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plus vite, mais ces imbéciles se fatiguaient quand les chevaux avaient galopé dix minutes et ils tombaient sur la route; il y en a même un qui est resté quelque part sur le chemin. Il reviendra plus tard.

Le général, se retournant vers ses domestiques, donna des ordres pour qu'on allât au plus vite avec une charrette à la recherche de ce pauvre garçon.

Allez dire qu'on donne cent coups de bâton à cet animal. (Page 418, col. 1.)

Mon second fils Yégor, a imaginé de casser une branche dans le bois et de taper les chevaux, qui sont partis ventre à terre; j'ai fait courir Savéli et Dmitri tant qu'ils ont pu se tenir sur leurs jambes; impossible de rattraper ces maudits chevaux. Alors j'ai seulement fouetté Yégor, et puis nous nous sommes tous entassés avec les enfants et les bonnes dans le fourgon des domestiques, et nous avons été longtemps en route, parce que les chevaux avaient de la peine à tirer. J'ai fait pousser à la roue par les domestiques pour aller

MME PAPOFSKI. Ah! mon cher oncle! Comme vous êtes bon! vous êtes admirable!

LE GÉNÉRAL, quittant le bras de sa nièce. Assez, Maria Pétrovna; je n'aime pas les flatteurs et je déteste les flatteries. Voici votre appartement; entrez, je vous suis.

Mme Papofski rougit, entra et se trouva en face de Mme Dérigny et des enfants qui achevaient les derniers embellissements dans la chambre de la nièce du général. Mme Dérigny salua; Jacques et Paul firent aussi leur petit salut; Mme Papofski leur jeta un regard hautain, fit une légère inclination de la tête et passa. Le général, mécontent du froid accueil fait à ses favoris, fit un demi-tour, se dirigea, sans prononcer un seul mot, vers la porte de la chambre, après avoir fait à Mme Dérigny et à ses deux enfants signe de le suivre, et sortit en fermant la porte après lui. Il retrouva dans le corridor les huit enfants de Mme Papofski, rangés contre le mur.

LE GÉNÉRAL. Que faites-vous donc là, enfants?

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Ces imbéciles se fatiguaient quand les chevaux avaient tiré pendant dix minutes. (Page 420, col. 2.)

SONUSHKA. Mon oncle, nous attendons que maman nous permette d'entrer.

LE GÉNÉRAL. Comment, imbéciles! vous ne pouvez pas entrer sans permission?

MITINEKA. Oh! non, mon oncle, maman serait en colère.

LE GÉNÉRAL. Que fait-elle quand elle est en colère?

YÉGOR. Elle nous bat, elle nous tire les cheveux. LE GÉNÉRAL. Attendez, mes amis, je vais vous faire entrer moi; suivez-moi et ne craignez rien. Jacques et Paul, faites l'avant-garde des enfants; vous aiderez à les établir chez eux.

Le général avança jusqu'à la porté qui donnait dans l'appartement des enfants, et les fit tous en

trer; puis il alla vers la porte qui communiquait à la chambre de sa nièce, l'entr'ouvrit, et lui dit à trèshaute voix :

«Ma nièce, j'ai amené les enfants dans leurs chambres; je vais leur envoyer les bonnes, et je ferme cette porte pour que vous ne puissiez entrer chez eux qu'en passant par le corridor.

MME PAPOFSKI. Non, mon oncle; je vous en prie, laissez cette porte ouverte; il faut que j'aille les voir, les corriger quand j'entends du bruit. Jugez donc, mon oncle, une pauvre femme sans appui, sans fortune !... je suis seule pour les élever. LE GÉNÉRAL. Ma chère amie, ce sera comme je le dis, sans quoi je ne vous viens en aide d'aucune manière. Et si, pendant votre séjour ici, j'apprends que vous ayez fouetté, maltraité.

CLAPLANTE S

et elle commença sa toilette. On ne lui avait pas interdit de faire enrager ses femmes de chambre; les deux qui étaient présentes ne reçurent que sottises et menaces en récompense de leurs efforts pour bien faire; mais à leur grande surprise et satisfaction, elles ne reçurent ni soufflets, ni égratignures. Comtesse DE SÉGUR.

