Jordano Bruno, Volume 2Ladrange, 1847 |
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... mouvement pathétique de la physionomie et du geste . Dans les moments où cette ivresse orageuse s'éveille à la présence de quelque noble objet , tel que le spectacle du gouvernement de la divinité dans l'univers , les es- quisses de ...
... mouvement pathétique de la physionomie et du geste . Dans les moments où cette ivresse orageuse s'éveille à la présence de quelque noble objet , tel que le spectacle du gouvernement de la divinité dans l'univers , les es- quisses de ...
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... mouvement même de sa dialec- tique , la marche de son génie allant à la découverte , à l'établissement de la vérité par la destruction de l'erreur . A l'époque de la Renaissance , le plus grand nombre des partisans de Platon employait ...
... mouvement même de sa dialec- tique , la marche de son génie allant à la découverte , à l'établissement de la vérité par la destruction de l'erreur . A l'époque de la Renaissance , le plus grand nombre des partisans de Platon employait ...
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... mouvements dramatiques , par la fougue du principal orateur , par la variété des détails , et même par les licences du langage . Si l'auteur les avait com → posés vingt ans plus tard , s'il avait daigné les relire et les retoucher , c ...
... mouvements dramatiques , par la fougue du principal orateur , par la variété des détails , et même par les licences du langage . Si l'auteur les avait com → posés vingt ans plus tard , s'il avait daigné les relire et les retoucher , c ...
Page 75
... mouvement du monde et la marche des saisons ; Bruno propose d'introduire une sorte d'ordre moral dans l'antique système des astéris- mes , en substituant aux noms de divinités justement méprisables , les noms des qualités et des mérites ...
... mouvement du monde et la marche des saisons ; Bruno propose d'introduire une sorte d'ordre moral dans l'antique système des astéris- mes , en substituant aux noms de divinités justement méprisables , les noms des qualités et des mérites ...
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... mouvement , sur l'univers ; enfin , c'est lui qui fit reculer la science naturelle et 1 Onorio , mot moitié grec , moitié italien ( vos et rio ) , signifie méchant âne . 2 Là il but , comme dit Rabelais ( prologue de Pantagruel ) , « à ...
... mouvement , sur l'univers ; enfin , c'est lui qui fit reculer la science naturelle et 1 Onorio , mot moitié grec , moitié italien ( vos et rio ) , signifie méchant âne . 2 Là il but , comme dit Rabelais ( prologue de Pantagruel ) , « à ...
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Common terms and phrases
absolue âme Aristote atque attributs Bacon Bruno c'est-à-dire Campanella cause choses circa conceptions connaissance contempler Copernic corps d'Aristote dæmon Dante Démocrite Descartes Deus développement dialogues Dieu dieux distinction distingue divinité doctrine doit Eroici furori esprit éternelle existence faculté forme genre Hegel Héraclite idées identique intellectuelle ital italiens Jupiter kabbale l'âme du monde l'art l'autre l'esprit humain l'évidence l'homme l'idée l'infini l'intelligence l'un l'unité l'univers Leibnitz livre logique lui-même Lulle lullisme lumière matière ment métaphysique Minimo Minimum Momus monade morale nature naturelle Nolain non-seulement notions objets omnia ouvrage Paracelse Parménide pensée perfection péripatéticiens Pétrarque philosophie physique Platon platonicien Plotin poète principe Proclus puissance Pythagore qu'un quæ quod raison rationis réalité rerum sagesse saurait savoir Schelling science scolastique semble sens sensus serait seulement soleil Sophie sorte Spaccio sphère Spinosa substance sunt suprême système tantôt théorie tion unité universelle vérité voilà Waldhausen XVIe siècle
Popular passages
Page 273 - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 273 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés...
Page 30 - C'est par cette raison que ceux qui écrivent comme ils parlent, quoiqu'ils parlent très-bien, écrivent mal : que ceux qui s'abandonnent au premier feu de leur imagination prennent un ton qu'ils ne peuvent soutenir; que ceux qui craignent de perdre des pensées isolées, fugitives, et qui écrivent en...
Page 28 - Enfin, il faut prendre les pays comme ils sont : quand je suis en France, je fais amitié avec tout le monde; en Angleterre, je n'en fais à personne; en Italie, je fais des compliments à tout le monde; en Allemagne, je bois avec tout le monde.
Page 273 - Et le dernier, de faire partout des dénombrements si entiers et des revues si générales, que je fusse assuré de ne rien omettre.
Page 398 - Être sans attributs, force sans providence, Exerçant au hasard une aveugle puissance; Vrai Saturne, enfantant, dévorant tour à tour ; Faisant le mal sans haine et le bien sans amour; N'ayant pour tout dessein qu'un éternel caprice ; Ne commandant ni foi, ni loi, ni sacrifice ; Livrant le faible...
Page 260 - Ainsi toute la philosophie est comme un arbre, dont les racines sont la métaphysique, le tronc est la physique et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences...
Page 148 - ... voilà le secret et le triomphe de l'art. Plus notre raison adopte les procédés et les voies de cette raison souveraine qui est à la fois ce qui est compris et ce qui comprend, plus nous sommes en état de comprendre l'ensemble des choses. Qui voit et possède cette unité, possède tout ; qui n'a pu parvenir à cette unité, n'a rien saisi. Que tout ce qui respire loue et bénisse l'être infini, cause, principe, unité et tout.
Page 21 - ... plusieurs autres questions métaphysiques, un très-grand nombre de questions de physique, et notre siècle lui a des obligations infinies pour les vérités qu'il nous a découvertes. » Sur l'accord de la foi et de la raison...
Page 398 - N'ayant pour tout dessein qu'un éternel caprice; » Ne commandant ni foi, ni loi, ni sacrifice; » Livrant le faible au fort et le juste au trépas, » Et dont la raison dit : Est-il? ou n'est-il pas?