BUREAU DU JOURNAL DES SAVANTS. M. ROULAND, ministre de l'Instruction publique et des Cultes, président. ASSISTANTS.. M. LEBRUN, de l'Institut, Académie française, secrétaire du bureau. criptions et belles-lettres et membre de l'Académie des sciences morales et politiques. M. GIRAUD, de l'Institut, Académie des sciences morales et politiques. M. Mérimée, de l'Instilut, Académie française et Académie des ins criptions et belles-lettres. M. Biot, de l'Institut, Académie française, Académie des sciences, et membre libre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres. M. COUSIN, de l'Institut, Académie française et Académie des sciences morales et politiques. M. CHEVREUL, de l'Institut, Académie des sciences. M. FLOURENS, de l'Institut, Académie française, et secrétaire perpé tuel de l'Académie des sciences. M. VILLEMAIN, de l'Institut, secrétaire perpétuel de l'Académie fran çaise et membre de l'Académie des inscriptions et belles lettres. AUTEURS.... M. PATIN, de l'Institut, Académie française. M. Magnin, de l'Institut, Académie des inscriptions et belles-lettres. de l'Académie des sciences morales et politiques. tions et belles-lettres. M. BARTHÉLEMY Saint-Hilaire, de l'Institut, Académie des sciences morales et politiques. M. LITTRÉ, de l'Institut, Académie des inscriptions et belles-lettres. Compiseis Hiersemann 10-7326 13153 JOURNAL DES SAVANTS. JANVIER 1858. TABLES DE LA Lune, construites d'après le principe newtonien de l'attraction universelle, par P. A. Hansen, directeur de l'observatoire ducal de Gotha. 1 vol. in-4° de 511 pages, publié aux frais du Gouvernement britannique. Londres, 1857. TROISIÈME ET DERNIER ARTICLE?. Deux caractères distinguent ces nouvelles tables de celles qui les ont précédées. Elles représentent mieux les observations; et elles sont dérivées du principe de l'attraction par une voie analytique, différente de celle que l'on avait jusque-là suivie. Le premier de ces avantages se constate par des épreuves que je rapporterai plus tard. Mais la nouveauté et l'efficacité de la méthode, voilà surtout ce qu'il est essentiel de signaler; et cela n'est pas aisé à faire dans un langage intelligible, même à des mathématiciens de profession, tant la matière est abstraite. Je n'ai jamais mieux compris, qu'écrire dans le Journal des Savants sur de pareils sujets, n'est pas du tout une sinécure. Pour m'aider à remplir cette tâche, j'ai consulté ceux de mes amis, tant Français qu'étrangers, qui ont travaillé sur la théorie de la lune. J'ai étudié les ouvrages antérieurs de M. Hansen. J'ai même sollicité, et j'ai reçu de lui d'utiles éclaircissements, qu'il m'a obligeamment accordés. Avec tout 1 1 Voyez, pour le premier article, le cahier d'octobre page 601; et, pour le deuxième, celui de décembre page 729. |