Un provincial à Paris: pendant une partie de l'année 1789

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Imprimerie de la Société Typographique, 1790 - 258 pages

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Popular passages

Page 55 - Je sais mes perfidies, Œnone, et ne suis point de ces femmes hardies Qui, goûtant dans le crime une tranquille paix, Ont su se faire un front qui ne rougit jamais.
Page 151 - Un Lièvre en son gîte songeait (Car que faire en un gîte, à moins que l'on ne songe ?) ; Dans un profond ennui ce Lièvre se plongeait : Cet animal est triste, et la crainte le ronge.
Page 221 - L'illusion de la plupart des nobles est de croire que leur noblesse est en eux un caractère naturel.
Page 181 - ... qui les dicta , par conséquent également injustes et absurdes. Nous ne verrons plus la naissance prendre la place de l'esprit ; nous n'apprendrons plus , avec indignation , que l'écrivain supérieur se trouve forcé à des démarches souvent indignes de lui. De bons ouvrages deviendront les seuls titres...
Page 181 - Saint-Pierre, vous serez enlevé à votre retraite , non pour prononcer de fastidieux éloges, mille fois rebattus, mais pour couronner la statue du bienfaiteur des Français : l'homme de génie , prenant en' main le flambeau de l'amitié , parlera dignement de Rousseau.
Page 149 - Le peuple court chaque dimanche chercher à la guinguette le délassement du travail excessif de la semaine. La fatigue , le besoin , le chagrin , ne lui permettent pas de goûtçr des plaisirs tranquilles.

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