 LE COMTE. Je crois que c'est ce coquin de Figaro. FIGARO. C'est lui-même, monseigneur. LE COMTE. Maraud! si tu dis un mot... FIGARO. Oui, je vous reconnais ; voilà les bontés familières dont vous m'avez toujours honoré.  Le barbier de Séville: comédie en quatre actes - Page 6by Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1913 - 161 pagesFull view - About this book
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1809 - 678 pages
...Oui , je vous reconnais ; voilà les bontés familières dont vous m'avez toujours honoré. LE COMTE. Je ne te reconnaissais pas, moi. Te voilà si gros...Que voulez-vous , Monseigneur , c'est la misère. LE C o MT T.. Pauvre petit ! Mais que fais-tu à Se ville? Je t'avais autrefois recommandé daus les bureaux... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1809 - 600 pages
...familières dont vous m'avez toujours honoré. LE COMTE. Je ne te reconnaissais pas, moi. Te voilà sí gros et si gras FIGARO. Que voulez-vous, Monseigneur,...misère. LE COMTE. Pauvre petit ! Mais que fais-tu à Seville? Je t'avais autrefois recommandé dans les bureaux pour un emploi. FIGARO. aux journaux ; qu'il... | |
 | Répertoire général du Théåtre Français - 1814 - 354 pages
...toujours honoré. LE COMTE. Je ne te recoanoissois pas, moi. Te voilà si gros et si gras... FIGA 11 O. Que voulez-vous ? Monseigneur, c'est la misère. LE...COMTE. Pauvre petit ! Mais que fais-tu à Séville? Je t'avois autrefois recommandé dans les bureau* pour un emploi. FIGARO. Je l'ai obtenu, Monseigneur... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - French drama - 1818 - 404 pages
...familières dont vous m'avez toujours honoré. LE COMTE. Je ne te reconnaissais pas , moi. Te voilàs! gros et si gras... FIGARO. Que voulez-vous, monseigneur,...misère. LE COMTE. Pauvre petit ! Mais que fais-tu à SêVille ? Je t'avais autrefois recommandé dans les bureaux pour ua emploi» FIGARO. Je l'ai obtenu... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1821 - 476 pages
...Oui , je vous reconnais ; voilà les bontés familières dont vous m'avez toujours honoré. LE COMTE. Je ne te reconnaissais pas, moi. Te voilà si gros et si gras.... LE COMTE. Pauvre petit! Mais que fais -tu à Séville? Je t'avais autrefois recommandé dans les bureaux... | |
 | French drama - 1822 - 434 pages
...voilà les bontés familières dont vous m'avez toujours honoré. LE COMTE. Je ne te reconnoissois pas , moi. Te voilà si gros et si gras. . . FIGARO. Que voulez-vous, monseigneur, c'est la misère. Pauvre petit! Mais que fais-tu à Sé ville ? Je t'a* vois autrefois recommandé dans les bureaux pour... | |
 | French poetry - 1835 - 512 pages
...Oui, je vous reconnais; voilà les bonlús familières dont vous m'avez toujours honoré. Le Comte. Je ne te reconnaissais pas, moi. Te voilà si gros...c'est la misère. Le Comte. Pauvre petit! Mais que fais -tu à Seville? Je t'avais autrefois recommandé dans les bureaux pour un emploi. Figaro. Je l'ai... | |
 | G. H. F. de Castres de Tersac - French language - 1843 - 408 pages
...reconnais; voilà les bontés familières, dont vous m'avez toujours honoré. LE COMTE. Je ne te reconnais pas, moi. Te voilà si gros et si gras. FIGARO. Que...misère. LE COMTE. Pauvre petit! Mais que fais-tu à Seville? Je t'avais autrefois recommandé dans les bureaux pour un emploi. FIGARO, v Je l'ai obtenu,... | |
 | Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...LE. COMTE. Je crois que c'est ce coquin de Figaro. FIGARO. C'est lui-même, monseigneur. LE COMTE. Je ne te reconnaissais pas, moi... Te voilà si gros...voulez-vous, monseigneur? c'est la misère. LE COMTE. »50 PROSATEURS FRANÇAIS. FIGARO. Je l'ai obtenu, monseigneur, et ma reconnaissance... Eh bien? LE... | |
 | Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais - French drama - 1846 - 616 pages
...Oui, je vous reconnais ; voilà les bontés familières dont vous m'avez toujours honoré. LE COMTE. Je ne te reconnaissais pas, moi. Te voilà si gros...Pauvre petit! Mais que fais-tu à Séville? Je t'avais aultvfois recommandé dans les bureaux pour un emploi. FIGARO. Je l'ai obtenu , monseigneur; et ma... | |
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