Philosophie et lois de l'histoire |
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... suppose celle de son antithèse qui la limite et la dé- finit ; toutes deux forment donc un ensemble dans lequel l'une suppose toujours l'autre , la synthèse . Méthode peu sérieuse . Ou la synthèse ne renferme que notre connaissance de ...
... suppose celle de son antithèse qui la limite et la dé- finit ; toutes deux forment donc un ensemble dans lequel l'une suppose toujours l'autre , la synthèse . Méthode peu sérieuse . Ou la synthèse ne renferme que notre connaissance de ...
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... suppose tou- jours un rapport d'idées formées , un ju- gement donné . Un rapport quelconque de deux choses étant donné , nous le nions , tantôt parce que nos perceptions ou con- naissances ne nous permettent pas de le saisir , tantôt ...
... suppose tou- jours un rapport d'idées formées , un ju- gement donné . Un rapport quelconque de deux choses étant donné , nous le nions , tantôt parce que nos perceptions ou con- naissances ne nous permettent pas de le saisir , tantôt ...
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... suppose encore le premier principe de connaissance , mais que celui- ci ne nous donne pas non plus . Ce n'est que par l'action spontanée et irréfléchie du troisième principe que nous parvenons à nous former une 6 LA MÉTHODE . 81 ...
... suppose encore le premier principe de connaissance , mais que celui- ci ne nous donne pas non plus . Ce n'est que par l'action spontanée et irréfléchie du troisième principe que nous parvenons à nous former une 6 LA MÉTHODE . 81 ...
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... suppose . Tant que nous ne saisirons pas tous les rapports entre les qualités perçues ou ima- ginées et les qualités fondamentales ; tant que nous ne nous rendrons pas compte de leur raison d'être , nous concluerons né- cessairement à l ...
... suppose . Tant que nous ne saisirons pas tous les rapports entre les qualités perçues ou ima- ginées et les qualités fondamentales ; tant que nous ne nous rendrons pas compte de leur raison d'être , nous concluerons né- cessairement à l ...
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... suppose ; et que nous ne réfléchissons que par ses rapports avec les autres don- nées de la pensée 1 . Comme principe de connaissance , l'espace est l'étendue indéfinie en tous sens ; il ne devient l'immensité infinie que quand nous en ...
... suppose ; et que nous ne réfléchissons que par ses rapports avec les autres don- nées de la pensée 1 . Comme principe de connaissance , l'espace est l'étendue indéfinie en tous sens ; il ne devient l'immensité infinie que quand nous en ...
Contents
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Common terms and phrases
actes attributs beau Bossuet catégories causalité cause libre ception certitude connaissance innée contingence contradiction création croyances d'idées dérivent dernière preuve Descartes désirs innés divine données empiriques effets également éléments engendre entièrement relatif étendue évidemment existence facultés fatal fondamentales des choses générales et abstraites genre humain grandeurs abstraites idées abstraites pures idées générales iden identique incompréhensible infinie et éternelle instinctive intelli intelligence Kant l'absolu l'action l'étendue divisible l'éternité l'Etre l'être absolu l'expérience et l'abstraction l'idée abstraite l'in l'infini Leibnitz lement manière d'être manifestation dans l'espace mathématiques matière ment métaphysique méthode monde extérieur mort la mort négation organiques panthéisme pensée pensons perception percevons perfection philosophie Platon pouvons principe de connaissance produit prouver pur et infini qualités fondamentales qualités inconnues qualités nécessaires qualités perçues raison d'être réalité réfléchissons renferme RIDAL rien Saint-Esprit sance science directe science parfaite serait sible Spinoza tautologie tence théisme tion tiques toute-puissance Trinité chrétienne valeur objective vérité vrai
Popular passages
Page 122 - ... Car, en effet, celles qui me représentent des substances sont sans doute quelque chose de plus, et contiennent en soi, pour ainsi parler, plus de réalité objective, c'est-à-dire participent par représentation à plus de degrés d'être ou de perfection que celles qui me représentent seulement des modes ou accidents. De plus, celle par laquelle je conçois un Dieu souverain, éternel, infini, immuable, tout connaissant, tout-puissant, et créateur universel de toutes les choses qui sont...
Page 121 - ... mais les considérant comme des images, dont les unes représentent une chose et les autres une autre, il est évident qu'elles sont fort différentes les unes des autres.
Page 123 - Dieu existe : car encore que l'idée de la substance soit en moi de cela même que je suis une substance, je n'aurais pas néanmoins l'idée d'une substance infinie , moi qui suis un être fini, si elle n'avait été mise en moi par quelque substance qui fût véritablement infinie.
Page 63 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 120 - Je fermerai maintenant les yeux, je boucherai mes oreilles, je détournerai tous mes sens, j'effacerai même de ma pensée toutes les images des choses corporelles, ou du moins, parce qu'à peine cela se peut-il faire, je les réputerai comme vaines et comme fausses...
Page 63 - Elles ont leurs droits séparés : l'une avoit tantôt tout l'avantage; ici l'autre règne à son tour. Mais comme les sujets de cette sorte sont proportionnés à la portée de l'esprit, il trouve une liberté tout entière de s'y étendre : sa fécondité inépuisable produit continuellement, et ses inventions peuvent être tout ensemble sans...
Page 15 - Que si les notions mêmes, qui sont comme la base de l'édifice, sont confuses et extraites des choses au hasard, tout ce qu'on bâtit ensuite sur un tel fondement ne peut avoir de solidité. Il ne reste donc d'espérance que dans la véritable induction.
Page 68 - Les lois, immuables, universelles , sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses, comme dit Montesquieu; ou bien, de simples perceptions devenues idées générales et formulées dans tous leurs rapports.
Page 15 - Que si les notions mêmes qui sont la base de « l'édifice sont confuses et abstraites des choses au hasard, « tout ce qu'on bâtit ensuite sur un tel fondement ne peut « avoir de solidité ; il ne reste donc d'espérance que dans
Page 62 - Mais de longtemps sans doute, ni les forces ni les prétentions de la spéculation individuelle n'en donneront l'exacte formule ; la synthèse c'est le génie. Sa découverte restera aux efforts lents et pénibles d'autres générations.