Oeuvres, Volume 3J.-J. Blaise, 1821 |
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admirable APOLLON Aristote assez auroit auteur avoient avoit bassesse beau beauté blime BOIL Boileau BROSS CHAPITRE choses Cicéron Clélie comparaison critique Cyrus d'Homère déja Démosthène Denys d'Halicarnasse Despréaux dialogue Dieu dieux DIOGÈNE dire discours dit-il donne écrit écrivains édition effet Élien endroit esprit étoient étoit Euripide falloit fasse figures françois grace grec Hérodote héros Homère homme Horace hyperbates ILIAD j'ai jamais Joconde jugement l'ame l'Arioste l'édition de 1683 l'Énéide l'esprit l'Iliade l'Odyssée langue latin Longin lumière Lysias manière méme ment merveilleux MINOS Moïse monsieur mots n'avoit n'étoit n'y a rien noble orateurs ouvrages parceque parler paroît Paroles de Longin passage passion pathétique pensée Perrault Pindare PLUTON poëme poésie poëte pourtant qu'Homère qu'un quæ quelquefois Quintilien raison rhéteur s'il sentiment seroit seul siècle simple Sophocle sorte style sublime sur-tout termes teur Théramène tion traduction tragédie Traité trouve vérité Virgile Vitruve Voilà Voyez yeux
Popular passages
Page 299 - les reptiles qui se remuent sur la terre. Et Dieu « créa l'homme à son image : il le créa à l'image de » Dieu; il les créa mâle et femelle. » Si en tout ceci il n'ya nulle ombre de sublime , comme assurément il n'y en a aucune, je demande par quelle
Page 249 - dans ce petit nombre de bonnes pièces, outre les fautes de langue qui y sont assez fréquentes, on commence à s'apercevoir de beaucoup d'endroits de déclamation qu'on n'y voyoit point autrefois. Ainsi, non seulement on ne trouve point mauvais qu'on lui compare aujourd'hui M. Racine, mais il se trouve même quantité de gens qui le
Page 279 - gles de ce philosophe, il n'a point songé, comme les poetes de l'ancienne tragédie, à émouvoir la pitié et la terreur; mais à exciter dans l'âme des spectateurs, par la sublimité des pensées, et par la beauté des sentiments, une certaine admiration ', dont plusieurs personnes, et les jeunes
Page 405 - sans plus passer par le cœur, et au foie de le recevoir. Fait défense au sang d'être plus vagabond, errer ni circuler dans le corps, sous peine d'être entièrement livré et abandonné à la faculté de médecine. Défend à la Raison et à ses adhérents de plus s'ingérer à l'avenir de guérir les fièvres tierces, double-tierces, quartes,
Page 382 - au goût de Térence et de Virgile, ne se laisse pas emporter à ces extravagances italiennes, et ne s'écarte pas ainsi de la route du bon sens. Tout ce qu'il dit est simple et naturel ; et ce que j'estime sur-tout en lui, c'est une certaine naïveté de langage que peu de gens
Page 441 - 0 les scélérats! Il ya long-temps que je prévoyois ce malheur. PLUTON. Ne craignez rien, Minos. Je sais bien le moyen de les réduire ; mais ne perdons point de temps. Qu'on fortifie les avenues : qu'on redouble la garde de mes furies; qu'on arme toutes les milices de l'enfer: qu'on lâche Cerbère. Vous, Rhadamanthe, allezvous-en dire
Page 473 - Elle en a pourtant inspiré au vaillant Dunois. PLUTON. Elle, inspirer de l'amour au cœur de Dunois ! Oui assurément. DIOGÈNE. Au grand cœur de Dunois, le plus grand de la terre, Grand cœur, qui dans lui seul deux grands amours enserre. Mais il faut savoir quel amour. Dunois s'en explique ainsi lui-même, en un endroit du
Page 439 - de sorte que les héros, et sur-tout les héroïnes qui les habitent, sont aujourd'hui les plus sottes gens du inonde, grâce à certains auteurs qui leur ont appris, dit-on, ce beau langage, et qui en ont fait des amoureux transis. A vous dire le vrai, j'ai bien de la peine à le croire: j'ai bien
Page 350 - haleine, peut-il s'amuser à faire la description « la plus pompeuse et la plus fleurie de la figure du dragon ? » Son front large est armé de cornes menaçantes , Tout son corps est couvert
Page 477 - Vous sortirez d'erreur, quand je vous dirai que c'est une troupe de faquins, ou plutôt de fantômes chimériques, qui, n'étant que de fades copies de beaucoup de personnages modernes, ont eu pourtant l'audace de prendre le nom des plus grands héros de l'antiquité; mais dont la vie a été fort