Les principes de la philosophie: Première partie, Part 1 |
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... sortes : les unes sont absolues ; les autres , relatives . Qu'est - ce que l'absolu ? qu'est - ce que le relatif ? Il importe de le définir avec exactitude , car cette définition est la clef de la méthode entière . Descartes a défini l ...
... sortes : les unes sont absolues ; les autres , relatives . Qu'est - ce que l'absolu ? qu'est - ce que le relatif ? Il importe de le définir avec exactitude , car cette définition est la clef de la méthode entière . Descartes a défini l ...
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... sorte de circulation alternante du composé au simple et du simple au composé , décompose et compose , ramène l'obscur au clair et propage les clartés de l'in- tuition sur les choses qui semblaient les moins claires . Tout ceci implique ...
... sorte de circulation alternante du composé au simple et du simple au composé , décompose et compose , ramène l'obscur au clair et propage les clartés de l'in- tuition sur les choses qui semblaient les moins claires . Tout ceci implique ...
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... sorte que je puis dire avec vérité que je n'ai jamais rencontré que le seul esprit de votre altesse auquel l'un et l'autre fût également facile ; ce qui fait que j'ai une très juste raison de l'estimer incomparable . Mais ce qui ...
... sorte que je puis dire avec vérité que je n'ai jamais rencontré que le seul esprit de votre altesse auquel l'un et l'autre fût également facile ; ce qui fait que j'ai une très juste raison de l'estimer incomparable . Mais ce qui ...
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... sorte que pour étudier à l'acquérir , ce qui se nomme proprement philosopher , il faut commencer par la re- cherche de ces premières causes , c'est - à - dire des prin- cipes ; et que , ces principes doivent avoir deux condi- tions , l ...
... sorte que pour étudier à l'acquérir , ce qui se nomme proprement philosopher , il faut commencer par la re- cherche de ces premières causes , c'est - à - dire des prin- cipes ; et que , ces principes doivent avoir deux condi- tions , l ...
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... vie , en nous apprenant ce qu'est le souverain bien . Descartes distingue ici avec les Stoïciens deux sortes de biens , les uns qui ne dépendent pas de Et parce que toutes ces choses sont entièrement vraies , 1 . DE LA PHILOSOPHIE . 9.
... vie , en nous apprenant ce qu'est le souverain bien . Descartes distingue ici avec les Stoïciens deux sortes de biens , les uns qui ne dépendent pas de Et parce que toutes ces choses sont entièrement vraies , 1 . DE LA PHILOSOPHIE . 9.
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Common terms and phrases
âme Amsterdam apercevons Aristote attributs avons c'est-à-dire cannelées cartésienne cause certitude claires et distinctes clarté Clerselier Cogito comètes concevoir concevons connaissance connaissons connaître considérer considérons corporelle corps dur couleur croire D'où vient déduit dépendent Descartes différence doute méthodique éléments entendement ergo sum esprit états de conscience étendue étoiles fixes évident existe existence figure idée claire infinie intel j'ai jugements l'aimant l'âme l'autre l'entendement l'erreur l'esprit l'étendue l'existence de Dieu l'idée Lett libre arbitre lumière malin génie mathéma mathématiques matière Méd ment métaphysique meut monde mouvement mouvement propre mouvoir n'y a rien nature nécessaire objets obscures et confuses pables parfait parfaite perfection peuvent phénomènes philosophie physique planètes pôles pouvons premier principe propriétés puisse quelquefois raison réalité réel remarquons sagesse Saturne saurait saurions savoir science scolastique semble sens sentiments servons seulement simples soleil sorte substance sujet pensant tence terre tincte tions triangle triangle rectangle tromper vement vérité volonté vrai
Popular passages
Page vii - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si directement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 21 - Ainsi toute la philosophie est comme un arbre dont les racines sont la métaphysique, le tronc est la physique, et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences...
Page x - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 34 - Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps, et qu'il n'y avait aucun monde, ni aucun lieu où je fusse...
Page 43 - Ensuite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon être n'était pas tout parfait, car je voyais clairement que c'était une plus grande perfection de connaître que de douter, je m'avisai de chercher d'où j'avais appris à penser à quelque chose de plus parfait que je n'étais, et je connus évidemment que ce devait être de quelque nature qui fût en effet plus parfaite.
Page 32 - Ainsi, à cause que nos sens nous trompent quelquefois, je voulus supposer qu'il n'y avait aucune chose qui fût telle qu'ils nous la font imaginer...
Page 59 - Ce qui fait que nous avons bien assez d'intelligence pour connaître clairement et distinctement que cette puissance est en Dieu, mais que nous n'en avons pas assez pour comprendre tellement son étendue que nous puissions savoir comment elle laisse les actions des hommes entièrement libres et indéterminées ; et que, d'autre côté, nous sommes aussi tellement assurés de la liberté et de l'indifférence qui est en nous, qu'il n'ya rien que nous connaissions plus clairement; de façon que la...
Page 10 - ... ne consiste qu'en une ferme volonté de bien faire, et au contentement qu'elle produit. Dont la raison est que je ne remarque aucun autre bien qui me semble si grand, ni qui soit entièrement au pouvoir d'un chacun. Car, pour les biens du corps et de la fortune, ils ne dépendent point absolument de nous ; et ceux de l'âme se rapportent tous à deux...
Page 67 - Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée; car chacun pense en être si bien pourvu, que ceux mêmes qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils en ont.
Page 118 - ... qui est porté par eux jusqu'à la faculté que nous avons de penser, doit avouer, au contraire, qu'aucunes idées des choses ne nous sont représentées par eux telles que nous les formons par la pensée ; en sorte qu'il n'ya rien dans nos idées qui ne soit naturel à l'esprit ou à la faculté qu'il a de penser, si seulement on excepte certaines circonstances qui n'appartiennent qu'à l'expérience. Par...