Mes prisons et Des devoirs: tr. par P. L. Lezaud avec les notes de Maroncelli, la vie de Silvio Pellico par le mème et une notice par M. Saint-Marc Girardin ... |
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Common terms and phrases
aimer âme amour avaient bonheur bonté Brême Brünn c'était carbonarisme carcere duro cessé chambre chose cœur colère condamnés consolations courage d'autres d'être devoir Dieu dire dis-je disait donner douleur ému enfants esprit famille femme fenêtre forteresse du Spielberg Françoise de Rimini frère geôlier heureux hommes intelli j'ai j'avais j'en j'étais jamais jeune jour l'âme l'amour l'empereur l'homme lac de Côme laisser larmes livre Louis XVII m'avait m'efforçais m'était main malade malheureux Maroncelli matin ment mère mérite Milan monsieur Moravie mort n'avait n'était noble Oroboni pable pardon parler paroles passer patrie pauvre pendant pensée père personne peut-être philosophie Piémont plaisir pleurer police pouvait prison prisonnier qu'un raison regarder religion rempli respect reux rien s'il SAINT-MARC GIRARDIN sais Schiller scorbut secondini semblait sentiments sera seul SILVIO PELLICO sœurs soir sorte souf souffrir souvent Spielberg surintendant tion Tremerello triste trouver Turin venait vertu visite voix voyais Zanzée
Popular passages
Page 341 - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens que la nature humaine ne sauroit assez reconnoître.
Page 345 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'étais nu, et vous m'avez revêtu ; j'étais malade , et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venu à moi.
Page 340 - ... qu'ils ont bâtis dans leur imagination. Du reste , renversant, détruisant, foulant aux pieds tout ce que les hommes respectent , ils ôtent aux affligés la dernière consolation de leur misère , aux puissants et aux riches le seul frein de leurs passions; ils arrachent du fond des cœurs le remords du crime, l'espoir de la vertu, et se vantent encore d'être les bienfaiteurs du genre humain. Jamais, disent...
Page 341 - C'est mal raisonner contre la religion, de rassembler dans un grand ouvrage une longue énumération des maux qu'elle a produits, si l'on ne fait de même celle des biens qu'elle a faits. Si je voulais raconter tous les maux qu'ont produits dans le monde les lois civiles, la monarchie, le gouvernement républicain, je dirais des choses effroyables.
Page 341 - Chose admirable ! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie, fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 72 - ... montre avec cette évidence. Mais puisqu'elle dit, au contraire, que les hommes sont dans les ténèbres et dans l'éloignement de Dieu...
Page 72 - L'immortalité de l'âme est une chose qui nous importe si fort, qui nous touche si profondément, qu'il faut avoir perdu tout sentiment pour être dans l'indifférence de savoir ce qui en est.
Page 340 - Au fond, c'est reculer la difficulté sans la détruire; il serait plus inconcevable que plusieurs hommes d'accord eussent fabriqué ce livre, qu'il ne l'est qu'un seul en ait fourni le sujet. Jamais des auteurs juifs n'eussent trouvé ni ce ton ni cette morale; et l'Évangile a des caractères de vérité si grands, si frappants, si parfaitement inimitables, que l'inventeur en serait plus étonnant que le héros.
Page 340 - Oui , si la vie et la mort de ,Socrate sont d'un sage , la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu. Dirons-nous que l'histoire de l'Evangile est inventée à plaisir ? Mon ami , ce n'est pas ainsi qu'on invente; (et les faits de Socrate, dont personne ne doute , sont moins attestés que ceux de Jésus-Christ.
Page 340 - Je vous avoue aussi que la majesté des Écritures m'étonne, la sainteté de l'Évangile parle à mon cœur. Voyez les livres des philosophes avec toute leur pompe; qu'ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu'un livre à la fois si sublime et si simple soit l'ouvrage des hommes ? Se peut-il que celui dont il fait l'histoire ne soit qu'un homme lui-même?