Oeuvres complètes de Voltaire. Tome premiere. [-, Volume 1; Volume 66De Imprimerie de la Société littéraire-typographique., 1785 |
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Abbeville affez affurer ainfi Alteffe féréniffime Apollon auffi avez beau bontés bufte c'eft c'eſt cauſe charmé chofes choſe confédérés conferver confolation connaiffances Correfp crois d'Etallonde daigne défire deftin Dieu digne duc de Virtemberg DURO efprit eftime eſt êtes fage fainte fans doute fanté faurait favez FÉDÉRIC fefait femble fens fentimens fera fervir feul fiècle fincère foit font fouhaite fous fouvent fouverains fuis fujet furtout Galatin génie gloire héros HESSE-CASSEL homme j'ai j'en j'ofe jamais jéfuites jufqu'à jufte juſtice l'efprit l'Europe l'honneur laiffe LANDGRAVE LETTRE long-temps Louis XIV MADAME LA MARGRAVE Majefté Majeſté margrave miniftres Monfieur mont Jura Morival Moustapha n'eft n'eſt ouvrages paffé paffion parler patriarche de Ferney penfer penſe perfonne perfuadé philofophe de Sans-fouci plaifir poffible Pologne Potſdam préfent prince princeffe propofé Pruffe Pruffiens puiffe raiſon refpect refte Ruffie s'eft ſes Siléfie SIRE Suiffe talens Vale Velches vieux malade Voilà VOLTAIRE
Popular passages
Page 123 - Vous chez qui la guerrière audace Tient lieu de toutes les vertus , Concevez Socrate à la place Du fier meurtrier de Clitus ; Vous verrez un roi respectable , Humain, généreux, équitable, Un roi digne de vos autels : Mais , à la place de Socrate , Le fameux vainqueur de l'Euphrate Sera le dernier des mortels.
Page 63 - S'ils n'ont pas cette fois été expulsés de l'Europe, il faut l'attribuer aux conjonctures. Cependant ils ne tiennent plus qu'à un filet; et la première guerre qu'ils entreprendront achèvera probablement leur ruine entière.
Page 61 - On prétend que c'est vous, sire, qui avez imaginé le partage de la Pologne, et je le crois, parce qu'il ya là du génie, et que le traité s'est fait à Potsdam.
Page 302 - Bohême, ce qui aurait été contraire aux principes fondamentaux du gouvernement. Toutes ces raisons valables m'ont fait le paladin de cet ordre. Et j'ai si bien combattu pour lui que je l'ai soutenu, à quelques modifications près, tel qu'il se trouve à présent, sans général, sans troisième vœu, et décoré d'un nouvel uniforme que le pape lui a conféré.