Lycée: ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 5P. Pourrat frères, 1839 - Bible |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 12
... l'un des caractères distinctifs des siècles qui ont fait époque dans l'histoire des lettres ? Celle où je m'arrête en ce moment présente une observation qu'il ne faut pas omettre : c'est la supériorité des Grecs sur les Latins . Ceux ...
... l'un des caractères distinctifs des siècles qui ont fait époque dans l'histoire des lettres ? Celle où je m'arrête en ce moment présente une observation qu'il ne faut pas omettre : c'est la supériorité des Grecs sur les Latins . Ceux ...
Page 28
... l'un , dans un poëme d'ailleurs monstrueux , et rempli d'extra- vagances que la manie paradoxale de notre siècle a pu seule justifier et préconiser , a répandu une foule de beautés de style et d'expressions , qui devaient être vivement ...
... l'un , dans un poëme d'ailleurs monstrueux , et rempli d'extra- vagances que la manie paradoxale de notre siècle a pu seule justifier et préconiser , a répandu une foule de beautés de style et d'expressions , qui devaient être vivement ...
Page 30
... l'une des plus belles et des plus ingénieuses de l'esprit humain . Si , dans l'application des procédés de cet art ... un des principes originels , un des caractères dis- tinctifs de l'esprit révolutionnaire , qui est descendu si fort ...
... l'une des plus belles et des plus ingénieuses de l'esprit humain . Si , dans l'application des procédés de cet art ... un des principes originels , un des caractères dis- tinctifs de l'esprit révolutionnaire , qui est descendu si fort ...
Page 39
... une occasion de re- dire à ce siècle frivole et hautain , qu'il n'y a aucun mérite à mépriser tout , mais qu'il y en a ... l'un qui a fait oublier le Boyardo et le Pulci , en immortalisant leurs fictions qu'il embellissait des charmes de ...
... une occasion de re- dire à ce siècle frivole et hautain , qu'il n'y a aucun mérite à mépriser tout , mais qu'il y en a ... l'un qui a fait oublier le Boyardo et le Pulci , en immortalisant leurs fictions qu'il embellissait des charmes de ...
Page 47
... l'un , malgré ses erreurs , regardé comme le bienfaiteur des sciences auxquelles il consacra son temps et sa fortune , l'autre , nommé par les savans le légis- lateur de l'astronomie et le digne précurseur de Newton , dédommagèrent leur ...
... l'un , malgré ses erreurs , regardé comme le bienfaiteur des sciences auxquelles il consacra son temps et sa fortune , l'autre , nommé par les savans le légis- lateur de l'astronomie et le digne précurseur de Newton , dédommagèrent leur ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
acte aime amour Andromaque arts assez beau beautés belle Boileau Britannicus Burrhus caractère César Chimène chose Cinna cœur Corneille crime Curiaces d'Andromaque d'Auguste d'Hermione défauts diction dire doit donner dramatique Émilie ennemis esprit Félix Fontenelle frère génie genre gloire goût Grecs hémistiche Héraclius Hermione Hérode heureux homme Horaces idées imité j'ai jamais Jodelle jours Junie l'amour l'art l'auteur l'autre l'esprit langage langue long-temps Louis XIV malheureux Mariamne Marot ment mérite monde morceaux mort Narcisse NÉARQUE neille Néron Nicomède noble ouvrages parler passion Pauline pense père personnages pièce poëme poésie poëte poétique Polyeucte Pompée premier prince Pyrrhus qu'un Racan Racine raison reste rien rime Rodrigue rôle Romains Rome Ronsard s'il Sabine sang scène semble Sénèque sentimens sentiment serait Sertorius seul siècle sonnet Sophonisbe sort spectateur style sublime succès sujet Syphax talent théâtre tion tragédie tragique trouve tyran venger vérité versification veut Viriate Voilà Voltaire vrai yeux
Popular passages
Page 365 - Mais je veux que ma mort te soit même inutile. Ne crois pas qu'en mourant je te laisse tranquille Rome , ce ciel , ce jour que tu reçus de moi , Partout , à tout moment , m'offriront devant toi. Tes remords te suivront comme autant de furies ; Tu croiras les calmer par d'autres barbaries.
Page 345 - Digne objet de leur crainte ! Un enfant malheureux, qui ne sait pas encor que Pyrrhus est son maître, et qu'il est fils d'Hector.
Page 195 - Demandait à l'ardeur d'un généreux courage : Tu n'as fait le devoir que d'un homme de bien ; Mais aussi , le faisant , tu m'as appris le mien. Ta funeste valeur m'instruit par ta victoire ; Elle a vengé ton père et soutenu ta gloire : Même soin me regarde , et j'ai , pour m'affliger, Ma gloire à soutenir, et mon père à venger. Hélas! ton intérêt ici me désespère.
Page 99 - TIRCIS, il faut penser à faire la retraite ; La course de nos jours est plus qu'à demi faite , L'âge insensiblement nous conduit à la mort : Nous avons assez vu sur la mer de ce monde Errer au gré des flots notre nef vagabonde ; II est temps de jouir des délices du port.
Page 131 - La plupart , emportés d'une fougue insensée , Toujours loin du droit sens vont chercher leur pensée. Ils croiraient s'abaisser, dans leurs vers monstrueux , S'ils pensaient ce qu'un autre a pu penser comme eux.
Page 115 - M'incite à la révolte et me promet secours, Mais lorsqu'à mon besoin je me veux servir d'elle. Après beaucoup de peine et d'efforts impuissants, Elle dit qu'Uranie est seule aimable et belle, £| Et m'y rengage plus que ne font tous mes sens.
Page 374 - Seigneur, j'ai tout prévu pour une mort si juste : Le poison est tout prêt. La fameuse Locuste A redoublé pour moi ses soins officieux : Elle a fait expirer un esclave à mes yeux; Et le fer est moins prompt, pour trancher une vie, Que le nouveau poison que sa main me confie.
Page 295 - Son bras ne dompte point de peuples ni de lieux Dont il ne rende hommage au pouvoir de mes yeux, Et, de la même main dont il quitte l'épée Fumante encor du sang des amis de Pompée, II trace des soupirs, et d'un style plaintif Dans son champ de victoire il se dit mon captif.
Page 338 - Lui laissait le regret de mourir ma victime ! Va le trouver : dis-lui qu'il apprenne à l'ingrat Qu'on l'immole à ma haine, et non pas à l'État. Chère Cléone, cours : ma vengeance est perdue , S'il ignore en mourant que c'est moi qui le tue.
Page 323 - Je ne sais pas pourquoi l'on vante l'Alexandre, Ce n'est qu'un glorieux qui ne dit rien de tendre. Les héros chez Quinault parlent bien autrement, Et jusqu'à : «Je vous hais», tout s'y dit tendrement.