Oeuvres de Montesquieu: avec eloges, analyses, commentaires, remarques, notes, refutations, imitationsDailbon, 1827 |
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... enfin , à l'occasion des disputes ecclé- siastiques qui ont tant occupé les empereurs et les chrétiens grecs , que les querelles théologiques , lorsqu'elles cessent d'être renfermées dans les éco- les , déshonorent PAR D'ALEMBERT . 41.
... enfin , à l'occasion des disputes ecclé- siastiques qui ont tant occupé les empereurs et les chrétiens grecs , que les querelles théologiques , lorsqu'elles cessent d'être renfermées dans les éco- les , déshonorent PAR D'ALEMBERT . 41.
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... grec , plaisanterie dé- figurée depuis par tant de mauvais copistes , il en prend occasion de peindre d'un trait de plume l'ineptie des critiques et le pédantisme des tra- ducteurs , et finit par ces paroles dignes d'être rapportées ...
... grec , plaisanterie dé- figurée depuis par tant de mauvais copistes , il en prend occasion de peindre d'un trait de plume l'ineptie des critiques et le pédantisme des tra- ducteurs , et finit par ces paroles dignes d'être rapportées ...
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... Grec , regar- dant l'empire romain qui marchoit à la conquête du monde d'un pas rapide et régulier , avoit averti que ce mouvement étoit conduit par des ressorts cachés qu'il falloit découvrir . Un homme , qui avoit porté la force de ...
... Grec , regar- dant l'empire romain qui marchoit à la conquête du monde d'un pas rapide et régulier , avoit averti que ce mouvement étoit conduit par des ressorts cachés qu'il falloit découvrir . Un homme , qui avoit porté la force de ...
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... grecs de belles idées sur la nature du pouvoir monarchique . Les philosophes de la grande Grèce s'étoient particulièrement occupés de cette question ; comme Fé- nélon , ils s'adressoient surtout à l'âme des rois . Ils faisoient de la ...
... grecs de belles idées sur la nature du pouvoir monarchique . Les philosophes de la grande Grèce s'étoient particulièrement occupés de cette question ; comme Fé- nélon , ils s'adressoient surtout à l'âme des rois . Ils faisoient de la ...
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... Grecs la douceur et la déférence « mutuelle qui rend les hommes sociables . L'homme civil n'étoit qu'un . " bon citoyen qui se regarde toujours comme membre de l'état , qui se laisse conduire par les lois , et conspire avec elles au ...
... Grecs la douceur et la déférence « mutuelle qui rend les hommes sociables . L'homme civil n'étoit qu'un . " bon citoyen qui se regarde toujours comme membre de l'état , qui se laisse conduire par les lois , et conspire avec elles au ...
Common terms and phrases
alliés Ammien Marcellin Appien armées armées romaines auroit avoient avoit barbares c'étoit Carthage Carthaginois cause cavalerie César chap choses Cicéron citoyens Comnène conquêtes Constantin Constantinople consuls crimes Denys d'Halicarnasse despotisme devoit dieux Dion disoit donner empereurs empire ennemis esprit établis état étoient étoit eût faisoient faisoit falloit firent foible foiblesse force fût gens gloire Goths gouvernement grandeur Grecs guerres civiles hommes ibid jamais Justinien l'empereur l'empire l'Esprit des Lois l'Europe l'histoire l'Italie l'univers légions législateur Lettres persanes liberté magistrats mains malheur Marius ment Mithridate mœurs monarchie monde Montesquieu n'avoient n'avoit n'étoient n'y avoit nations ouvrage paix paroît Parthes pays pensée Perses peuple romain Plutarque politique Polybe Pompée pouvoient pouvoir presque prince Procope puissance qu'un quelquefois quieu règne religion république rois Rome sénat seroit seul siècle soldats Suétone suiv sujets Sylla Syrie Tacite terre tion Tite-Live tribuns troupes tyrannie victoire vouloit Voyez Zosime
Popular passages
Page 290 - Voici, en un mot, l'histoire des Romains. Us vainquirent tous les peuples par leurs maximes, mais, lorsqu'ils y furent parvenus, leur république ne put subsister; il fallut changer de gouvernement : et des maximes contraires aux premières, employées dans ce gouvernement nouveau , firent tomber leur grandeur.
Page 195 - ... opposées qu'elles nous paraissent, concourent au bien général de la société, comme des dissonances dans l'a musique concourent à l'accord total3. Il peut y avoir de l'union dans un État où l'on ne croit voir que du trouble, c'est-à-dire une harmonie d'où résulte le bonheur, qui seul est la vraie paix. Il en est comme des parties de cet univers, éternellement liées par l'action des unes et la réaction des autres'.
Page 290 - Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui agissent dans chaque monarchie, l'élèvent', la maintiennent, ou la précipitent ; tous les accidents sont soumis à ces causes...
Page 91 - Dieu puissant que nous servons, vous et nous, mais par le Christ que vous nous dites avoir pris la condition humaine pour vous proposer des exemples que vous puissiez suivre ; nous vous conjurons d'agir avec nous comme il agirait lui-même s'il était encore sur la terre. Vous voulez que nous soyons chrétiens, et vous ne voulez pas l'être.
Page 83 - C'est la religion chrétienne qui , malgré la grandeur de l'empire et le vice du climat, a empêché le despotisme de s'établir en Éthiopie , et a porté au milieu de l'Afrique les mœurs de l'Europe et ses lois.
Page 136 - Il n'ya rien de si puissant qu'une république où l'on observe les lois, non pas par crainte, non pas par raison , mais par passion, comme furent Rome et Lacédémone ; car pour lors il se joint à la sagesse d'un bon gouvernement toute la force que pourrait avoir une faction.
Page 225 - ... L'amour-propre, l'amour de notre conservation, se transforme en tant de manières et agit par des principes si contraires, qu'il nous porte à sacrifier notre être pour l'amour de notre être; et tel est le cas que nous faisons de nous-mêmes, que nous consentons à cesser de vivre, par un instinct naturel et obscur qui fait que nous nous aimons plus que notre vie même.
Page 18 - ... souffrir de l'un jusqu'à ce qu'ils eussent anéanti l'autre. Il trouve les causes de leur décadence dans l'agrandissement même de l'état, qui changea en guerres civiles les tumultes populaires ; dans les guerres éloignées, qui, forçant les citoyens à une trop longue absence, leur...
Page 158 - ... magnanime que la résolution que prit un monarque qui a régné de nos jours ', de s'ensevelir plutôt sous les débris du trône que d'accepter des propositions qu'un roi ne doit pas entendre : il avait l'âme trop...
Page 5 - Il regardoit les sociétés de bel - esprit , si étrangement multipliées dans nos provinces , comme une espèce ou plutôt comme une ombre de luxe littéraire, qui nuit à l'opulence réelle, sans même en offrir l'apparence.