Histoire d'Italie, de 1789 à 1814, Volume 1P. Dufart, 1824 - Italy |
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alliés Alpes Anglais Argenteau armée armes artillerie attaquer Autrichiens avaient bataille Beaulieu Binasco Buonaparte c'était çais cavalerie Ceva Codogno col de Tende comté de Nice confédérés convention nationale Corse Cosseria côté défense Dego desseins devait directoire division ecclésiastiques enfin ennemi espérances états états vénitiens eût événemens Fombio force forteresses fortune Fran fureur gauche général Gênes gouvernemens gouvernement grand-duc guerre hommes Italie l'aile l'Angleterre l'armée française l'artillerie l'Autriche l'empereur l'ennemi l'Italie Léopold liberté Livourne Lombardie long-temps Magliani Masséna menaces ment Milan mille ministre modération mont montagnes Montenotte mouvemens n'avait n'était Naples nation neutralité nobles Oneglia opinions paix Paoli passage péril peuple Pézare Piémont piémontaise port position pouvait prince puissance redoute réformes répu républicains république république de Gênes résolution Rome route royale royaume s'emparer s'était salut Sardaigne Savoie secours sénat seulement soldats surtout taient territoire tion Toscane Toulon troupes trouvait Turin vaisseaux vallée Venise Vénitiens victoire voulait
Popular passages
Page 433 - Capitole , y placer avec honneur les statues des héros qui le rendirent célèbre ; réveiller le peuple romain engourdi par plusieurs siècles d'esclavage ; tel sera le fruit de vos victoires ; elles feront époque dans la postérité ; vous aurez la gloire immortelle de changer la face de la plus belle partie de l'Europe.
Page 432 - ... dans toutes les communes de la République. Là, vos pères, vos mères, vos épouses, vos sœurs, vos amantes se réjouissent de vos succès et se vantent avec orgueil de vous appartenir. Oui , soldats, vous avez beaucoup fait; mais ne vous reste-t-il donc plus rien à faire?
Page 432 - Soldats ! vous vous êtes précipités comme un torrent du haut de l'Apennin ; vous avez culbuté, dispersé, tout ce qui s'opposait à votre marche. Le Piémont, délivré de la tyrannie autrichienne, s'est livré à ses sentiments naturels de paix et d'amitié pour la France. Milan est à vous, et le pavillon républicain flotte dans toute la Lombardie. Les ducs de Parme et de Modène ne doivent leur existence politique qu'à votre générosité. L'armée qui vous menaçait...
Page 405 - ... c'est de réprimer les pillages horribles auxquels se portent des scélérats suscités par nos ennemis. Sans cela , vous ne seriez pas les libérateurs des peuples , vous en seriez les fléaux ; vous ne seriez pas l'honneur du peuple français, il vous désavouerait. Vos victoires, votre courage , vos succès , le sang de nos frères morts aux combats, tout serait perdu, même l'honneur et la gloire.
Page 405 - Amis, je vous la promets, cette conquête, mais il est une condition qu'il faut que vous juriez de remplir, c'est de respecter les peuples que vous délivrez, c'est de réprimer les pillages horribles auxquels se portent des scélérats suscités par nos ennemis, sans cela vous ne seriez...
Page 433 - Hé bien ! partons: nous avons encore des marches forcées à faire, des ennemis à soumettre, des lauriers à cueillir, des injures à venger. Que ceux qui ont aiguisé les poignards de la guerre civile en France, qui ont lâchement assassiné nos ministres, incendié nos vaisseaux à Toulon >2, tremblent ! ... l'heure de la vengeance a sonné.
Page 432 - ... célébrée dans toutes les communes de la république. Là, vos pères, vos mères, vos épouses, vos sœurs, vos amantes, se réjouissent de vos succès, et se vantent avec orgueil de vous appartenir. Oui, soldats, vous avez beaucoup fait ; ... mais ne vous reste-t-il...
Page 405 - Peuples de l'Italie, l'armée française vient pour rompre vos chaînes ; le peuple français est l'ami de tous les peuples ; venez avec confiance audevant d'elle ; vos propriétés , votre religion et vos usages seront respectés. Nous ferons la guerre en ennemis généreux ; et nous n'en voulons qu'aux tyrans qui vous asservissent.
Page 404 - Soldats, la patrie a droit d'attendre de vous de grandes choses : justifierez-vous son attente? Les plus grands obstacles sont franchis, sans doute ; mais vous avez encore des combats à livrer, des villes à prendre, des rivières à passer. En est-il d'entre vous dont le courage s'amollisse?
Page 433 - Nous avons encore des marches forcées à faire, des ennemis à soumettre, des lauriers à cueillir, des injures à venger! •• Que* ceux qui ont aiguisé les poignards de la guerre civile en France, qui ont lâchement assassiné nos ministres, incendié nos vaisseaux à Toulon, tremblent : l'heure de la vengeance a sonné!