Chrestomathie française: Littérature de l'adolescence. 6. éd. Bale, J.G. Neukirch; Lausanne, G. Bridel, 1855G. Bridel, 1855 - French literature |
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... force qui les multiplie , soit dans les ressources qui lui en tiennent lieu ; les causes de cette richesse doivent être recherchées , ses effets étudiés ; il faut chercher si le nombre des mots accuse exactement le degré de la culture ...
... force qui les multiplie , soit dans les ressources qui lui en tiennent lieu ; les causes de cette richesse doivent être recherchées , ses effets étudiés ; il faut chercher si le nombre des mots accuse exactement le degré de la culture ...
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... force et la faiblesse d'esprit tiennent beaucoup à la manière de voir les choses . Je ne me suis senti du courage et de la constance , que du moment que j'ai regardé tout ceci comme un jeu du sort . J'ai été le plus voluptueux des rois ...
... force et la faiblesse d'esprit tiennent beaucoup à la manière de voir les choses . Je ne me suis senti du courage et de la constance , que du moment que j'ai regardé tout ceci comme un jeu du sort . J'ai été le plus voluptueux des rois ...
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... forces . Point de flatterie , interrompit - il , mon ami . Je sais que je puis tomber tout d'un coup . A mon âge on commence à sentir les infirmités , et les ... force ordinaire , et que je devrais me reposer , 10 NARRATIONS FICTIVES .
... forces . Point de flatterie , interrompit - il , mon ami . Je sais que je puis tomber tout d'un coup . A mon âge on commence à sentir les infirmités , et les ... force ordinaire , et que je devrais me reposer , 10 NARRATIONS FICTIVES .
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Alexandre Rodolphe Vinet. force ordinaire , et que je devrais me reposer , je te le déclare tout net , tu perdrais avec mon amitié la fortune que je t'ai pro- mise . Tel serait le fruit de ta sotte discrétion . ! Don Fernand de Leyva se ...
Alexandre Rodolphe Vinet. force ordinaire , et que je devrais me reposer , je te le déclare tout net , tu perdrais avec mon amitié la fortune que je t'ai pro- mise . Tel serait le fruit de ta sotte discrétion . ! Don Fernand de Leyva se ...
Page 12
... force des pré- cédents . Ne pensez - vous pas cela comme moi ? Ces paroles firent pâlir mon maître , qui me dit avec un sou- ris forcé Monsieur Gil Blas , cette pièce n'est donc pas de votre goût ? Je ne dis pas cela , monseigneur ...
... force des pré- cédents . Ne pensez - vous pas cela comme moi ? Ces paroles firent pâlir mon maître , qui me dit avec un sou- ris forcé Monsieur Gil Blas , cette pièce n'est donc pas de votre goût ? Je ne dis pas cela , monseigneur ...
Common terms and phrases
AGAMEMNON ALCESTE âme anacoluthe ANTIGONE Antioche Athalie beau beauté Bélisaire Bernard de Jussieu bonheur Bossuet brillant bruit Buffon chants charme cher chose chrétienne Chrysostome Cicéron ciel cieux cœur consolation Démosthène déserts Dieu dieux dire discours divine donner douleur doux ÉGISTHE Égypte éloquence enfants enfin ennemis esprit éternelle Eurydice fleurs flots flotte force fortune Gaïnas Gelimer génie gloire Grecs Hélas heureux hommes humaine idées j'ai jamais JOAD joie jour jugement l'âme l'éloquence l'esprit l'homme l'univers laisse langue larmes Lemonnier loin lois Louis XIV main maître malheureux MÉROPE monde mort mortel mourir nature noble nuit OEDIPE ORONTE parler paroles passe pensée père permis de tuer peuple plaisir pleurs poëte POLYPHONTE porte premier prince princesse qu'un quelquefois raison regards reste rien rivage rochers rois Rome russe saint sais sang semble sentiment serait seul siècle soleil sort souvent temple terre tombeau triste trouve vaisseau vanité vérité vertu voilà voix Voltaire yeux
Popular passages
Page 223 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 19 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'étais nu, et vous m'avez revêtu ; j'étais malade , et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venu à moi.
Page 420 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur la tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 445 - Tremble , m'at-elle dit , fille digne de moi. « Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. « Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, * Ma fille.
Page 149 - Je vois ces effroyables espaces de l'univers qui m'enferment, et je me trouve attaché à un coin de cette vaste étendue, sans que je sache pourquoi je suis plutôt placé en ce lieu qu'en un autre, ni pourquoi ce peu de temps qui m'est donné à vivre m'est assigné à ce point plutôt qu'à un autre de toute l'éternité qui m'a précédé et de toute celle qui me suit. Je ne vois que des infinités de toutes parts, qui m'enferment comme un atome, et comme une ombre qui ne dure qu'un instant sans...
Page 401 - Mais elle était du monde où les plus belles choses Ont le pire destin, Et, rosé, elle a vécu ce que vivent les rosés L'espace d'un matin.
Page 351 - En cela, comme en tout, le ciel qui nous conduit, Racine, fait briller sa profonde sagesse. Le mérite en repos s'endort dans la paresse ; Mais par les envieux un génie excité Au comble 'de son art est mille fois monté ; Plus on veut l'affoiblir, plus il croît et s'élance.
Page 225 - Quand une lecture vous élève l'esprit, et qu'elle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l'ouvrage; il est bon, et fait de main d'ouvrier.
Page 189 - Les peuples d'Europe ayant exterminé ceux de l'Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l'Afrique , pour s'en servir à défricher tant de terres. Le sucre serait trop cher , si l'on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves. Ceux dont il s'agit sont noirs depuis les pieds jusqu'à la tête j et ils ont le nez si écrasé , qu'il est presque impossible de les plaindre.
Page 141 - Entre les deux chutes s'avance une île creusée en dessous, qui pend avec tous ses arbres sur le chaos des ondes. La masse du fleuve qui se précipite au midi s'arrondit en un vaste cylindre, puis se déroule en nappe de neige et brille au soleil de toutes les couleurs; celle qui tombe au levant descend dans une ombre effrayante ; on dirait une colonne d'eau du déluge.