Oeuvres de Montesquieu: avec eloges, analyses, commentaires, remarques, notes, refutations, imitationsDailbon, 1827 |
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... suite de ses considérations sa dissertation politique sur la religion des Romains , quoique dans l'ordre chronologique des ouvrages com- posés par Montesquieu , celui - ci dût être inséré à l'é- poque où l'auteur l'avoit lu à l'académie ...
... suite de ses considérations sa dissertation politique sur la religion des Romains , quoique dans l'ordre chronologique des ouvrages com- posés par Montesquieu , celui - ci dût être inséré à l'é- poque où l'auteur l'avoit lu à l'académie ...
Page xiv
... suite pour ainsi dire nécessaire confondus ensemble dans une même ad- miration , ne séparons pas dans notre bibliothèque ce qui est réuni dans notre esprit . La plus rigoureuse exactitude a été apportée dans la correction du texte ...
... suite pour ainsi dire nécessaire confondus ensemble dans une même ad- miration , ne séparons pas dans notre bibliothèque ce qui est réuni dans notre esprit . La plus rigoureuse exactitude a été apportée dans la correction du texte ...
Page 14
... suites funestes de cette division intestine qui trouble depuis si long- temps l'église de France : l'homme d'état en pré- voyoit la durée et les effets , et les prédit au phi- losophe . M. de Montesquieu partit de Vienne pour voir la ...
... suites funestes de cette division intestine qui trouble depuis si long- temps l'église de France : l'homme d'état en pré- voyoit la durée et les effets , et les prédit au phi- losophe . M. de Montesquieu partit de Vienne pour voir la ...
Page 20
... suite de monstres qui régnèrent , pres- que sans interruption , depuis Tibère jusqu'à Nerva , et depuis Commode jusqu'à Constantin ; enfin dans la translation et le partage de l'empire , qui périt d'abord en occident par la puissance ...
... suite de monstres qui régnèrent , pres- que sans interruption , depuis Tibère jusqu'à Nerva , et depuis Commode jusqu'à Constantin ; enfin dans la translation et le partage de l'empire , qui périt d'abord en occident par la puissance ...
Page 23
... suite des idées n'est point observée ; quand les conclusions sont érigées en principes , ou les précèdent ; quand le lecteur , après des détours sans nombre , se re- trouve au point d'où il est parti . Le désordre n'est qu'apparent ...
... suite des idées n'est point observée ; quand les conclusions sont érigées en principes , ou les précèdent ; quand le lecteur , après des détours sans nombre , se re- trouve au point d'où il est parti . Le désordre n'est qu'apparent ...
Common terms and phrases
alliés Ammien Marcellin Appien armées armées romaines auroit avoient avoit barbares c'étoit Carthage Carthaginois cause cavalerie César chap choses Cicéron citoyens Comnène conquêtes Constantin Constantinople consuls crimes Denys d'Halicarnasse despotisme devoit dieux Dion disoit donner empereurs empire ennemis esprit établis état étoient étoit eût faisoient faisoit falloit firent foible foiblesse force fût gens gloire Goths gouvernement grandeur Grecs guerres civiles hommes ibid jamais Justinien l'empereur l'empire l'Esprit des Lois l'Europe l'histoire l'Italie l'univers légions législateur Lettres persanes liberté magistrats mains malheur Marius ment Mithridate mœurs monarchie monde Montesquieu n'avoient n'avoit n'étoient n'y avoit nations ouvrage paix paroît Parthes pays pensée Perses peuple romain Plutarque politique Polybe Pompée pouvoient pouvoir presque prince Procope puissance qu'un quelquefois quieu règne religion république rois Rome sénat seroit seul siècle soldats Suétone suiv sujets Sylla Syrie Tacite terre tion Tite-Live tribuns troupes tyrannie victoire vouloit Voyez Zosime
Popular passages
Page 290 - Voici, en un mot, l'histoire des Romains. Us vainquirent tous les peuples par leurs maximes, mais, lorsqu'ils y furent parvenus, leur république ne put subsister; il fallut changer de gouvernement : et des maximes contraires aux premières, employées dans ce gouvernement nouveau , firent tomber leur grandeur.
Page 195 - ... opposées qu'elles nous paraissent, concourent au bien général de la société, comme des dissonances dans l'a musique concourent à l'accord total3. Il peut y avoir de l'union dans un État où l'on ne croit voir que du trouble, c'est-à-dire une harmonie d'où résulte le bonheur, qui seul est la vraie paix. Il en est comme des parties de cet univers, éternellement liées par l'action des unes et la réaction des autres'.
Page 290 - Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui agissent dans chaque monarchie, l'élèvent', la maintiennent, ou la précipitent ; tous les accidents sont soumis à ces causes...
Page 91 - Dieu puissant que nous servons, vous et nous, mais par le Christ que vous nous dites avoir pris la condition humaine pour vous proposer des exemples que vous puissiez suivre ; nous vous conjurons d'agir avec nous comme il agirait lui-même s'il était encore sur la terre. Vous voulez que nous soyons chrétiens, et vous ne voulez pas l'être.
Page 83 - C'est la religion chrétienne qui , malgré la grandeur de l'empire et le vice du climat, a empêché le despotisme de s'établir en Éthiopie , et a porté au milieu de l'Afrique les mœurs de l'Europe et ses lois.
Page 136 - Il n'ya rien de si puissant qu'une république où l'on observe les lois, non pas par crainte, non pas par raison , mais par passion, comme furent Rome et Lacédémone ; car pour lors il se joint à la sagesse d'un bon gouvernement toute la force que pourrait avoir une faction.
Page 225 - ... L'amour-propre, l'amour de notre conservation, se transforme en tant de manières et agit par des principes si contraires, qu'il nous porte à sacrifier notre être pour l'amour de notre être; et tel est le cas que nous faisons de nous-mêmes, que nous consentons à cesser de vivre, par un instinct naturel et obscur qui fait que nous nous aimons plus que notre vie même.
Page 18 - ... souffrir de l'un jusqu'à ce qu'ils eussent anéanti l'autre. Il trouve les causes de leur décadence dans l'agrandissement même de l'état, qui changea en guerres civiles les tumultes populaires ; dans les guerres éloignées, qui, forçant les citoyens à une trop longue absence, leur...
Page 158 - ... magnanime que la résolution que prit un monarque qui a régné de nos jours ', de s'ensevelir plutôt sous les débris du trône que d'accepter des propositions qu'un roi ne doit pas entendre : il avait l'âme trop...
Page 5 - Il regardoit les sociétés de bel - esprit , si étrangement multipliées dans nos provinces , comme une espèce ou plutôt comme une ombre de luxe littéraire, qui nuit à l'opulence réelle, sans même en offrir l'apparence.