Lycée: ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 5P. Pourrat frères, 1839 - Bible |
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... théâtre les Euripide et les Sophocle , et que dans les jeux olympiques elle décernait des palmes au courage , à l'adresse , à la force , au son de la lyre de Pin- dare , que nous avons retrouvée depuis dans les mains de cet heureux ...
... théâtre les Euripide et les Sophocle , et que dans les jeux olympiques elle décernait des palmes au courage , à l'adresse , à la force , au son de la lyre de Pin- dare , que nous avons retrouvée depuis dans les mains de cet heureux ...
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... théâtre de cette heureuse révolution . Elle s'étendit à tous les genres , grâces à l'influence bienfaisante des Médicis , qui tout - puissans dans Florence et dans Rome , y recueillirent les arts bannis de Constantinople par les armes ...
... théâtre de cette heureuse révolution . Elle s'étendit à tous les genres , grâces à l'influence bienfaisante des Médicis , qui tout - puissans dans Florence et dans Rome , y recueillirent les arts bannis de Constantinople par les armes ...
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... théâtre français , devenu depuis le pre- mier du monde , n'existait pas . Amyot en prose et Marot en poésie se distinguaient surtout par un caractère de naïveté qui est encore senti au- jourd'hui parmi nous ; mais la noblesse et la ré ...
... théâtre français , devenu depuis le pre- mier du monde , n'existait pas . Amyot en prose et Marot en poésie se distinguaient surtout par un caractère de naïveté qui est encore senti au- jourd'hui parmi nous ; mais la noblesse et la ré ...
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... théâtre , au moment où Corneille donnait le Cid et Cinna . D'un autre côté , les romanciers espagnols , dont Cervantes se moquait si agréablement dans son pays , mais qu'on admirait dans le nôtre , nous avaient accou tumés à donner aux ...
... théâtre , au moment où Corneille donnait le Cid et Cinna . D'un autre côté , les romanciers espagnols , dont Cervantes se moquait si agréablement dans son pays , mais qu'on admirait dans le nôtre , nous avaient accou tumés à donner aux ...
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... théâtres , parce qu'enfin il faut du nouveau , et que rien ne paraît plus neuf à la multitude que ce qui était usé il y a cent ans . Le style , qui tient beaucoup plus qu'on ne croit communément au caractère général de la compo- sition ...
... théâtres , parce qu'enfin il faut du nouveau , et que rien ne paraît plus neuf à la multitude que ce qui était usé il y a cent ans . Le style , qui tient beaucoup plus qu'on ne croit communément au caractère général de la compo- sition ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 365 - Mais je veux que ma mort te soit même inutile. Ne crois pas qu'en mourant je te laisse tranquille Rome , ce ciel , ce jour que tu reçus de moi , Partout , à tout moment , m'offriront devant toi. Tes remords te suivront comme autant de furies ; Tu croiras les calmer par d'autres barbaries.
Page 345 - Digne objet de leur crainte ! Un enfant malheureux, qui ne sait pas encor que Pyrrhus est son maître, et qu'il est fils d'Hector.
Page 195 - Demandait à l'ardeur d'un généreux courage : Tu n'as fait le devoir que d'un homme de bien ; Mais aussi , le faisant , tu m'as appris le mien. Ta funeste valeur m'instruit par ta victoire ; Elle a vengé ton père et soutenu ta gloire : Même soin me regarde , et j'ai , pour m'affliger, Ma gloire à soutenir, et mon père à venger. Hélas! ton intérêt ici me désespère.
Page 99 - TIRCIS, il faut penser à faire la retraite ; La course de nos jours est plus qu'à demi faite , L'âge insensiblement nous conduit à la mort : Nous avons assez vu sur la mer de ce monde Errer au gré des flots notre nef vagabonde ; II est temps de jouir des délices du port.
Page 131 - La plupart , emportés d'une fougue insensée , Toujours loin du droit sens vont chercher leur pensée. Ils croiraient s'abaisser, dans leurs vers monstrueux , S'ils pensaient ce qu'un autre a pu penser comme eux.
Page 115 - M'incite à la révolte et me promet secours, Mais lorsqu'à mon besoin je me veux servir d'elle. Après beaucoup de peine et d'efforts impuissants, Elle dit qu'Uranie est seule aimable et belle, £| Et m'y rengage plus que ne font tous mes sens.
Page 374 - Seigneur, j'ai tout prévu pour une mort si juste : Le poison est tout prêt. La fameuse Locuste A redoublé pour moi ses soins officieux : Elle a fait expirer un esclave à mes yeux; Et le fer est moins prompt, pour trancher une vie, Que le nouveau poison que sa main me confie.
Page 295 - Son bras ne dompte point de peuples ni de lieux Dont il ne rende hommage au pouvoir de mes yeux, Et, de la même main dont il quitte l'épée Fumante encor du sang des amis de Pompée, II trace des soupirs, et d'un style plaintif Dans son champ de victoire il se dit mon captif.
Page 338 - Lui laissait le regret de mourir ma victime ! Va le trouver : dis-lui qu'il apprenne à l'ingrat Qu'on l'immole à ma haine, et non pas à l'État. Chère Cléone, cours : ma vengeance est perdue , S'il ignore en mourant que c'est moi qui le tue.
Page 323 - Je ne sais pas pourquoi l'on vante l'Alexandre, Ce n'est qu'un glorieux qui ne dit rien de tendre. Les héros chez Quinault parlent bien autrement, Et jusqu'à : «Je vous hais», tout s'y dit tendrement.