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Page 11
... la mer en grand péril , i comme vous savez , je ne vous ai rien requis ni
demandé : or , vous prié - je humblement et requiers en propre don , que pour le
fils Sainte Marie et pour l'amour de moi , vous veuilliez avoir de ces six hommes
merci .
... la mer en grand péril , i comme vous savez , je ne vous ai rien requis ni
demandé : or , vous prié - je humblement et requiers en propre don , que pour le
fils Sainte Marie et pour l'amour de moi , vous veuilliez avoir de ces six hommes
merci .
Page 16
J'en attache quelque chose à ce papier ; à moi, si peu que rien. L'histoire, c'est
mon gibier en matière de livres, ou la poésie, que j'aime d'une particulière
inclination : car, comme disait Cléanthe, tout ainsi que la voix, contrainte par l'
étroit ...
J'en attache quelque chose à ce papier ; à moi, si peu que rien. L'histoire, c'est
mon gibier en matière de livres, ou la poésie, que j'aime d'une particulière
inclination : car, comme disait Cléanthe, tout ainsi que la voix, contrainte par l'
étroit ...
Page 17
Nous nous embrassions par nos noms 7, et en notre première rencontre, qui fut
par hasard en une grande fête et compagnie de ville, nous nous trouvâmes si
pris, si connus, si obligés * entre nous, que rien dès lors ne nous fut si proche
que ...
Nous nous embrassions par nos noms 7, et en notre première rencontre, qui fut
par hasard en une grande fête et compagnie de ville, nous nous trouvâmes si
pris, si connus, si obligés * entre nous, que rien dès lors ne nous fut si proche
que ...
Page 19
... j'apprenais à ne rien croire trop fermement de ce qui ne m'avait été persuadé
que par l'exemple et par la coutume ; et ainsi je me délivrais peu à peu de
beaucoup d'erreurs qui peuvent offusquer notre lumière naturelle et nous rendre
moins ...
... j'apprenais à ne rien croire trop fermement de ce qui ne m'avait été persuadé
que par l'exemple et par la coutume ; et ainsi je me délivrais peu à peu de
beaucoup d'erreurs qui peuvent offusquer notre lumière naturelle et nous rendre
moins ...
Page 20
... solides qu'ils auraient été si nous avions eu l'usage entier de notre raison dès
le point * de notre naissance, et que nous n'eussions jamais été conduits que par
elle. Ayant appris dès le collège qu'on ne saurait rien imaginer de si étrange et ...
... solides qu'ils auraient été si nous avions eu l'usage entier de notre raison dès
le point * de notre naissance, et que nous n'eussions jamais été conduits que par
elle. Ayant appris dès le collège qu'on ne saurait rien imaginer de si étrange et ...
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aime arrive assez avaient avant avons beau belle bois c'était cause cents chambre cher chercher cheval chose ciel cinq cœur commence corps côté coup cour d'être demande dernier devant Dieu dire disait DON JUAN enfants enfin êtes faisait femme fille fils force forme gens GÉRONTE gloire grec haut heures homme j'ai j'étais jeune joue jour juge l'autre l'esprit l'homme l'un laisser lettres levé livre Louis main maître MAîTRE JACQUES mari ment mettre mieux milieu monde MONSIEUR DIMANCHE mort n'ai n'avait n'en n'était naturel nuit ouvrages parler paroles passer pauvre peine pendant pensées père personne petit petite peuple PHILOSOPHIE pieds place plaisir POIRIER porte pouvait premier prince puissance qu'à qu'un quatre raison regard reste riche rien s'il sais savez SCAPIN semble sens sentir sera seul soldats soleil sorte table tenir terre tête trouve venir veux voilà voulait voyait vrai yeux
Bibliographic information
| Title | Prose Volume 2 of Les chefs-d'oeuvre de la langue française des origines à nos jours, Henri Bornecque |
| Editor | Henri Bornecque |
| Publisher | Larousse, 1924 |
| Original from | the University of Michigan |
| Digitized | 29 Sep 2004 |
| Export Citation | BiBTeX EndNote RefMan |