(La suite au prochain numéro.)

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JULES.

J'ai connu un jeune garçon qui aurait pu passer pour très-aimable s'il n'avait pas gâté toutes ses bonnes qualités par un bien vilain défaut il était raisonneur, et ne cédait jamais qu'après avoir lutté contre le désir de sa mère et la volonté de son père. Ni les remontrances de l'une, ni les sérieux avis de l'autre ne parvenaient à dompter la nature vaniteuse de sa petite tête, car chez lui la tête seule était mauvaise. Ce petit bonhomme, que nous nommerons Jules, si vous voulez, avait un assez hon cœur, et quand il faisait du chagrin à quelqu'un, il en était aussitôt intérieurement repentant. Mais, toujours par suite de sa vanité, il renfermait ce chagrin en luimême, et bien souvent on l'aurait cru sans cœur, si l'on n'avait vu une larme briller dans ses yeux.... Pauvre petit! il se faisait bien du mal en se contraignant ainsi, et il attristait bien sa pauvre maman qui, après

Il vit avec surprise un enfant endormi. (Page 418, col. 2.)

vos enfants ou vos femmes, je vous en témoignerai mon mécontentement.... dans mon testament.

MME PAPOFSKI. Mon bon oncle, faites comme vous voudrez; soyez sûr que je ne.... »

Tr, tr, tr, la clef a tourné dans la serrure qui se trouve fermée. Mme Papofski, la rage dans le cœur, réfléchit pourtant aux six cent mille roubles de revenu de son oncle, à sa générosité bien connue, à son âge avancé, à sa corpulence, à ses nombreuses blessures. Ces souvenirs la calmèrent, lui rendirent sa bonne humeur,

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Oh! monsieur, s'écria Jules, maman est donc bien malade, pour défendre que je sois près d'elle!

- Bien malade, non, répond le docteur en passant sa main dans les longs cheveux blonds de Jules; mais sa sensibilité est telle, et votre habitude de raisonner si grande, que je crains pour elle quelques-unes de ces petites luttes que vous soutenez à propos de rien. En ce moment, toute émotion augmenterait le mal et pourrait le rendre grave.

Oh! monsieur, dit résolument le petit Jules en regardant le docteur, est-ce que vous croyez vraiment que je fais du mal à maman en lui tenant tête, comme elle dit?

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- Il me dit que je suis bien malheureux, et que j'ai grand tort de lui avoir fait du chagrin.

Eh bien! mon petit ami, écoutez votre cœur; ses réflexions sont meilleures que celles de votre bonne. Adieu, mon enfant, adieu! ajouta le docteur en embrassant Jules, qui était tout rouge d'émotion. Ménagez l'organisation de votre chère maman, et, si vous êtes. bien sage, je vous apporterai demain une petite histoire qui, j'en suis sûr, vous intéressera. »

Le lendemain, le bon docteur apportait à Jules l'histoire qu'on va lire.

LA SENSITIVE.

Deux enfants, entrant un matin dans la serre de leur père, virent le jardinier occupé à donner des soins à une sensitive qu'il avait achetée la veille. Il montra cette jolie plante aux enfants, leur fit admirer la grâce • et la délicatesse de ses folioles multipliées, et leur fit remarquer la propriété qu'elles ont de se replier sur elles-mêmes au plus léger contact; puis il les pria de ne jamais y toucher.

Et pourquoi cette plante replie-t-elle ainsi son feuillage quand on y touche! demanda le plus jeune des enfants.

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Et tout fut dit pour ce jour-là.

Le lendemain et les jours suivants, les enfants vinrent avec empressement rendre visite à la sensitive. Le cadet, d'un naturel plus sensible que raisonneur, avait conservé dans son cœur ces paroles du jardinier, cela lui fait mal, et se gardait bien d'y toucher. L'autre, au contraire, plus raisonneur que sensible, n'avait été frappé que de la dernière explication, et ne se faisait nul scrupule de porter-sans cesse les doigts sur les folioles impressionnables de la sensitive, en dépit de son frère qui cherchait à l'en empêcher.

« Cela lui fait mal! disait ce dernier.

