17e siècle: institutions, usages et costumes: France, 1590-1700 |
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... avaient laissé tomber en ruines depuis le règne de François Ier . Mayenne , comme chef de l'Union et lieutenant général de l'État et couronne de France , avait convoqué tous les seigneurs et gentilshommes qui avaient prêté serment à la ...
... avaient laissé tomber en ruines depuis le règne de François Ier . Mayenne , comme chef de l'Union et lieutenant général de l'État et couronne de France , avait convoqué tous les seigneurs et gentilshommes qui avaient prêté serment à la ...
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... avaient réussi à rendre odieux à ses sujets , était chéri de ses serviteurs , qui le connaissaient bien , et qui le regardaient comme le meilleur et le plus généreux des maîtres , mais ses ennemis le représentaient comme un monstre ...
... avaient réussi à rendre odieux à ses sujets , était chéri de ses serviteurs , qui le connaissaient bien , et qui le regardaient comme le meilleur et le plus généreux des maîtres , mais ses ennemis le représentaient comme un monstre ...
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... avaient passé la Seine et s'avançèrent jusqu'au faubourg Saint - Jacques , à la faveur de la nuit ( 9 août ) : on les attendait pour leur ouvrir une porte de la ville . Tout à coup le tocsin leur an- nonça que leur entreprise était ...
... avaient passé la Seine et s'avançèrent jusqu'au faubourg Saint - Jacques , à la faveur de la nuit ( 9 août ) : on les attendait pour leur ouvrir une porte de la ville . Tout à coup le tocsin leur an- nonça que leur entreprise était ...
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... avaient été lues dans toutes les églises et affichées aux quatre portes de la cathédrale . Les Seize avaient emprisonné , sans forme de procès , plusieurs individus suspects d'attachement au Béarnais : un ancien secrétaire du roi ...
... avaient été lues dans toutes les églises et affichées aux quatre portes de la cathédrale . Les Seize avaient emprisonné , sans forme de procès , plusieurs individus suspects d'attachement au Béarnais : un ancien secrétaire du roi ...
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... avaient vendu la ville aux hérétiques ! >> Mais le peuple , qu'il espérait « esmouvoir au sang et au carnage , >> lui tourna le dos et ne bougea pas . Les Seize étaient allés solliciter les chefs des troupes napolitaines et espagnoles ...
... avaient vendu la ville aux hérétiques ! >> Mais le peuple , qu'il espérait « esmouvoir au sang et au carnage , >> lui tourna le dos et ne bougea pas . Les Seize étaient allés solliciter les chefs des troupes napolitaines et espagnoles ...
Common terms and phrases
Abraham Bosse Anne d'Autriche armée armes avaient avoit ballet Bibl bourgeois C'était camp capitaine cardinal carrosse catholiques cavalerie chambre charges cheval Colbert collège comédiens compagnie Concini conseil costume cour courtisans D'après une estampe d'armes d'Espagne dames devant Dieu duc d'Épernon duc d'Orléans duc de Mayenne Espagnols faisait femmes finances française Fronde Gaston général gens gentilshommes graveur Hennin Henri Henri III Henri IV hommes INSTITUTIONS jours l'armée l'Estoile l'État l'évêque de Luçon l'hôtel de Bourgogne l'université lieutenant Ligue ligueurs livres Louis XIII Louis XIV Louvre Luçon Luynes main maison maître Majesté marchands Marie de Médicis Mazarin ment militaire Molière mort n'avait n'était Navarre noblesse officiers Parisiens parlement passer pendant peuple Pierre de l'Estoile politique porte prince de Condé princesse provinces quatre régente régiment reine mère représenté Richelieu Rosny royale royaume rues s'était Seize servir seulement siège soldats sorte Sully théâtre troupes XVIIE SIÈCLE
Popular passages
Page 115 - Je lui promis d'employer toute mon industrie et toute l'autorité qu'il lui plaisait me donner pour ruiner le parti huguenot, rabaisser l'orgueil des Grands, réduire tous ses sujets en leur devoir et relever son nom dans les nations étrangères au point où il devait être1.
Page 52 - Je ne vous ai point appelés, comme faisaient mes prédécesseurs, pour vous faire approuver leurs volontés. Je vous ai fait assembler pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains; envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux.
Page 210 - Ces peuples d'ailleurs ont leur dieu et leur roi. Les grands de la nation s'assemblent tous les jours à une certaine heure, dans un temple qu'ils nomment église. Il ya au fond de ce temple un autel consacré à leur dieu, où un prêtre célèbre des mystères qu'ils appellent saints, sacrés et redoutables. Les grands...
Page 51 - Vous savez à vos dépens, comme moi aux miens, que lorsque Dieu m'a appelé à cette couronne, j'ai trouvé la France non seulement quasi ruinée, mais presque toute perdue pour les Français.
Page 3 - Je suis prêt à demander au roi, mon «seigneur, la paix, le repos de son royaume et le « mien On m'a souvent sommé de « changer de religion ; mais comment ? la dague à la « gorge Si vous désirez simplement mon «salut, je vous remercie; si vous ne désirez ma « conversion que par la crainte que vous avez qu'un «jour je vous contraigne, vous avez tort.
Page 373 - Or sus, Mesdames, la compassion et la charité vous ont fait adopter ces petites créatures pour vos enfants. Vous avez été leurs mères selon la grâce, depuis que leurs mères selon la nature les ont abandonnés. Voyez maintenant si vous voulez aussi les abandonner. Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges : leur vie et leur mort sont entre vos mains.
Page 47 - ... et désire avec passion la gloire, l'honneur et la grandeur de moi et de mon royaume; aussi, qu'il n'a rien de malin dans le cœur, a l'esprit fort industrieux et fertile en expédients...
Page 5 - Bonnes « nouvelles, mes amis! bonnes nouvelles! Le tyran est « mort : il n'ya plus de Henri de Valois en France.
Page 373 - Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges: leur vie et leur mort sont entre vos mains; je m'en vais prendre les voix et les suffrages: il est temps de prononcer leur arrêt, et de savoir si vous ne voulez plus avoir de miséricorde pour eux. Ils vivront si vous continuez d'en prendre un charitable soin ; et, au contraire, ils mourront et périront infailliblement si vous les abandonnez : l'expérience ne vous permet pas d'en douter.
Page 204 - Il regardait à droite et à gauche à son lever, à son coucher, à ses repas, en passant dans les appartements, dans ses jardins de Versailles, où seulement les courtisans...