French Course: Or, Theoretical and Practical System of the French Language ; to which are Added Elegant Extracts from the Most Approved French Poets |
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... avez - vous parlé ? ont - ils parlé ? as - tu puni ? a - t - il puni ? as - tu reçu ? as - tu vendu ? a - t - il reçu ? a - t - il vendu ? avons - nous puni ? avons - nous reçu ? avez - vous puni ? ont - ils puni ? avez - vous reçu ...
... avez - vous parlé ? ont - ils parlé ? as - tu puni ? a - t - il puni ? as - tu reçu ? as - tu vendu ? a - t - il reçu ? a - t - il vendu ? avons - nous puni ? avons - nous reçu ? avez - vous puni ? ont - ils puni ? avez - vous reçu ...
Page 58
... Avez - vous la plume ? Oui , j'ai la plume . Monsieur , avez - vous le livre ? Oui , monsieur , j'ai le livre . Madame , ai - je le crayon ? Have you the pen ? Yes , I have the pen . Sir , have you the book ? Yes , sir , I have the book ...
... Avez - vous la plume ? Oui , j'ai la plume . Monsieur , avez - vous le livre ? Oui , monsieur , j'ai le livre . Madame , ai - je le crayon ? Have you the pen ? Yes , I have the pen . Sir , have you the book ? Yes , sir , I have the book ...
Page 59
... Avez - vous une écritoire ? Ai - je la cire ? Ont - ils les bougies ? Ont - ils le chandelier ? Avez - vous les chandeliers ? Avez - vous le mot ? Avez - vous le premier mot ? Have you an inkstand ? Have I the sealing - wax ? Have they ...
... Avez - vous une écritoire ? Ai - je la cire ? Ont - ils les bougies ? Ont - ils le chandelier ? Avez - vous les chandeliers ? Avez - vous le mot ? Avez - vous le premier mot ? Have you an inkstand ? Have I the sealing - wax ? Have they ...
Page 61
... Avez - vous vu le château du roi ? Oui , monsieur , j'ai vu le château du roi . Ai - je vu le cheval de la reine ? Avez - vous le fusil du prince ? Ai - je les clous du charpentier ? Avez - vous le marteau du charpen- tier ? Ont - ils ...
... Avez - vous vu le château du roi ? Oui , monsieur , j'ai vu le château du roi . Ai - je vu le cheval de la reine ? Avez - vous le fusil du prince ? Ai - je les clous du charpentier ? Avez - vous le marteau du charpen- tier ? Ont - ils ...
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... vous de son malheur ? Parlent - ils de notre voyage ? Avez - vous peur de votre cheval ? Ai - je peur de leurs chevaux ? Ont - ils peur de votre chien ? Voyez - vous le clocher de cette église ? Cherchez - vous le manteau de ce ca ...
... vous de son malheur ? Parlent - ils de notre voyage ? Avez - vous peur de votre cheval ? Ai - je peur de leurs chevaux ? Ont - ils peur de votre chien ? Voyez - vous le clocher de cette église ? Cherchez - vous le manteau de ce ca ...
Common terms and phrases
a-t-il long-temps acheté adjective adverb agree Ai-je Aimez-vous Allez-vous apples Aurez-vous avez Avez-vous body book brother cheval chien children cidre COMPOUND Comptez-vous CONJUGATION Connaissez-vous cousin cuisinier doit-il enfants Est-ce est-il êtes-vous EXERCISE fait-il father feminine femme first followed following French frère friend fusil garçon gender give good gourdes great Have you heure homme horse IMPERFECT INFINITIVE Irez-vous IRREGULAR VERBS know l'air last LEÇON make matelots matin N'ai-je N'avez-vous n'est-il N'ont-ils neither never night caps not your noun number parl-é parlé participle PAST pensez-vous père person peur placed pleasure plural preposition present PRETERIT pronoun pun-i read reç-u regimen repent same seen sister soir soldats sont-ils soon speak subj SUBJUNCTIVE substantive take tenses thing think those thou time used va-t-il vend-u veut-il Voulez-vous wish woman word would write yesterday you have you wish your brother yours
Popular passages
Page 367 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 354 - De France! O mon pays, sois mes amours Toujours ! Te souvient-il que notre mère Au foyer de notre chaumière Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère, Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux? Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore, Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnait le retour Du jour?
Page 383 - Tu dis; et les cieux parurent, Et tous les astres coururent Dans leur ordre se placer. Avant les siècles tu règnes ; Et qui suis-je, que tu daignes Jusqu'à moi te rabaisser? Le Verbe, image du Père, Laissa son trône éternel, Et d'une mortelle mère , Voulut naître homme et mortel. Comme l'orgueil fut le crime Dont il naissait la victime, II dépouilla sa splendeur, Et vint pauvre et misérable, Apprendre à l'homme coupable Sa véritable grandeur.
Page 377 - Qui, brûlants et priants, demandent chaque jour, Et prêchent la retraite au milieu de la cour; Qui savent ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices, Et, pour perdre quelqu'un, couvrent insolemment De l'intérêt du ciel leur fier ressentiment...
Page 377 - De qui la sacrilège et trompeuse grimace Abuse impunément et se joue à leur gré De ce qu'ont les mortels de plus saint et sacré ; Ces gens qui, par une âme à l'intérêt soumise, Font de dévotion métier et marchandise, Et veulent acheter crédit et dignités A prix de faux clins d'yeux et...
Page 367 - ... l'erreur ; Ton bras n'est point armé d'un glaive destructeur, Ton front n'est point cruel, ton œil n'est point perfide; Au secours des douleurs un Dieu clément te guide ; Tu n'anéantis pas, tu délivres : ta main, Céleste messager, porte un flambeau divin; Quand mon œil fatigué se ferme à la lumière...
Page 366 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que...
Page 367 - Je te salue, ô Mort! libérateur céleste. Tu ne m'apparais point sous cet aspect funeste Que t'a prêté longtemps l'épouvante ou l'erreur ; Ton bras n'est point armé d'un glaive destructeur; Ton front n'est point cruel, ton œil n'est point perfide; Au secours des douleurs un Dieu clément te guide ; Tu n'anéantis pas, lu délivres; ta main, Céleste messager, porte un flambeau divin.
Page 376 - Qui soient plus à priser que les parfaits dévots, Aucune chose au monde et plus noble...
Page 388 - L'abondance eut donné le loisir de se nuire , La mollesse amena la fausse vanité. Chacun chercha pour plaire un visage emprunté : Pour éblouir les yeux, la fortune arrogante Affecta d'étaler une pompe insolente; L'or éclata partout sur les riches habits ; On polit l'émeraude, on tailla le rubis, Et la laine et la soie, en cent façons nouvelles ', Apprirent à quitter leurs couleurs naturelles.