Eh! non, répondait-il en riant; elle replie ses feuilles, parce que c'est dans son organisation! »

Quelle ne fut pas la tristesse des deux frères, le matin où, entrant dans la serre pour donner, comme d'habitude, le bonjour à leur plante favorite, ils la trouvèrent flétrie sur sa tige!

« Presque morte! disait avec douleur le jardinier qui la contemplait. Presque morte.... malgré mes soins!... Ma pauvre fleur!... Il faut que quelqu'un y ait touché souvent. >>

Alors le plus jeune des enfants s'écria, les larmes aux yeux, en s'adressant à son frère :

« Je te disais bien que tu lui faisais du mal! - Cela ne se peut pas ! reprit vivement le coupable d'une voix altérée par le chagrin et avec un reste d'assurance vaniteuse, cela ne se peut pas, puisqu'il est dans son organisation de se replier sous le toucher!

C'est ce qui aurait dû vous faire comprendre, reprit le jardinier d'un ton sévère, que si Dieu l'a organisée pour se replier ainsi au moindre attouchement et sous le moindre souffle, il en résulte que sa grande impressionnabilité la rend incapable de le supporter longtemps sans souffrir au point d'en mourir!... Hélas! oui, c'était dans son organisation! et.... elle va mourir!... »

A force de soins, cependant, le jardinier rappela sa chère plante à la vie; mais il s'en était fallu de bien peu qu'elle fût morte victime de la persistance de l'enfant à résister aux conseils de son frère....

VARIÉTÉS.

L'ACROBATE.

MME GAEL.

Il n'y a heureusement aucune profession dont les devoirs ne puissent se concilier avec l'amour et la pratique de la vertu, mais il en est quelques-unes qui rendent cette alliance plus difficile et plus rare. Si les obstacles que la vertu rencontre dans ses développements, selon les circonstances où elle est placée, doivent ajouter à son mérite, on ne saurait donner trop d'éloges à la conduite de Joseph-Nicolas Plège, né à Troyes, acrobate de profession.

Plège avait manifesté dès l'enfance un excellent naturel, qui s'est fortifié avec l'âge. Ce pauvre funambule, à peine adulte, s'aperçut tout à coup que sa vigueur et sa dextérité pouvaient être bonnes à autre chose qu'à l'amusement du peuple, et que le plus beau des tours de force était de sauver la vie d'un homme. A dix-huit ans, et sachant à peine nager, il retira du Rhône, à Lyon, deux ouvriers qui allaient périr.

Un an après, il se distingue à Chinon dans un in

cendie, et arrache aux flammes des valeurs considérables, qu'il remet intactes à leur propriétaire. En 1835, un incendie plus désastreux se déclare à la halle au blé d'Alençon. Plège, exercé à marcher sur des surfaces étroites et mobiles, se trouve partout où il y a des secours à porter. Un ouvrier, nommé Gérard, était tombé, suffoqué par une épaisse fumée, dans une pièce que le feu entoure de toutes parts; Plège le rapporte vivant dans ses bras, et le plancher, s'écroule à l'instant même derrière eux. Un autre homme est renversé par une poutre brûlante qui le blesse grièvement; Plège le ramène vivant au milieu d'une pluie de feu qui n'est pas factice et inoffensive comme celle de son théâtre. Pour la troisième fois de cette nuit, le feu a gagné ses vêtements.

La troupe de Plège est dissoute à Caen. Le funambule regagne Alençon, où il a laissé d'autres souvenirs que ceux de son agilité. La multitude accourut pour le voir encore, mais il a donné sa représentation de clôture; il doit partir le lendemain, quand, pendant la nuit du 30 au 31 mai, un nouvel incendie se manifeste dans les écuries d'un commissionnaire de roulage. Nos lecteurs devinent bien que Plège y est encore. Où serait Plège, si ce n'est là où est le danger?

Cependant, un honnête ouvrier l'a devancé pour détacher un soliveau que la flamme menace. La fumée entoure cet ouvrier et le suffoque; il tombe et disparait. Plège se précipite après lui et le sauve pour la seconde fois, car c'était ce brave Gérard qu'il avait déjà sauvé; Gérard qui lui doit deux fois la vie.

