| Johann von Castillon - 1772 - 586 pages
...etres perdijfeni leurs effences pour lui ; il faudrait qu'il rfeitt plus de fenfibilité phyfique , qu'il ne connût plus ni le bien ni le mal, ni le plaifir ni la douleur. Mais dés lors il ne ferait plus en etat de fe conferver ni de rendre fdn exigence... | |
| Bergier (M., Nicolas-Sylvestre) - Materialism - 1772 - 456 pages
...êtres perdiflent leur eflence pour lui ; il fau» droit qu'il n'eût plus de fenfibilité phyfique, » qu'il ne connût plus ni le bien , ni le mal, ni » le plaifir , ni la douleur « (i). Fauffetc & contradiâion. La prétendue action générale de la Nature... | |
| Philippe Louis Gérard - 1801 - 508 pages
...contraire, les évène* » On nous dit que , pour gue l'homme fût libre, il faudrait qu'il ne connût ni le bien ni le mal , ni le plaisir, ni la douleur. C'est précisément tout le contraire. Un homme insensible ne sauroit vouloir; un homme qui ne veut... | |
| Claude François Nonnotte - 1818 - 912 pages
...leurs essences pour lui, il faudroit » qn'il n'eût plus de sensibilité physique, » qu'il ne connût ni le bien , ni le mal , ni » le plaisir, ni la douleur. » Y eut-il jamais un bavardage aussi ridicule que celui que présentent ces mots : partie nécessaire... | |
| Paul Heinrich D. freiherr von Holbach - 1821 - 1044 pages
...peu fondée que soit cette opinion , «ïont tout devrait nous détromper , elle passe aujonrd'hui, dans l'esprit d'un grand nombre de personnes , très-éclairées...rendre son existence heureuse; tous les êtres devenus indifférais pour lui, il n'aurait plus de choix , il ne saurait plus ce qu'il doit aimer ou craindre... | |
| abbé Bergier - 1838 - 396 pages
...concourir à son action générale.... il » faudrait que tous les êtres perdissent leur essence » pour lui ; il faudrait qu'il n'eût plus de sensibilité...le bien ni le » mal, ni le plaisir, ni la douleur ('). » Fausseté et contradiction. La prétendue action générale de la Nature est démentie par... | |
| César-Guillaume de La Luzerne - Theology - 1855 - 656 pages
...iexercice. C'est donc une ridicule assertion d'un fataliste, de dire, •< que, pour que l'homme tôt libre, il faudrait qu'il n'eût plus de sensibilité physique;...le bien, ni le mal, ni le. plaisir, ni la douleur. » Au contraire, pour que l'homme puisse choisir entre le bien et le mal, entre le plaisir et la douleur,... | |
| Jean-Baptiste Duvoisin - 1856 - 1440 pages
...cl de concourir à son action générale... Il faudrait que lous les êtres perdissent leur essence pour lui ; il faudrait qu'il n'eût plus de sensibilité...connût plus ni le bien, ni le mal, ni le plaisir, ni ladouleur.il faudrait qu'il pûl vouloir ou choisir sans molifs, ou qu il pût empêcher les motifs... | |
| Claude Francois Regnier - 1857 - 614 pages
...p. 305) : cite, pour que l'homme fût libre, il faudrait que tous les êtres perdissent leur essence pour lui ; il faudrait qu'il n'eût plus de sensibilité physique, qu'il ne connût plu* ni le biennile mal, ni le plaisir ni la douleur. (Ibid., c. 11, p. 289.) X. Que devons-nous donc... | |
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