XVIIme siècle, institutions, usages et costumes. France, 1590-1700 |
From inside the book
Results 1-5 of 26
Page
... voyait pas d'un mau- vais œil les modes nouvelles ; car dans les conseils qu'il donne à son royal élève , on trouve ceci : « Je désirerois que mon escolier fust vestu de même façon que Monsieur de Bellegarde , << votre grand escuyer ...
... voyait pas d'un mau- vais œil les modes nouvelles ; car dans les conseils qu'il donne à son royal élève , on trouve ceci : « Je désirerois que mon escolier fust vestu de même façon que Monsieur de Bellegarde , << votre grand escuyer ...
Page 3
... voyait à la tête d'une armée de 40,000 hommes et il occupait les hauteurs de Saint - Cloud , avec la certitude de rentrer bientôt en maître dans Paris . Du haut des collines où étaient campées ses troupes impatientes de commencer le ...
... voyait à la tête d'une armée de 40,000 hommes et il occupait les hauteurs de Saint - Cloud , avec la certitude de rentrer bientôt en maître dans Paris . Du haut des collines où étaient campées ses troupes impatientes de commencer le ...
Page 15
... voyait , aux coins des rues , les grandes chaudières de bouillie , qu'on nommait les chaudières d'Espagne , où l'on cuisait des marmitées de chair de cheval et d'âne : « on se battoit à qui en auroit ; >> on n'avait plus que du pain d ...
... voyait , aux coins des rues , les grandes chaudières de bouillie , qu'on nommait les chaudières d'Espagne , où l'on cuisait des marmitées de chair de cheval et d'âne : « on se battoit à qui en auroit ; >> on n'avait plus que du pain d ...
Page 18
... voyait plus un seul homme de l'armée royale dans les fau- bourgs ; le siège était levé . Henri IV n'aurait pu rester davantage au- tour de Paris sans s'exposer à une défaite inévitable . Le duc de Parme avait rejoint à Meaux le duc de ...
... voyait plus un seul homme de l'armée royale dans les fau- bourgs ; le siège était levé . Henri IV n'aurait pu rester davantage au- tour de Paris sans s'exposer à une défaite inévitable . Le duc de Parme avait rejoint à Meaux le duc de ...
Page 27
... voyait pas de bon œil et les avait menacés , à plusieurs reprises , de les punir de leurs menées indiscrètes . Henri IV s'impatientait aussi de l'espèce de pression qu'on prétendait exercer sur sa conscience . Un jour , comme il s ...
... voyait pas de bon œil et les avait menacés , à plusieurs reprises , de les punir de leurs menées indiscrètes . Henri IV s'impatientait aussi de l'espèce de pression qu'on prétendait exercer sur sa conscience . Un jour , comme il s ...
Common terms and phrases
Abraham Bosse Anne d'Autriche armée armes avaient avoit ballet Bibl bourgeois Broussel C'était campagne capitaine cardinal Mazarin carrosse chambre charges cheval coadjuteur Colbert collège comédiens comte Concini conseil costume cour couronne D'après une estampe d'Espagne devait Dieu duc d'Épernon duc d'Orléans duc de Mayenne duchesse ennemis Espagnols faisait femmes finances Fronde Gaston général gens gentilshommes gravure guerre civile Hennin Henri Henri III Henri IV hommes INSTITUTIONS jours l'armée l'Estoile l'État l'évêque de Luçon l'université lieutenant Ligue Longueville Louis XIII Louis XIV Louvre Luçon Luynes main maison maître Majesté marchands maréchal d'Ancre Marie de Médicis ment Molière mort n'avait n'était Navarre noblesse officiers Palais-Royal Parisiens parlement passer personne peuple Pierre de l'Estoile politique porte premier ministre prince de Condé princesse provinces quatre régente règne reine mère représenté Richelieu Rosny royale royaume rues s'était seigneurs Seize seulement siège sorte Sully théâtre troupes XVIIE SIÈCLE
Popular passages
Page 115 - Je lui promis d'employer toute mon industrie et toute l'autorité qu'il lui plaisait me donner pour ruiner le parti huguenot, rabaisser l'orgueil des Grands, réduire tous ses sujets en leur devoir et relever son nom dans les nations étrangères au point où il devait être1.
Page 52 - Je ne vous ai point appelés, comme faisaient mes prédécesseurs, pour vous faire approuver leurs volontés. Je vous ai fait assembler pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains; envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux.
Page 210 - Ces peuples d'ailleurs ont leur dieu et leur roi. Les grands de la nation s'assemblent tous les jours à une certaine heure, dans un temple qu'ils nomment église. Il ya au fond de ce temple un autel consacré à leur dieu, où un prêtre célèbre des mystères qu'ils appellent saints, sacrés et redoutables. Les grands...
Page 51 - Vous savez à vos dépens, comme moi aux miens, que lorsque Dieu m'a appelé à cette couronne, j'ai trouvé la France non seulement quasi ruinée, mais presque toute perdue pour les Français.
Page 3 - Je suis prêt à demander au roi, mon «seigneur, la paix, le repos de son royaume et le « mien On m'a souvent sommé de « changer de religion ; mais comment ? la dague à la « gorge Si vous désirez simplement mon «salut, je vous remercie; si vous ne désirez ma « conversion que par la crainte que vous avez qu'un «jour je vous contraigne, vous avez tort.
Page 373 - Or sus, Mesdames, la compassion et la charité vous ont fait adopter ces petites créatures pour vos enfants. Vous avez été leurs mères selon la grâce, depuis que leurs mères selon la nature les ont abandonnés. Voyez maintenant si vous voulez aussi les abandonner. Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges : leur vie et leur mort sont entre vos mains.
Page 47 - ... et désire avec passion la gloire, l'honneur et la grandeur de moi et de mon royaume; aussi, qu'il n'a rien de malin dans le cœur, a l'esprit fort industrieux et fertile en expédients...
Page 5 - Bonnes « nouvelles, mes amis! bonnes nouvelles! Le tyran est « mort : il n'ya plus de Henri de Valois en France.
Page 373 - Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges: leur vie et leur mort sont entre vos mains; je m'en vais prendre les voix et les suffrages: il est temps de prononcer leur arrêt, et de savoir si vous ne voulez plus avoir de miséricorde pour eux. Ils vivront si vous continuez d'en prendre un charitable soin ; et, au contraire, ils mourront et périront infailliblement si vous les abandonnez : l'expérience ne vous permet pas d'en douter.
Page 204 - Il regardait à droite et à gauche à son lever, à son coucher, à ses repas, en passant dans les appartements, dans ses jardins de Versailles, où seulement les courtisans...