Chansons nationales et populaires de France: accompagnées de notes historiques et littéraires, Volume 1 |
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... pauvre me- nuisier avait fait flèches de tout bois pour se rendre à Paris , ce qui fit dire à un de ses confrères en poésie : Mon cher Adam , je crois que vos chevilles Boucheront plus d'un trou . La chanson ne pouvait manquer de se ...
... pauvre me- nuisier avait fait flèches de tout bois pour se rendre à Paris , ce qui fit dire à un de ses confrères en poésie : Mon cher Adam , je crois que vos chevilles Boucheront plus d'un trou . La chanson ne pouvait manquer de se ...
Page xxxiv
... Pauvre Diable , les deux Edmond , la Belle au bois dormant , Gaspard l'Avisé . Joly était alors le comique en ré- putation du Vaudeville . Une troisième phase fit connaître de jeunes auteurs qui suivirent les traces de leurs ...
... Pauvre Diable , les deux Edmond , la Belle au bois dormant , Gaspard l'Avisé . Joly était alors le comique en ré- putation du Vaudeville . Une troisième phase fit connaître de jeunes auteurs qui suivirent les traces de leurs ...
Page 8
... pauvres mères de Savoie , Nous le chassons loin du pays . En lui disant : Adieu ! A la grâce de Dieu ! ... Adieu ! à la grâce de Dieu ! ... Ici commence ton voyage ; Si tu n'allais pas revenir ! ... Ta pauvre mère est sans courage ...
... pauvres mères de Savoie , Nous le chassons loin du pays . En lui disant : Adieu ! A la grâce de Dieu ! ... Adieu ! à la grâce de Dieu ! ... Ici commence ton voyage ; Si tu n'allais pas revenir ! ... Ta pauvre mère est sans courage ...
Page 11
... pauvre petite , As - tu froid ? entre vite Au noir donjon . Tu t'envoles , j'y songe , C'est que tout est mensonge , Espoir heurté . Il n'est dans cette vie Qu'un bien digne d'envie , La liberté . Attribuée à M. de Peyronnet . La ...
... pauvre petite , As - tu froid ? entre vite Au noir donjon . Tu t'envoles , j'y songe , C'est que tout est mensonge , Espoir heurté . Il n'est dans cette vie Qu'un bien digne d'envie , La liberté . Attribuée à M. de Peyronnet . La ...
Page 14
... PAUVRE JACQUES . 1776 . Pauvre Jacques , quand j'étais près de toi , Je ne sentais pas ma misère ; Mais à présent que tu vis loin de moi , Je manque de tout sur la terre . ( bis . ) Quand tu venais partager mes travaux , Je trouvais ma ...
... PAUVRE JACQUES . 1776 . Pauvre Jacques , quand j'étais près de toi , Je ne sentais pas ma misère ; Mais à présent que tu vis loin de moi , Je manque de tout sur la terre . ( bis . ) Quand tu venais partager mes travaux , Je trouvais ma ...
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Common terms and phrases
Adieu aime Air ancien amant âme amis amours Armand Gouffé Bacchus BARATEAU belle bergère boire bon roi Dagobert bonheur boulevart Cadet Rousselle Carabi Caveau moderne chanson chansonniers chante charmante cher ciel cieux Clé du Caveau cœur couplets Crevel de Charlemagne danse demain Désaugiers Dieu douce doux éditeur enfant femme fille fillette fils fleurs gaîté gentille gloire Gustave Lemoine hélas heureux j'aime jamais Javotte jeune jolie joyeux l'amour l'auteur des paroles Lisette loin Louis Festeau madame marmotte Meissonnier Mélesville mère mironton monsieur mourir musique nuit oiseaux opéra-comique p'tit p'tit bleu Paroles d'un anonyme passage du Grand-Cerf passe patrie pauvre père plaisir plaisirs pleurs qu'un refrain rêve rien romance rose rue Dauphine rue Vivienne sage saint saint Éloi seul soir soupire t'aime tendre théâtre Tic et tic trin trouve notée V'là vaudeville versez du vin veux vieux village vin à quat Voilà vois voix yeux
Popular passages
Page 51 - Allons enfants de la Patrie Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé...
Page 255 - BŒUFS J'ai deux grands bœufs dans mon étable, Deux grands bœufs blancs, marqués de roux ; La charrue est en bois d'érable, L'aiguillon en branche de houx ; C'est par leurs soins qu'on voit la plaine Verte l'hiver, jaune l'été ; Ils gagnent dans une semaine Plus d'argent qu'ils n'en ont coûté. S'il me fallait les vendre, J'aimerais mieux me pendre ; J'aime Jeanne ma femme, eh bien ! j'aimerais mieux La voir mourir, que voir mourir mes bœufs.
Page ix - Les lois de la mort sont fatales Aussi bien aux maisons royales Qu'aux taudis couverts de roseaux, Tous nos jours sont sujets aux Parques, Ceux des bergers et des monarques Sont coupés des mêmes ciseaux.
Page 51 - Grand Dieu! par des mains enchaînées, Nos fronts sous le joug se ploieraient: De vils despotes deviendraient Les maîtres de nos destinées! Aux armes, citoyens! etc... IV Tremblez, tyrans! et vous, perfides, L'opprobre de tous les partis, Tremblez! vos projets parricides Vont enfin recevoir leur prix!
Page xli - Combien j'ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance ! Ma sœur, qu'ils étaient beaux les jours De France ! O mon pays, sois mes amours Toujours ! Te souvient-il que notre mère, Au foyer de notre chaumière, Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère ; Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux. Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore ? Et de cette tant vieille...
Page 52 - La victoire en chantant nous ouvre la barrière ; La liberté guide nos pas, Et du nord au midi la trompette guerrière A sonné l'heure des combats. Tremblez, ennemis de la France, Rois ivres de sang et d'orgueil ! Le peuple souverain s'avance ; Tyrans, descendez au cercueil.
Page 60 - Ah ! ça ira, ça ira, ça ira, Le peuple en ce jour sans cesse répète, Ah ! ça ira, ça ira, ça ira. Malgré les mutins tout réussira.
Page 105 - Messieurs, je vous proteste Que j'ai bien du malheur : Jamais je ne m'arrête, Ni ici ni ailleurs ; Par beau ou mauvais temps, Je marche incessamment.
Page 57 - Sur le fer, devant Dieu, nous jurons à nos pères, A nos épouses, à nos sœurs, A nos représentants, à nos fils, à nos mères, D'anéantir les oppresseurs. En tous lieux, dans la nuit profonde Plongeant la féodalité, Les Français donneront au monde Et la paix et la liberté.
Page 318 - Reporte-lui ces fleurs sanglantes , De mon cœur le plus cher trésor, Et laisse mes lèvres mourantes Les baiser une fois encor. En disant ces mots il expire. Alphonse, accablé de douleur, Prend le bouquet, et s'en va dire A sa fille l'affreux malheur.