DostoïevskyPlon-Nourrit, 1923 - 309 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 62
Page 7
... poortoon imbelsiuino 85 apofannitt 1 & Sy knoxus sobilost songol55 isues fod Pans & mih adds tuiog ( 1 ) supitxination is stredo Croton Ram Toupting Jan 0 More 36 ante anoite end say -dire I On s'attend à trouver un dieu ; on.
... poortoon imbelsiuino 85 apofannitt 1 & Sy knoxus sobilost songol55 isues fod Pans & mih adds tuiog ( 1 ) supitxination is stredo Croton Ram Toupting Jan 0 More 36 ante anoite end say -dire I On s'attend à trouver un dieu ; on.
Page 8
André Gide. -dire I On s'attend à trouver un dieu ; on touche un homme malade , pauvre , et singulièrement peinant sans cesse dépourvu de cette pseudo - qualité qu'il reprochait tant au Français : l'éloquence . Pour parler d'un livre ...
André Gide. -dire I On s'attend à trouver un dieu ; on touche un homme malade , pauvre , et singulièrement peinant sans cesse dépourvu de cette pseudo - qualité qu'il reprochait tant au Français : l'éloquence . Pour parler d'un livre ...
Page 21
... d'or- gueil , parce que je ne parle que du sujet , que de l'idée qui s'est implantée dans ma tête , non pas de l'exécution . Quant à l'exécution , elle dépend de Dieu ; je 22 DOSTOIEVSKY puis la gâcher , ce qui m'est arrivé.
... d'or- gueil , parce que je ne parle que du sujet , que de l'idée qui s'est implantée dans ma tête , non pas de l'exécution . Quant à l'exécution , elle dépend de Dieu ; je 22 DOSTOIEVSKY puis la gâcher , ce qui m'est arrivé.
Page 23
... Dieu m'enverra tant de force et d'inspiration , que je m'exprimerai plus complètement , bref , que je pourrai exposer tout ce que je renferme dans mon cœur et dans ma fantaisie . » pig dsmbs ' to sonso ob don Que nous sommes loin de ...
... Dieu m'enverra tant de force et d'inspiration , que je m'exprimerai plus complètement , bref , que je pourrai exposer tout ce que je renferme dans mon cœur et dans ma fantaisie . » pig dsmbs ' to sonso ob don Que nous sommes loin de ...
Page 29
... Dieu sera quand vous irez de nouveau nus et que vous n'en aurez point de honte . » Sans doute , il restera toujours des let- trés délicats , aux pudeurs faciles , pour préférer ne voir des grands hommes que le buste qui s'insurgent ...
... Dieu sera quand vous irez de nouveau nus et que vous n'en aurez point de honte . » Sans doute , il restera toujours des let- trés délicats , aux pudeurs faciles , pour préférer ne voir des grands hommes que le buste qui s'insurgent ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
admirable Arinia bagne Balzac Barrès Bienstock Blake causerie Chatoff cherche chose Christ cœur correspondance coup Crime et châtiment crois d'abord Dieu dire doute écrire écrit écrit-il exemplaires sur papier femme Frères Karamazov héros homme idée importance intel j'ai j'avais j'étais JACQUES RIVIÈRE jalousie jamais jour Journal d'un écrivain Kiriloff L'Adolescent l'amour l'enfant l'Esprit souterrain L'Éternel Mari l'Évangile l'homme l'Idiot l'œuvre de Dostoïevsky Lebedeff lettre lisons livres de Dostoïevsky malade Marcel Schwob mazov ment mieux morale Nietzsche œuvre parle passé Pavel Pavlovitch pensée de Dostoïevsky personnages Pétersbourg peuple russe peut-être Pierre Stepanovitch Plon portefeuille Possédés Pouchkine pré précisément premier présent presque prince Muichkine psychologie question Raskol Raskolnikoff région reste rien Riesenkampf romancier romans de Dostoïevsky roubles sais semble Semipalatinsk sentiment serait seul Sibérie sonnages sorte souf souffrance souvent Stavroguine Stendhal surhomme terrible tion toïevsky Tolstoï Tourguenieff Trad traduction trouve vait Veltchaninov vérité Vogüé vrai William Blake Yaroslavl Zossima
Popular passages
Page 160 - II ya dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées, l'une vers Dieu, l'autre vers Satan. L'invocation à Dieu, ou spiritualité, est un désir de monter en grade; celle de Satan, ou animalité, est une joie de descendre.
Page 64 - La fausse grandeur est farouche et inaccessible : comme elle sent son faible, elle se cache, ou du moins ne se montre pas de front , et ne se fait voir qu'autant qu'il faut pour imposer et ne paraître point ce qu'elle est , je veux dire une vraie petitesse. La véritable grandeur est libre, douce , familière , populaire. Elle se laisse toucher et manier ; elle ne perd rien à être vue de près : plus on la connaît, plus on l'admire.
Page 251 - Mahomet était épileptique, épileptiques leo prophètes d'Israël, et Luther, et Dostoïevsky. Socrate avait son démon, saint Paul la mystérieuse « écharde dans la chair », Pascal son gouffre, Nietzsche et Rousseau leur folie. Ici, j'entends ce que l'on pourrait dire :
Page 252 - Certes, il ya des réformateurs bien portants ; mais ce sont des législateurs. Celui qui jouit d'un parfait équilibre intérieur peut bien apporter des réformes, mais ce sont des réformes extérieures à l'homme : il établit des codes. L'autre, l'anormal, tout au contraire, échappe aux codes préalablement établis.
Page 65 - ... plus on l'admire; elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, et revient sans effort dans son naturel; elle s'abandonne quelquefois, se néglige, se relâche de ses avantages, toujours en pouvoir de les reprendre et...
Page 218 - En conséquence, non- seulement tous les grands hommes, mais tous ceux qui s'élèvent tant soit peu audessus du niveau commun, qui sont capables de dire quelque chose de nouveau, doivent, en vertu de leur nature propre, être nécessairement des criminels, — plus ou moins, bien entendu.
Page 264 - J'ai cherché pendant trois ans l'attribut de ma divinité, et je l'ai trouvé ; l'attribut de ma divinité, c'est l'indépendance. C'est tout ce par quoi je puis montrer au plus haut degré mon insubordination, ma nouvelle et terrible liberté, car elle est terrible.
Page 100 - C'est cette abnégation, cette résignation de soimême, qui permit la cohabitation en l'âme de Dostoïevsky des sentiments les plus contraires, qui préserva, qui sauva l'extraordinaire richesse d'antagonismes qui combattaient en lui.
Page 205 - Dostoïevski lui aussi a été frappé par cela : que la béatitude, que l'état de béatitude promise par le Christ peut être atteinte immédiatement, si l'âme humaine se renie et se résigne elle-même : Et nunc. La vie éternelle n'est pas (ou du moins n'est pas seulement) une chose future, et si nous n'y parvenons pas d'ici-bas, il n'ya guère d'espoir que nous puissions jamais y atteindre26.