Ce n'est pas tout. Pour diriger plus utilement le jeu. d'une pompe, Plège monte sur un toit près de crouler qui surmonte encore, par une espèce de miracle, le foyer de l'incendie. Un autre brave homme y était seul alors, debout sur une solive; la solive se rompt. Plège soutient l'homme d'un bras assuré au-dessus d'un abime de feu, et redescend avec lui du milieu des flammes, au grand étonnement et à la grande joie du peuple. Il était temps, car le toit tout entier s'est affaissé un instant après.

L'auteur innocent de cette catastrophe, un domestique nommé François Brébion, en avait été la première victime, et l'infortuné laissait une femme avec trois petits enfants. Plège, à demi privé de l'usage de ses pieds et de ses mains, Plège, couvert de brûlures et de contusions, retarde son départ d'un jour et donne une représentation à leur bénéfice, représentation qui fut très-productive et dont il ne se réserva rien.

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toute cette côte, on jouit, sur celle de Coromandel, d'un temps parfaitement calme et d'une température sèche; et, de même, quand la saison des pluies commence dans le Coromandel, l'été commence dans le Malabar. Cependant, ces deux côtes sont à la même élévation, et ne sont séparées que par les montagnes des Ghates, qui courent du nord au midi. Quand on est sur leur cime, on n'a qu'un pas à faire pour passer de l'été à l'hiver ou de l'hiver à l'été.

L'hiver commence dans le Malabar vers les premiers jours du mois de juin, et finit au mois d'octobre. Alors, non-seulement la mer cesse d'être navigable, mais il y a peu de ports où les navires soient en sûreté et à l'abri des orages mêlés d'éclairs et dé tonnerres effroyables, qui troublent l'air dans cette saison. C'est du sud que viennent les nuages; le vent les pousse avec violence vers les montagnes des Ghates, où ils se brisent et se résolvent en pluie; ces eaux forment des torrents qui inondent les campagnes. Cette saison, d'ailleurs, n'a rien de rigoureux; et l'on n'éprouve jamais, dans ce pays, de froid qui mérite le nom d'hiver. C'est même pendant ce temps-là que la plupart des fruits arrivent à leur maturité, et que les fleurs et les plantes ont le plus de beauté.

L'été commence au mois d'octobre; dans tout le cours de cette saison, on voit à peine au ciel le plus léger nuage; et, malgré les chaleurs brûlantes auxquelles le pays est exposé pendant le jour, les nuits. sont toujours fraîches et peuvent même quelquefois passer pour froides.

Aussi, on peut dire que la côte de Malabar est le plus beau climat de l'Inde. Toute la plage étant fort basse et le terrain s'élevant par degrés, on découvre de la mer une partie des richesses de cette délicieuse contrée. Les villes et les bourgades qui bordent la côte, des bois de cocotiers et des palmiers toujours verts, des prairies charmantes, de vastes plaines, des rivières, des ruisseaux, des lacs, et mille autres objets diversifiés forment le coup d'œil le plus agréable. On jouit de ce charmant spectacle depuis la pointe du cap Comorin jusqu'à Goa. X.

MORALE DE L'ENFANCE.
(SUITE.)

Savez-vous comme on peut échapper aux flatteurs,
Et ne point redouter leur artifice extrême?
En ne s'aveuglant pas sur ses propres erreurs,
Et, sans nulle indulgence en se jugeant soi-même.
Trop présumer de soi, ce n'est pas être sage.
Je n'aime point qu'on croie avoir toujours bien fait :
C'est comme un ouvrier qui se croirait parfait
Dès le premier moment de son apprentissage.
Il faut se surveiller avec un soin extrême.
Personne n'est exempt de fautes ou d'erreur.
Qui se trompe le moins sans doute est le meilleur;
Et l'on ne doit jamais trop compter sur soi-même.

Quand on ose toujours se croire sûr de soi,
Dans des fautes sans nombre à chaque instant l'on tombe.
Fuir les occasions est la meilleure loi.

Qui s'expose au danger, tôt ou tard y succombe.
Lorsque vous aurez tort, soyez de bonne foi;
Sachez en convenir, et l'avouer sans peine.
Craignez l'entêtement qu'un fol orgueil entraine;
L'honneur, la probité, vous en font une loi.

