Nos hôtes avaient bien la mine de charbonniers ; mais la maison, vous l'eussiez prise pour un arsenal ; ce n'étaient que fusils, pistolets , sabres, couteaux , coutelas. Tout me déplut, et je vis bien que je déplaisais aussi; mon camarade, au contraire... Œuvres de P.L. Courier: précédées de sa vie - Page 480by Paul-Louis Courier - 1863 - 605 pagesFull view - About this book
| Paul-Louis Courier - 1828 - 514 pages
...Tout me déplut, et je vis bien que je déplaisais aussi; mon camarade, au contraire : il était de la famille, il riait, il causait avec eux ; et par une...dit d'abord d'où nous venions, où nous allions, que nous étions Français ; imaginez un peu ! chez nos plus mortels ennemis, seuls, égarés, si loin... | |
| French periodicals - 1828 - 686 pages
...me déplut , et je vis bien que je déplaisais aussi ; mon camarade , au contraire : il était de la famille, il riait, il causait avec eux; et par une...prévoir ( mais quoi ! s'il était écrit. . . ), il dit d'ahord d'où nous venions, où nous allions , que nous étions Francais ; imaginez un peu ! chez nos... | |
| French periodicals - 1828 - 688 pages
...me déplut , et je vis bien que je déplaisais aussi; mon camarade, au contraire : il était de la famille, il riait, il causait avec eux; et par une imprudence que j'aurais dû prévoir ( mais quoi l s'il était écrit...), il dit d'abord d'où nous venions, où nous allions , que nous étions Français... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 428 pages
...Tout me déplut, et je vis bien que je déplaisais aussi. Mon camarade, au contraire : il était de la famille, il riait, il causait avec eux; et par une imprudence que j'aurais dû prévoir fmais quoi! s'il était écrit...) il dit d'abord d'où nous venions, où nous allions, qui nous étions;... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...Tout me déplut, et je vis bien que je déplaisais aussi. Mon camarade au contraire: il était de la famille, il riait, il causait avec eux ; et par une imprudence que j'aurais dû prévoir, il dit d'abord d'où nous sommes, où nous allions, qui nous étions ; Français, imaginez un peu !... | |
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...me déplut, et je vis bien que je péplaisais aussi : mon camarade, au contraire : il était de la famille, il riait, il causait avec eux; et, par une...que j'aurais dû prévoir (mais quoi ! s'il était écrit...),il dit d'abord d'où nous venions, où nous allions, que nous étions Français. Imaginez... | |
| Ghewond Hovnanean - French language - 1844 - 472 pages
...Tout me déplut, et je vis bien que je déplaisais aussi; mon camarade, au contraire : il était de la famille, il riait, il causait avec eux; et par une...dit d'abord d'où nous venions , où nous allions , que nous étions Français, imaginez un peu! chez nos plus mortels ennemis, seuls, égarés, si loin... | |
| Edouard Salvador - Authors, French - 1845 - 320 pages
...aussi. Mon camarade, au contraire : il était » de la famille, il riait, il causait avec eux; et .M ..par une imprudence que j'aurais dû prévoir »...étions ; Français , imaginez un peu ! Chez nos » plus cruels ennemis, seuls, égarés, si loin de » tout secours humain! et puis, pour ne rien « omettre... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...Tout me déplut, et je vis bien que je déplaisais aussi. Mon camarade au contraire : il était de la famille, il riait, il causait avec eux; et par une...! s'il était écrit ! ) il dit d'abord d'où nous sommes, où nous allions, qui nous étions; Français , imaginez un peu ! chez nos plus mortels ennemis... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1845 - 482 pages
...Tout me déplut, et je vis bien que je déplaisais aussi. Mon camarade, au contraire: il était de la famille , il riait , il causait avec eux; et par une...quoi ! s'il était écrit... ) , il dit d'abord d'où пои venions, où nous allions, qui nous étions; Français , imaginez un peu 1 chez nos plus moriels... | |
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