17e siècle: institutions, usages et costumes: France, 1590-1700 |
From inside the book
Results 1-5 of 20
Page 77
... Concini . - Faveur de Luynes . - Meurtre du maréchal d'Ancre ; supplice de Léonora Galigaï . — - Disgrâce de la reine mère . ' ASSASSIN de Henri IV se nominait Fran- çois Ravaillac . C'était un homme grand et robuste , ayant la barbe ...
... Concini . - Faveur de Luynes . - Meurtre du maréchal d'Ancre ; supplice de Léonora Galigaï . — - Disgrâce de la reine mère . ' ASSASSIN de Henri IV se nominait Fran- çois Ravaillac . C'était un homme grand et robuste , ayant la barbe ...
Page 85
... Concini surtout , et ne songeait qu'à s'affermir dans le pouvoir , qu'elle croyait ne partager avec personne : elle diminua d'un quart le prix du sel ; elle confirma le fameux édit de Nantes , en tous ses points et articles ; elle ...
... Concini surtout , et ne songeait qu'à s'affermir dans le pouvoir , qu'elle croyait ne partager avec personne : elle diminua d'un quart le prix du sel ; elle confirma le fameux édit de Nantes , en tous ses points et articles ; elle ...
Page 86
... Concini , devenu marquis d'Ancre , et le vieux duc de Bellegarde , divisa la cour en deux factions hostiles ; et , pour éviter un plus grand éclat , la reine mère se vit obligée de mettre aux arrêts les deux adversaires . La cour , qui ...
... Concini , devenu marquis d'Ancre , et le vieux duc de Bellegarde , divisa la cour en deux factions hostiles ; et , pour éviter un plus grand éclat , la reine mère se vit obligée de mettre aux arrêts les deux adversaires . La cour , qui ...
Page 87
... Concini , qui avait été l'âme du complot contre le ministre favori de Henri IV , il demanda et prit tout ce qu'il voulut dans le trésor de la Bastille , et il continua , avec plus d'effronterie que jamais , le train ordinaire de ses ...
... Concini , qui avait été l'âme du complot contre le ministre favori de Henri IV , il demanda et prit tout ce qu'il voulut dans le trésor de la Bastille , et il continua , avec plus d'effronterie que jamais , le train ordinaire de ses ...
Page 88
... Concini , et le trésor de la Bastille , qui s'épuisait rapidement . Le parti des princes , se voyant joué par le marquis d'Ancre , quitta la cour , et son chef , le prince de Condé , publia un manifeste , dans le- quel il réclamait ...
... Concini , et le trésor de la Bastille , qui s'épuisait rapidement . Le parti des princes , se voyant joué par le marquis d'Ancre , quitta la cour , et son chef , le prince de Condé , publia un manifeste , dans le- quel il réclamait ...
Common terms and phrases
Abraham Bosse Anne d'Autriche armée armes avaient avoit ballet Bibl bourgeois C'était camp capitaine cardinal carrosse catholiques cavalerie chambre charges cheval Colbert collège comédiens compagnie Concini conseil costume cour courtisans D'après une estampe d'armes d'Espagne dames devant Dieu duc d'Épernon duc d'Orléans duc de Mayenne Espagnols faisait femmes finances française Fronde Gaston général gens gentilshommes graveur Hennin Henri Henri III Henri IV hommes INSTITUTIONS jours l'armée l'Estoile l'État l'évêque de Luçon l'hôtel de Bourgogne l'université lieutenant Ligue ligueurs livres Louis XIII Louis XIV Louvre Luçon Luynes main maison maître Majesté marchands Marie de Médicis Mazarin ment militaire Molière mort n'avait n'était Navarre noblesse officiers Parisiens parlement passer pendant peuple Pierre de l'Estoile politique porte prince de Condé princesse provinces quatre régente régiment reine mère représenté Richelieu Rosny royale royaume rues s'était Seize servir seulement siège soldats sorte Sully théâtre troupes XVIIE SIÈCLE
Popular passages
Page 115 - Je lui promis d'employer toute mon industrie et toute l'autorité qu'il lui plaisait me donner pour ruiner le parti huguenot, rabaisser l'orgueil des Grands, réduire tous ses sujets en leur devoir et relever son nom dans les nations étrangères au point où il devait être1.
Page 52 - Je ne vous ai point appelés, comme faisaient mes prédécesseurs, pour vous faire approuver leurs volontés. Je vous ai fait assembler pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains; envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux.
Page 210 - Ces peuples d'ailleurs ont leur dieu et leur roi. Les grands de la nation s'assemblent tous les jours à une certaine heure, dans un temple qu'ils nomment église. Il ya au fond de ce temple un autel consacré à leur dieu, où un prêtre célèbre des mystères qu'ils appellent saints, sacrés et redoutables. Les grands...
Page 51 - Vous savez à vos dépens, comme moi aux miens, que lorsque Dieu m'a appelé à cette couronne, j'ai trouvé la France non seulement quasi ruinée, mais presque toute perdue pour les Français.
Page 3 - Je suis prêt à demander au roi, mon «seigneur, la paix, le repos de son royaume et le « mien On m'a souvent sommé de « changer de religion ; mais comment ? la dague à la « gorge Si vous désirez simplement mon «salut, je vous remercie; si vous ne désirez ma « conversion que par la crainte que vous avez qu'un «jour je vous contraigne, vous avez tort.
Page 373 - Or sus, Mesdames, la compassion et la charité vous ont fait adopter ces petites créatures pour vos enfants. Vous avez été leurs mères selon la grâce, depuis que leurs mères selon la nature les ont abandonnés. Voyez maintenant si vous voulez aussi les abandonner. Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges : leur vie et leur mort sont entre vos mains.
Page 47 - ... et désire avec passion la gloire, l'honneur et la grandeur de moi et de mon royaume; aussi, qu'il n'a rien de malin dans le cœur, a l'esprit fort industrieux et fertile en expédients...
Page 5 - Bonnes « nouvelles, mes amis! bonnes nouvelles! Le tyran est « mort : il n'ya plus de Henri de Valois en France.
Page 373 - Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges: leur vie et leur mort sont entre vos mains; je m'en vais prendre les voix et les suffrages: il est temps de prononcer leur arrêt, et de savoir si vous ne voulez plus avoir de miséricorde pour eux. Ils vivront si vous continuez d'en prendre un charitable soin ; et, au contraire, ils mourront et périront infailliblement si vous les abandonnez : l'expérience ne vous permet pas d'en douter.
Page 204 - Il regardait à droite et à gauche à son lever, à son coucher, à ses repas, en passant dans les appartements, dans ses jardins de Versailles, où seulement les courtisans...