Ainsi en tant que nous recevons nos perfections finies des siennes qui sont infinies, nous en sommes affectés immédiatement. Et c'est ainsi que notre esprit est affecté immédiatement par les idées éternelles qui sont en Dieu, lorsque notre esprit... Essai sur la philosophie de Duns Scot - Page 91by Émile Claude Armand Pluzanski de Radwan - 1888 - 296 pagesFull view - About this book
| Gottfried Wilhelm Freiherr von Leibniz - Philosophy - 1839 - 390 pages
...perfections finies des siennes qui sont infinies, nous en sommes affectés immédiatement. Et c'est ainsi que notre esprit est affecté immédiatement par les idées éternelles qui sont en Dieu, lorsque notre esprit a des pensées qui s'y rapportent, et qui en partieipent. Et c'est dans ce sens... | |
| M. Nourrisson - 1860 - 528 pages
...perfections finies des siennes, qui sont infinies, nous en sommes affectés immédiatement. Et c'est ainsi que notre esprit est affecté immédiatement par les idées éternelles qui sont en- Dieu, lorsque notre esprit a des pensées qui s'y rapportent et qui en participent. Et c'est dans ce sens... | |
| Karl Werner - Scholasticism - 1861 - 994 pages
...toerben; bie toirfenbe Urfaфe beefeiben aber fann йuвfфíteбliф nur in ber ') Et c'est ainsi que notre esprit est affecté immédiatement par les idées éternelles qui sont en Dieu, lorsque notre esprit a des pensées qui s'y rapportent, et qui en participent. Et c'est dans ce sens... | |
| E. Pluzanski - 1887 - 316 pages
...fr. tome Ier, p. 26. — Le môme auteur, tout en soutenant une vive polémique contre Pontologisme [maintenant abandonné] de l'Université de Louvain...un fruit naturel du péripatétisme. Si Aristote en effet rejette la théorie platonicienne de la réminiscence, Dieu n'en est pas moins pour lui le premier... | |
| E. Pluzanski - 1888 - 318 pages
...de l'âme est une participation de l'Etre divin. » De la Lumière subjective, '1° 15. — OEuvres philosophiques, trad. fr. tome Ier, p. 26. — Le...un fruit naturel du péripatétisme. Si Aristote en effet rejette la théorie platonicienne de la réminiscence, Dieu n'en est pas moins pour lui le premier... | |
| Emilienne Naert - Philosophy - 2012 - 260 pages
...perfections finies des siennes qui sont infinies, nous en sommes affectés immédiatement. Et c'est ainsi que notre esprit est affecté immédiatement par les idées éternelles qui sont en Dieu, lorsque notre esprit a des pensées qui s'y rapportent, et qui en participent. Et c'est dans ce sens... | |
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