Le pays Basque, sa population, sa langue, ses moeurs sa litterature et sa musique

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Didot freres, 1857 - Basque literature - 547 pages
 

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Popular passages

Page 208 - La rime n'est pas riche, et le style en est vieux; Mais ne voyez-vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets, dont le bon sens murmure, Et que la passion parle là toute pure? Si le Roi m'avait donné Paris, sa grand'ville, Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie, Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris, J'aime mieux ma mie, au gué!
Page 208 - Pour les trouver ainsi vous avez vos raisons; Mais vous trouverez bon que j'en puisse avoir d'autres Qui se dispenseront de se soumettre aux vôtres.
Page 207 - La poésie populaire et purement naturelle a des naïfvetez et grâces , par où elle se compare à la principale beauté de la poésie parfaicte , selon l'art ; comme il se veoid...
Page 17 - Labourt les villageois et villageoises les plus gueux se font appeller sieurs et daines d'une telle maison, qui sont les maisons que chacun d'eux a en son village, quand ce ne seroit qu'un parc à pourceaux. Or...
Page 157 - A l'égard des arbres, des pierres et des fontaines, où quelques insensés vont allumer des chandelles et pratiquer d'autres superstitions, nous ordonnons que cet usage...
Page 481 - Le plus beau livre qui soit sorti de la main des hommes, puisque l'Évangile n'en est pas.
Page 170 - Les filles, les femmes mariées , les veuves , les jeunes et les vieilles portent des habits différens, soit dans les cérémonies funèbres, soit dans celles des noces, soit aux processions. Leurs tailleurs ne sont que pour leur usage et pour celui du pays de Labourd : si l'on...
Page 206 - Un béret bleu, dit-il, une veste courte et rouge, un gilet blanc, des culottes blanches ou de velours noir, forment son habillement. Il porte la jarretière lâche, des bas blancs de fil ou de laine, des souliers ou des spartilles de chanvre, un mouchoir de soie au cou, négligeamment pendant sur l'épaule, le tout proprement ajusté.
Page 170 - Le langage de ces peuples est fort singulier, et les habits de leurs femmes ne le sont pas moins : elles en ont pour chaque âge et pour chaque état. Les filles, les femmes mariées , les veuves , les jeunes et les vieilles portent des habits différens, soit dans les cérémonies funèbres, soit dans celles des noces, soit aux processions.
Page 170 - ... leur deffault. Et en Labourt les femmes montrent leur derrière tellement que' tout l'ornement de leurs cotillons plissez est derrière, et afin qu'il soit vu elles retroussent leur robbe, et la mettent sur la teste et se couvrent jusqu'aux yeux (1). » Ce même l'ait se trouve retracé dans le Voyage d'Espagne d'Aarssens de Sommerdyck déjà cité par M.

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