beauté confifte dans le retour de la même penfée pour faire partie d'une autre pensée. Le premier jour du mois de mai Le beau deffein que je formai, Fut le plus heureux de ma vie. Rien n'eft fi doux ni fi naïf. Cependant les régles font dures & auftéres: c'eft-là ce qui en fait le mérite. Fin du troifiéme Volume. TABLE TABLE Cdes hommes pour les Drames. HAP. I. Sur quoi eft fondé le goût Pag. ij. viij. CHAP. II. Definition du Drame en ge- ..néral. CHAP. III. Du Vraisemblable Drama- tique. CHAP. IV. Des trois Unités. XXV CHAP. V. Style de la Poëfie dramatique. Du Dialogue. xl. CHAP. VI. Idee des Décorations Théa trales des Anciens, de leurs Habits, deur Déclamation. CHAP. VI. Des Acteurs. 2 xly lij T SECONDE PARTIE. DE LA TRAGÉDIE. HAP. I. Ce que c'est que CHAP. II. Ce que c'eft qu'Action heroi que. la Tra 1xij. Ixvij. gique. lxxij. Ixxxvij. CHAP. III. Ce qui rend une action tra CHAP. IV. Quelle peut être la fin mo rale de la Tragédie. CHAP. V. De la Tragédie Greoque, cij, CHAP. VI. Analyfe de l'Oedipe de Sophocle. CHAP. VII. De la Tragédie Françoise. cxlv. CHAP. VIII. Parallèle de l'Héraclius de Corneille & de l'Athalie de Racine. cl. TROISIEME PARTIE. DE LA COMÉDIE. CHAP. 1. Ce que c'eft que le Comi que. clxxxxvij. CHAP. II. Hiftoire abrégée de la Comé ¿civ. die. CHAP. III. Caractères d'Ariftophane, de Plaute, de Térence & de Moliére, |