MOREL DE VINDE.

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ÉCITS HISTORIQUES D'Aguesseau, 134.

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Anaxi-

mène, 111. Aster, 279. Les Audiences de Jean V et
de son ministère, 70. Baptême de Notre-Seigneur,
Bataille de Marignan, 271. Bentinck, 399.

194.

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Le

Campagne de 1672, érection de la porte Saint-Denis, 74.
La Chevalerie, 311. Combat d'Arques, 407. Le
Commandeur de Jars, 194. Conquête de la Franche-
Comté; érection de la porte Saint-Martin, 114. Con-
spiration des poudres, 257. - Les Dames de Beauvais, 350. - La Dau-
phine, 318. Le Désastre de Lisbonne, 74 - Dévouement filial d'Enée,
170.- Le duc de Clarence, 407. Édouard VI, 30. - Le prince Édouard
en Palestine, 183. Les Églises et les couvents de l'Abyssinie, 102. -
Elie enlevé au ciel, 279. Enfance de Turenne, 223. - Enfance de Moïse,
63. Un Épisode du siége d'Orléans, 11. - L'Esclavage chez les anciens,
162.- Eusèbe, 30. -François Ier dans l'atelier de Cellini, 224.
comte de la Garaye, 350. L'héroïne de Trembowlo, 30. - L'Ile de Cu-
raçao, 126. Jean Bart, 399.-Jeanne Hachette, 400.- Kesra, 194.
Lambert. Simnel, 282. - Laubanie, 38. Mantinci, 202.
Saint-Pierre, 202. Les Martyrs du christianisme, 270.-Menzikoff dans
l'exil, 334. Moïse et Aaron devant le roi d'Égypte, 10.- La Multipli-
cation des pains, 111.- Paroles de Louis XIV, 407.- Pierre Ier en Hol-
ande, 231. Pierre et les Strelitz, 406. Le Pont de Lodi, 303.- Prise

de Constantinople par les Français, 327. Le Prophète Jérémie, 2.

Régulus, 370. - Rencontre de Jacob et d'Esau, 87. Réponse d'un
jeune prince à son père, 223. - Réponse de François Ier, 351.-Richard
Cœur de Lion et Conrad, 185. Le roi Stanislas, 391. Saint Jean Né-
pomucène, 318. Tournefort, 2. - Le Voeu du faisan, 95.

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ARIÉTÉS L Acrobate, 422.- Alfinger, 402. — L'Ane
et son ombre, 39. - Antoiue de Lève, 106. Applica-
tion à l'étude, 254. L'Aubépine et le figuier, 295.
Audace et succès, 351. - Auxerre, 83. Une Aventure
de Mungo-Park, 319. Belles paroles de Constantin.
175.- La Belette entrée dans un grenier, 383.- Le
Berger d'Ettrick, 274. Bóne (Algérie). 135. La
Bonne vache. 402. Brest, 319. Bruges, 368.

Buffon et son valet de chambre, 239. Calcutta, 105.- La Calomnie,

198. Le Canal des deux mers, 176. Les Cèdres du Liban. 287.

Cette, 359. Charnacé, 303. Chappe d'Auteroche, 78. - Chasse à

l'ours dans les Pyrénées, 191. Chassot, 295. - Les Chiens du Japon,

15. Le Chien de l'étudiant, 31. Le Chien du décrotteur, 54. - Le

Chien savant, 175. Les Chiens savants, 256. Les Chinois convertis

255.- Classac et son ami, 63. Le Commerce en France au quinzième

siècle, 264. Coquilles et plantes de Maldives, 47. - Les côtes de Sar-

daigne, 151.. - David et son fils, 22. - Desmarets, 23. Les Deux

jumeaux, 287.

