XVIIme siècle, institutions, usages et costumes. France, 1590-1700 |
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... cents prêtres , moines et écoliers , accom- pagnés de quelques bourgeois , qu'on appelait catholiques zélés , firent une montre , en belle ordonnance , dans la journée du 14 mai . Guillaume Rose , évêque de Senlis , marchait en tête ...
... cents prêtres , moines et écoliers , accom- pagnés de quelques bourgeois , qu'on appelait catholiques zélés , firent une montre , en belle ordonnance , dans la journée du 14 mai . Guillaume Rose , évêque de Senlis , marchait en tête ...
Page 36
... cents hommes d'armes . Après avoir reçu les clefs de Paris , que le prévôt des marchands lui of- frit sur un plat d'argent , il embrassa M. de Brissac , en lui don- nant le titre de maréchal de France ; puis , il voulut immédiatement se ...
... cents hommes d'armes . Après avoir reçu les clefs de Paris , que le prévôt des marchands lui of- frit sur un plat d'argent , il embrassa M. de Brissac , en lui don- nant le titre de maréchal de France ; puis , il voulut immédiatement se ...
Page 48
... cent mille livres de bois à ven- dre il les vendit et apporta l'argent au roi , pour subvenir aux besoins de la guerre , et depuis il ne quitta plus le service de Henri de Bourbon . A la bataille de Coutras ( 1588 ) , où il avait fait ...
... cent mille livres de bois à ven- dre il les vendit et apporta l'argent au roi , pour subvenir aux besoins de la guerre , et depuis il ne quitta plus le service de Henri de Bourbon . A la bataille de Coutras ( 1588 ) , où il avait fait ...
Page 58
... cents fainéants , en les remplaçant par de bons ouvriers ; il rouvrit les ateliers de poudrerie et de fonderie , passa des marchés avec les commissaires des salpêtres et les maîtres de for- ges , fit fondre des canons et des boulets ...
... cents fainéants , en les remplaçant par de bons ouvriers ; il rouvrit les ateliers de poudrerie et de fonderie , passa des marchés avec les commissaires des salpêtres et les maîtres de for- ges , fit fondre des canons et des boulets ...
Page 89
... cent mille livres au duc de Mayenne , et cent cinquante mille écus au prince de Condé . Tel fut l'emploi de l'argent qu'on avait obtenu de la chambre des comptes pour combattre les mécontents . Ceux - ci , avec la plus insigne mauvaise ...
... cent mille livres au duc de Mayenne , et cent cinquante mille écus au prince de Condé . Tel fut l'emploi de l'argent qu'on avait obtenu de la chambre des comptes pour combattre les mécontents . Ceux - ci , avec la plus insigne mauvaise ...
Common terms and phrases
Abraham Bosse Anne d'Autriche armée armes avaient avoit ballet Bibl bourgeois Broussel C'était campagne capitaine cardinal Mazarin carrosse chambre charges cheval coadjuteur Colbert collège comédiens comte Concini conseil costume cour couronne D'après une estampe d'Espagne devait Dieu duc d'Épernon duc d'Orléans duc de Mayenne duchesse ennemis Espagnols faisait femmes finances Fronde Gaston général gens gentilshommes gravure guerre civile Hennin Henri Henri III Henri IV hommes INSTITUTIONS jours l'armée l'Estoile l'État l'évêque de Luçon l'université lieutenant Ligue Longueville Louis XIII Louis XIV Louvre Luçon Luynes main maison maître Majesté marchands maréchal d'Ancre Marie de Médicis ment Molière mort n'avait n'était Navarre noblesse officiers Palais-Royal Parisiens parlement passer personne peuple Pierre de l'Estoile politique porte premier ministre prince de Condé princesse provinces quatre régente règne reine mère représenté Richelieu Rosny royale royaume rues s'était seigneurs Seize seulement siège sorte Sully théâtre troupes XVIIE SIÈCLE
Popular passages
Page 115 - Je lui promis d'employer toute mon industrie et toute l'autorité qu'il lui plaisait me donner pour ruiner le parti huguenot, rabaisser l'orgueil des Grands, réduire tous ses sujets en leur devoir et relever son nom dans les nations étrangères au point où il devait être1.
Page 52 - Je ne vous ai point appelés, comme faisaient mes prédécesseurs, pour vous faire approuver leurs volontés. Je vous ai fait assembler pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains; envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux.
Page 210 - Ces peuples d'ailleurs ont leur dieu et leur roi. Les grands de la nation s'assemblent tous les jours à une certaine heure, dans un temple qu'ils nomment église. Il ya au fond de ce temple un autel consacré à leur dieu, où un prêtre célèbre des mystères qu'ils appellent saints, sacrés et redoutables. Les grands...
Page 51 - Vous savez à vos dépens, comme moi aux miens, que lorsque Dieu m'a appelé à cette couronne, j'ai trouvé la France non seulement quasi ruinée, mais presque toute perdue pour les Français.
Page 3 - Je suis prêt à demander au roi, mon «seigneur, la paix, le repos de son royaume et le « mien On m'a souvent sommé de « changer de religion ; mais comment ? la dague à la « gorge Si vous désirez simplement mon «salut, je vous remercie; si vous ne désirez ma « conversion que par la crainte que vous avez qu'un «jour je vous contraigne, vous avez tort.
Page 373 - Or sus, Mesdames, la compassion et la charité vous ont fait adopter ces petites créatures pour vos enfants. Vous avez été leurs mères selon la grâce, depuis que leurs mères selon la nature les ont abandonnés. Voyez maintenant si vous voulez aussi les abandonner. Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges : leur vie et leur mort sont entre vos mains.
Page 47 - ... et désire avec passion la gloire, l'honneur et la grandeur de moi et de mon royaume; aussi, qu'il n'a rien de malin dans le cœur, a l'esprit fort industrieux et fertile en expédients...
Page 5 - Bonnes « nouvelles, mes amis! bonnes nouvelles! Le tyran est « mort : il n'ya plus de Henri de Valois en France.
Page 373 - Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges: leur vie et leur mort sont entre vos mains; je m'en vais prendre les voix et les suffrages: il est temps de prononcer leur arrêt, et de savoir si vous ne voulez plus avoir de miséricorde pour eux. Ils vivront si vous continuez d'en prendre un charitable soin ; et, au contraire, ils mourront et périront infailliblement si vous les abandonnez : l'expérience ne vous permet pas d'en douter.
Page 204 - Il regardait à droite et à gauche à son lever, à son coucher, à ses repas, en passant dans les appartements, dans ses jardins de Versailles, où seulement les courtisans...