Lycée: ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 5P. Pourrat frères, 1839 - Bible |
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Page 12
... beautés frappantes sont mêlées d'affectation , d'ob- scurité et d'enflure . Saint Cyprien qui l'avait pris pour modèle , en a conservé le caractère , mais également affaibli dans les beautés et dans les dé- fauts . Saint Ambroise a ...
... beautés frappantes sont mêlées d'affectation , d'ob- scurité et d'enflure . Saint Cyprien qui l'avait pris pour modèle , en a conservé le caractère , mais également affaibli dans les beautés et dans les dé- fauts . Saint Ambroise a ...
Page 28
... beautés de style et d'expressions , qui devaient être vivement senties par ses compatriotes , et même quelques morceaux assez généralement beaux pour être admirés par toutes les nations . L'autre , né peut - être avec moins de génie ...
... beautés de style et d'expressions , qui devaient être vivement senties par ses compatriotes , et même quelques morceaux assez généralement beaux pour être admirés par toutes les nations . L'autre , né peut - être avec moins de génie ...
Page 44
... beautés et les défauts de Lope et de Caldéron , mais qui , sans porter l'art plus loin qu'eux , l'emporta sur eux par un talent naturel , quelquefois élevé jusqu'au sublime des pensées , à l'éloquence des passions . fortes , à l'énergie ...
... beautés et les défauts de Lope et de Caldéron , mais qui , sans porter l'art plus loin qu'eux , l'emporta sur eux par un talent naturel , quelquefois élevé jusqu'au sublime des pensées , à l'éloquence des passions . fortes , à l'énergie ...
Page 53
... beautés de tous les temps , a conservé des droits sur la postérité , en même temps qu'il enseignait à nos aïeux le rhythme qui convient à notre ver- sification , les règles essentielles de nos différens mètres et l'art de les entremêler ...
... beautés de tous les temps , a conservé des droits sur la postérité , en même temps qu'il enseignait à nos aïeux le rhythme qui convient à notre ver- sification , les règles essentielles de nos différens mètres et l'art de les entremêler ...
Page 54
... beautés . Quand les Romains demandèrent aux Grecs des leçons de poésie et d'éloquence , le goût des maîtres était assez parfait pour ne pas égarer les disciples . Mais l'Italie et l'Espagne , qui donnaient encore le ton à toute l'Europe ...
... beautés . Quand les Romains demandèrent aux Grecs des leçons de poésie et d'éloquence , le goût des maîtres était assez parfait pour ne pas égarer les disciples . Mais l'Italie et l'Espagne , qui donnaient encore le ton à toute l'Europe ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 365 - Mais je veux que ma mort te soit même inutile. Ne crois pas qu'en mourant je te laisse tranquille Rome , ce ciel , ce jour que tu reçus de moi , Partout , à tout moment , m'offriront devant toi. Tes remords te suivront comme autant de furies ; Tu croiras les calmer par d'autres barbaries.
Page 345 - Digne objet de leur crainte ! Un enfant malheureux, qui ne sait pas encor que Pyrrhus est son maître, et qu'il est fils d'Hector.
Page 195 - Demandait à l'ardeur d'un généreux courage : Tu n'as fait le devoir que d'un homme de bien ; Mais aussi , le faisant , tu m'as appris le mien. Ta funeste valeur m'instruit par ta victoire ; Elle a vengé ton père et soutenu ta gloire : Même soin me regarde , et j'ai , pour m'affliger, Ma gloire à soutenir, et mon père à venger. Hélas! ton intérêt ici me désespère.
Page 99 - TIRCIS, il faut penser à faire la retraite ; La course de nos jours est plus qu'à demi faite , L'âge insensiblement nous conduit à la mort : Nous avons assez vu sur la mer de ce monde Errer au gré des flots notre nef vagabonde ; II est temps de jouir des délices du port.
Page 131 - La plupart , emportés d'une fougue insensée , Toujours loin du droit sens vont chercher leur pensée. Ils croiraient s'abaisser, dans leurs vers monstrueux , S'ils pensaient ce qu'un autre a pu penser comme eux.
Page 115 - M'incite à la révolte et me promet secours, Mais lorsqu'à mon besoin je me veux servir d'elle. Après beaucoup de peine et d'efforts impuissants, Elle dit qu'Uranie est seule aimable et belle, £| Et m'y rengage plus que ne font tous mes sens.
Page 374 - Seigneur, j'ai tout prévu pour une mort si juste : Le poison est tout prêt. La fameuse Locuste A redoublé pour moi ses soins officieux : Elle a fait expirer un esclave à mes yeux; Et le fer est moins prompt, pour trancher une vie, Que le nouveau poison que sa main me confie.
Page 295 - Son bras ne dompte point de peuples ni de lieux Dont il ne rende hommage au pouvoir de mes yeux, Et, de la même main dont il quitte l'épée Fumante encor du sang des amis de Pompée, II trace des soupirs, et d'un style plaintif Dans son champ de victoire il se dit mon captif.
Page 338 - Lui laissait le regret de mourir ma victime ! Va le trouver : dis-lui qu'il apprenne à l'ingrat Qu'on l'immole à ma haine, et non pas à l'État. Chère Cléone, cours : ma vengeance est perdue , S'il ignore en mourant que c'est moi qui le tue.
Page 323 - Je ne sais pas pourquoi l'on vante l'Alexandre, Ce n'est qu'un glorieux qui ne dit rien de tendre. Les héros chez Quinault parlent bien autrement, Et jusqu'à : «Je vous hais», tout s'y dit tendrement.