Martyre de

Les Deux enfants perdus, 342. Dévouement d'un

manœuvre, 255. Le Double supplice, 218. Duhamel du Monceau,

231. Les Dunes de Gascogne, 181. L'Eau et le feu, 47. Les

Eaux, 207, L'Écritoire renversée, 159.- - Eglise Saint-Pierre à Auxerre,

104. Les Éléphants, 295. Les Environs de Coimbre, 247. - L'ED-

trevue d'Aigues-Mortes, 71. - La Fauvette, 327. - Les Fées, 200, 208,

216. La Fontaine des Innocents, 71. Les Frères hospitaliers, 127.

Frescobaldi, 151. Galetès, 191.- Le Grand brak, 215.- La Grotte

des Fées, 14. Guérison d'un aveugle, 326. L'Hirondelle et les

petits oiseaux, 65. L'Ile d'Indret, 336. Les Kabyles, 119 - Leçon

de politesse, 63. La Levrette, 263. - Le Loup et la cigogne, 239.

Le Maître de pension, 359. Le Malabar et le Coromandel, 423.- Le

Mal de mer, 71. - Les Maldives, 310. La Marguerite des prés, 22-

Le Marin de treize ans. 79.- La Martinique, 89. Le Général Martin,

367.- Mazard, 359.- Médisance, 55. - M. l'abbé Méquignon, 15. -

Les Mille et un métiers, le raccommodeur de faïence et de porcelaine,
239; le chasseur de rats, 255. Le Ministre disgracie, 175. Mo-
rale de l'enfance, 15, 23, 31, 39, 47, 135, 143, 159, 175, 199, 207, 215,
423.
Montmaur, 46. Le Musée d'artillerie, 82. - Nantes, 79. - La

Nièce du Sacristain, 30. Nourshivan, 383. - Les Nuages, 199. -

Omasis, 287. L'Omelette du grand Condé, 151. Les Opérations de

l'arithmétique : l'addition, 144; la soustraction, 152; la multipli-

cation, 160; - la division, 168. Les Oueddas, 23. — Paroles de Col-

bert, 47. Parole d'Agésilas, 135.- La Pêche du hareng, 415. - Les

Péruviens, 214. -La Petite fille et le savant, 126.-Le Petit-Poucet, 24,

32, 40, 48.-Pétrarque, 415. - Le Plaideur, 159. Le Plat de perdrix,

103.-Platon aux jeux olympiques, 254.- Le Pont des Soupirs, 343. -

Le Portrait de la sainte Vierge. 14.1 - Le Puits de Fleurac, 62. -Quelques

usages du Malabar. 326. - Le Tailleur déconcerté, 39.-)

- Réponse plai-

sante, 311. Les Repas de Sully, 402.-Les Repas aux Maldives, 103.-

Le Roi et son favori, 167.- Une Rue d'Alger, 304. Les Sacrifices. 391.

-Saint-Étienne du Mont, 7. - Les Serpents du Malabar, 7. - Services

que l'homme tire des animaux, 351. Le singe, le porc et le renard,

126.- Singulier trafic, 295. Les Tigres du Malabar, 274. - Le Trai-

neau renversé, 7. - Trait de Guillaume II, 231. Téniers, 343. - Un
Tremblement de terre à Tongres, 343. Les Trianons, 248.- Trouville,
217. Les Tuileries en 1799, 274. La Vache d'Yani, 207. Le Van-
nage, 383. La Viande et les os, 39. Les Œufs de Pâques, 16.

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Marianne, 222. Mathilde, 167.
Monsieur l'Indépendant, 293, 301. Monsieur Sans-Gène, 142, 150,

158. -Le Mulet et la chèvre, 229. Olivier, 290, 298, 306, 314, 323,

329, 338, 346.- L'Organiste, 195. L'Orphelin anglais, 45. - L'Or-

phelin et l'orage, 310. Le Pain quotidien, 2, 11. La Partie de

chasse, 37. La Persévérance contre la fortune, 262, 266, 277.- La

Petite Anna, 133. Pierre le niais, 110. Le Portrait d'un père, 394.

Une Promenade de printemps, 341. Une Promenade du calife Ha-

roun-al-Raschid, 251. 258, 267, 275, 284. - Le Rat, la belette, le renard
et le loup, 29. Le Renard et le hérisson, 278. Le Secret de Lucile,
238.- Les Souhaits ridicules, 375. Les Trois mauvais sujets, 62.
Les Trois talismans, 354. 362. - Véracité, 45. Le Vieux loup, 322.
- Le Vivier, 386. Un voleur qui avait des ailes, 118.

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