 | Joseph Alphonse - 1814 - 560 pages
...par lui-même , est toujours prêt à secourir un être sensible à la voix de la Nature. « II est certain que la pitié est un sentiment naturel , qui...modérant dans chaque individu l'activité de l'amour de soi , augmente l'activité de l'amour de l'humanité , et concourt à la conservation de toute l'espèce... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 656 pages
...halles , qui séparent les combattans , et qui empêchent les honnêtes gens de c'entr'égorger. Il est donc bien certain que la pitié est un sentiment...qui , modérant dans chaque individu l'activité de l'a/noor de soimême , concourt à la conversation mutuelle de tonte l'espèce. C'est elle qui nous... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 368 pages
...halles , qui séparent les combattafls , et qui empêchent les honnêtes gens de s'entr'égorger. Il est donc bien certain que la pitié est un sentiment...l'espèce. C'est elle qui nous porte sans réflexion feu secours de ceux que nous voyons souffrir ; c'est elle qui, dans l'état de nature , tient lieu... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1450 pages
...balles qui séparent les combattons, et qui empêchent les honnêtes gens de s'entr'égorger(*). Il est donc bien certain que la pitié est un sentiment...concourt à la conservation mutuelle de toute l'espèce. C est elle qui nous porte sans réflexion au secours de ceux que nous voyons soufl'rir ; c'est elle... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 pages
...bien certain que la pitié <M un sentiment naturel , qui, modérant «autraïaque individu l'aclivilé de l'amour de soi-même, concourt à la conservation...l'espèce. C'est elle qui nous porte sans réflexion au 1 secours de ceux que nous voyons souffrir; c'est ellequi, dans l'état de nature, lient lieu de lois,... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1852 - 816 pages
...halles qui séparent les combattons, et qui empêchent les honnêtes gens de s'enlre-égorger ('). Il est donc bien certain que la pitié est un sentiment...soi-même, concourt à la conservation mutuelle de loute l'espèce. C'est elle qui nous porte sans réflexion au secours de ceux que nous voyons souffrir;... | |
 | Arthur Schopenhauer - Ethics - 1854 - 494 pages
...énergique , que l'animal spectateur s'identifiera plus intimement avec l'animal souffrant. @. 94. Il est donc bien certain, que la pitié est un sentiment naturel, qui, modérant dans chaque individu l'amour de soi - même , concourt à la conservation mutuelle de toute l'espèce. C'est elle, qui dans... | |
 | Arthur Schopenhauer - Ethics - 1860 - 332 pages
...est donc bien certain, que la pitié est un sentiment naturel, qui, modérant dans chaque individu l'amour de soi-même, concourt à la conservation mutuelle de toute l'espèce. C'est elle, qui dans l'état de nature, tient lieu de lois, de moeurs et de vertus, avec cet avantage, que nul ne sera... | |
 | Jean Jacques Rousseau - 1917 - 530 pages
...les combattants, et qui empêchent les honnêtes gens de s'enlr'égorger *. Il est donc bien ceriain que la pitié est un sentiment naturel, qui, modérant dans chaque individu l'aclivilé de l'amour de soi-même, concourt à la conservation mutuelle de toute l'espèce. C'est... | |
 | Arthur Schopenhauer - 1877 - 510 pages
...énergique, que T'animai spectateur s'identifiera plus intimement avec l'animal souffrant. — @. 94: II est donc bien certain, que la pitié est un sentiment naturel, qui, modérant dans chaque individu l'amour de soi-même, concourt à la conservation mutuelle de toute l'espèce. C'est elle, qui dans... | |
| |
H est donc bien certain que la pitié est un sentiment naturel, qui, modérant dans chaque individu l'activité de l'amour de soi-même, concourt à la conservation mutuelle de toute l'espèce. 
