Manuel de littérature française: comprenant: 1° des notices biographiques et littéraires; 2° des oeuvres ou morceaux choisis de chaque auteur; 3° des notes explicatives; 4° un questionnaire détaillé pour chaque auteur |
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... Dieu et pour le ( salut du ) peuple chrétien et notre salvament , d'ist di in avant in quant Deus savir et poder me commun salut , de ce jour en avant , autant que Dieu me donne savoir dunal , si salvarai jeo cist meon fradre Karlo et ...
... Dieu et pour le ( salut du ) peuple chrétien et notre salvament , d'ist di in avant in quant Deus savir et poder me commun salut , de ce jour en avant , autant que Dieu me donne savoir dunal , si salvarai jeo cist meon fradre Karlo et ...
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... Dieu qui demeure au ciel , Ne por or ned argent ne paramenz , Ni pour or , ni argent , ni parure . Por manatce regiel , ne preismert . Pour menace royale , ni prière . Neulle cose non la pouret omqi pleier . Nulle chose ne la pourrait ...
... Dieu qui demeure au ciel , Ne por or ned argent ne paramenz , Ni pour or , ni argent , ni parure . Por manatce regiel , ne preismert . Pour menace royale , ni prière . Neulle cose non la pouret omqi pleier . Nulle chose ne la pourrait ...
Page 6
... Dieu , lui répond Roland , Que ço seit dit de nul hume vivant Qu'il soit dit que pour nul homme vivant Ne pur paien que ja sei jo cornant ? Ni même pour un paien sonnè - je du cor ! Le combat s'engage : Roland , l'archevêque Turpin ...
... Dieu , lui répond Roland , Que ço seit dit de nul hume vivant Qu'il soit dit que pour nul homme vivant Ne pur paien que ja sei jo cornant ? Ni même pour un paien sonnè - je du cor ! Le combat s'engage : Roland , l'archevêque Turpin ...
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... Dieu mercy , c'est ma langue naturelle et maternelle . " - La gloire du XVIe siècle est Montaigne , dont les Essais ont encore de nos jours tant de lecteurs . Ces essais à vrai dire ne sont qu'un vaste répertoire de souvenirs , et de ré ...
... Dieu mercy , c'est ma langue naturelle et maternelle . " - La gloire du XVIe siècle est Montaigne , dont les Essais ont encore de nos jours tant de lecteurs . Ces essais à vrai dire ne sont qu'un vaste répertoire de souvenirs , et de ré ...
Page 41
... Dieu que je les eusse , dix mille écus . CLE . Je ne crois pas ... HAR . Ce serait une bonne affaire pour moi . ÉL . Ce sont des choses ... HAR . J'en aurais bon besoin . 15 20 25 25 CLÉ . Je pense que ... HAR . Cela m'accommoderait ...
... Dieu que je les eusse , dix mille écus . CLE . Je ne crois pas ... HAR . Ce serait une bonne affaire pour moi . ÉL . Ce sont des choses ... HAR . J'en aurais bon besoin . 15 20 25 25 CLÉ . Je pense que ... HAR . Cela m'accommoderait ...
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Manuel de Littérature Française: Comprenant, 1° des Notices Biographiques Et ... Amédé de Rougemont No preview available - 2017 |
Manuel de Littérature Française: Comprenant: 1° Des Notices Biographiques Et ... Amede Rougemont No preview available - 2018 |
Manuel de Littérature Française: Comprenant, 1° des Notices Biographiques Et ... Ame ́de ́ de Rougemont No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
Abner assez Athalie avez beau belle Bossuet C'était Calypso charme chère chevaux chèvre chose chrétiens ciel Cléante cœur Corneille coup Dieu dieux dire donne ÉLISE enfants enfin esprit est-ce êtes Félix femme fille fils FROS Frosine gens Gil Blas Gilliatt gloire Grèce Harpagon homme j'ai j'en jamais jeune Jézabel Joad Joas Josabet jour l'eau l'homme laisser langue lévites Ligne Madame Madame de Sévigné main maître Jacques manger Mariane ment Mme de Sévigné Mme de Staël Molière monde monsieur Seguin mort mourir Napoléon Néarque Page Ligne parler passé PAUL Pauline pauvre pensée père personnages peuple pieds pieuvre pleurs poésie poète poétique Polyeucte Qu'est-ce raconte raison reste rien rois roman sais sang SCÈNE Seigneur sens sentiments serait seul Sévère siècle songe sort STRA STRATONICE style Télémaque temple terre trouve Valère veux Victor Hugo Villemer voilà vois yeux
Popular passages
Page 165 - Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille. En achevant ces mots épouvantables, Son Ombre vers mon lit a paru se baisser. Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser. Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux, Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 27 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 199 - Tertullien * , parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps: il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux restes.
Page 65 - Ah ! c'est moi ! Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent ! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde.
Page 20 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 65 - ... cher ami ! on m'a privé de toi; et puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support , ma consolation , ma joie : tout est fini pour moi , et je n'ai plus que faire au monde. Sans toi , il m'est impossible de vivre. C'en est fait ; je n'en puis plus; je me meurs; je suis mort; je suis enterré.
Page 126 - Le maréchal, après avoir lu, dit au Roi : ' Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 18 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Page 66 - N'est-il point caché là parmi vous? Ils me regardent tous, et se mettent à rire. Vous verrez qu'ils ont part, sans doute, au vol que l'on m'a fait. Allons vite, des commissaires, des archers, des prévôts, des juges, des gênes, des potences, et des bourreaux.
Page 102 - Seigneur, de vos bontés il faut que je l'obtienne; Elle a trop de vertus pour n'être pas chrétienne ! Avec trop de mérite il vous plut la former Pour ne vous pas connaître et ne vous pas aimer, Pour vivre des enfers esclave infortunée, Et sous leur triste joug mourir comme elle est née.