XVIIme siècle, institutions, usages et costumes. France, 1590-1700 |
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... dans la grande histoire de son temps , la naissance de la Ligue à Paris : « Un parfumeur , nommé Pierre de la Bruyère et son fils Matthieu , con- XVIIE SIÈCLE . - INSTITUTIONS . - 1 seiller au Châtelet , y furent les premiers et les. Pl.
... dans la grande histoire de son temps , la naissance de la Ligue à Paris : « Un parfumeur , nommé Pierre de la Bruyère et son fils Matthieu , con- XVIIE SIÈCLE . - INSTITUTIONS . - 1 seiller au Châtelet , y furent les premiers et les. Pl.
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... nommé Jacques Clément , à se faire régicide et à sa- crifier sa vie , comme un martyr , pour frapper le tyran . Les prédica- teurs n'appelaient pas autrement Henri III , depuis le meurtre du duc de Guise et du cardinal de Lorraine aux ...
... nommé Jacques Clément , à se faire régicide et à sa- crifier sa vie , comme un martyr , pour frapper le tyran . Les prédica- teurs n'appelaient pas autrement Henri III , depuis le meurtre du duc de Guise et du cardinal de Lorraine aux ...
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... nommé Trimel , fut pendu , pour avoir écrit à un ami une lettre de badinerie , où il raillait les ligueurs en les qualifiant d'Espagnols , et une femme de bien , Mule de la Plante , fut décapitée , pour avoir dit , sous le sceau du ...
... nommé Trimel , fut pendu , pour avoir écrit à un ami une lettre de badinerie , où il raillait les ligueurs en les qualifiant d'Espagnols , et une femme de bien , Mule de la Plante , fut décapitée , pour avoir dit , sous le sceau du ...
Page 24
... nommé la Bruyère , tantôt chez Launoy , docteur en Sorbonne , et les assistants s'enga- gèrent par serment à partager la responsabilité des décisions qui se- raient prises dans l'intérêt de la Sainte - Union . On avait dressé des listes ...
... nommé la Bruyère , tantôt chez Launoy , docteur en Sorbonne , et les assistants s'enga- gèrent par serment à partager la responsabilité des décisions qui se- raient prises dans l'intérêt de la Sainte - Union . On avait dressé des listes ...
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... nommé Jean Roseau , effrayé de ce triple assassinat juridique , contemplait tristement son ouvrage , en disant : « Semble - t - il pas le Seigneur Jésus entre les deux larrons ! » Le peuple , Fig . 7 . — Barnaba Briffoni in fenatu ...
... nommé Jean Roseau , effrayé de ce triple assassinat juridique , contemplait tristement son ouvrage , en disant : « Semble - t - il pas le Seigneur Jésus entre les deux larrons ! » Le peuple , Fig . 7 . — Barnaba Briffoni in fenatu ...
Common terms and phrases
Abraham Bosse Anne d'Autriche armée armes avaient avoit ballet Bibl bourgeois Broussel C'était campagne capitaine cardinal Mazarin carrosse chambre charges cheval coadjuteur Colbert collège comédiens comte Concini conseil costume cour couronne D'après une estampe d'Espagne devait Dieu duc d'Épernon duc d'Orléans duc de Mayenne duchesse ennemis Espagnols faisait femmes finances Fronde Gaston général gens gentilshommes gravure guerre civile Hennin Henri Henri III Henri IV hommes INSTITUTIONS jours l'armée l'Estoile l'État l'évêque de Luçon l'université lieutenant Ligue Longueville Louis XIII Louis XIV Louvre Luçon Luynes main maison maître Majesté marchands maréchal d'Ancre Marie de Médicis ment Molière mort n'avait n'était Navarre noblesse officiers Palais-Royal Parisiens parlement passer personne peuple Pierre de l'Estoile politique porte premier ministre prince de Condé princesse provinces quatre régente règne reine mère représenté Richelieu Rosny royale royaume rues s'était seigneurs Seize seulement siège sorte Sully théâtre troupes XVIIE SIÈCLE
Popular passages
Page 115 - Je lui promis d'employer toute mon industrie et toute l'autorité qu'il lui plaisait me donner pour ruiner le parti huguenot, rabaisser l'orgueil des Grands, réduire tous ses sujets en leur devoir et relever son nom dans les nations étrangères au point où il devait être1.
Page 52 - Je ne vous ai point appelés, comme faisaient mes prédécesseurs, pour vous faire approuver leurs volontés. Je vous ai fait assembler pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains; envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux.
Page 210 - Ces peuples d'ailleurs ont leur dieu et leur roi. Les grands de la nation s'assemblent tous les jours à une certaine heure, dans un temple qu'ils nomment église. Il ya au fond de ce temple un autel consacré à leur dieu, où un prêtre célèbre des mystères qu'ils appellent saints, sacrés et redoutables. Les grands...
Page 51 - Vous savez à vos dépens, comme moi aux miens, que lorsque Dieu m'a appelé à cette couronne, j'ai trouvé la France non seulement quasi ruinée, mais presque toute perdue pour les Français.
Page 3 - Je suis prêt à demander au roi, mon «seigneur, la paix, le repos de son royaume et le « mien On m'a souvent sommé de « changer de religion ; mais comment ? la dague à la « gorge Si vous désirez simplement mon «salut, je vous remercie; si vous ne désirez ma « conversion que par la crainte que vous avez qu'un «jour je vous contraigne, vous avez tort.
Page 373 - Or sus, Mesdames, la compassion et la charité vous ont fait adopter ces petites créatures pour vos enfants. Vous avez été leurs mères selon la grâce, depuis que leurs mères selon la nature les ont abandonnés. Voyez maintenant si vous voulez aussi les abandonner. Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges : leur vie et leur mort sont entre vos mains.
Page 47 - ... et désire avec passion la gloire, l'honneur et la grandeur de moi et de mon royaume; aussi, qu'il n'a rien de malin dans le cœur, a l'esprit fort industrieux et fertile en expédients...
Page 5 - Bonnes « nouvelles, mes amis! bonnes nouvelles! Le tyran est « mort : il n'ya plus de Henri de Valois en France.
Page 373 - Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges: leur vie et leur mort sont entre vos mains; je m'en vais prendre les voix et les suffrages: il est temps de prononcer leur arrêt, et de savoir si vous ne voulez plus avoir de miséricorde pour eux. Ils vivront si vous continuez d'en prendre un charitable soin ; et, au contraire, ils mourront et périront infailliblement si vous les abandonnez : l'expérience ne vous permet pas d'en douter.
Page 204 - Il regardait à droite et à gauche à son lever, à son coucher, à ses repas, en passant dans les appartements, dans ses jardins de Versailles, où seulement les courtisans...