La littérature française de la jeunesse, Volumes 2-31830 |
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... passa à l'étude des lois de la physique ; il fit des observations sur la pesanteur de l'air , qui étonnèrent , parce qu'il en résulta des découvertes à l'infini . Cet ouvrage porte pour titre : Traités sur l'équi- libre des liqueurs et ...
... passa à l'étude des lois de la physique ; il fit des observations sur la pesanteur de l'air , qui étonnèrent , parce qu'il en résulta des découvertes à l'infini . Cet ouvrage porte pour titre : Traités sur l'équi- libre des liqueurs et ...
Page 97
... passa en Sorbonne pour y suivre son cours de théolo- gie . Il entra ensuite à l'Oratoire ; mais aucune des bran- ches de la théologie ne satisfit son esprit . Étant allé par hasard chez un libraire , on lui présenta le Traité de l'hom ...
... passa en Sorbonne pour y suivre son cours de théolo- gie . Il entra ensuite à l'Oratoire ; mais aucune des bran- ches de la théologie ne satisfit son esprit . Étant allé par hasard chez un libraire , on lui présenta le Traité de l'hom ...
Page 115
... passa aux Rochers le temps né- cessaire pour rétablir sa fortune ; puis , en 1654 , elle re- parut dans le monde , où les triomphes de l'esprit , de la beauté et de la sagesse l'attendaient . Elle fut le véritable ornement de l'hôtel de ...
... passa aux Rochers le temps né- cessaire pour rétablir sa fortune ; puis , en 1654 , elle re- parut dans le monde , où les triomphes de l'esprit , de la beauté et de la sagesse l'attendaient . Elle fut le véritable ornement de l'hôtel de ...
Page 124
... passa sa vie entière à épurer la langue et la lit- térature de son pays ; à chaque ouvrage qui paraissait , il it était là , l'épée de justice d'une main , la balance de l'autre , mesurant le vers , pesant la période et la phrase ...
... passa sa vie entière à épurer la langue et la lit- térature de son pays ; à chaque ouvrage qui paraissait , il it était là , l'épée de justice d'une main , la balance de l'autre , mesurant le vers , pesant la période et la phrase ...
Page 125
... passa par la Sorbonne pour arriver au Parnasse . Sa première satire , les Adieux à Paris , annonça ce qu'on pouvait attendre de son talent . Pour apprécier la correction du style et l'élé- gante versification qu'on trouve déjà dans ...
... passa par la Sorbonne pour arriver au Parnasse . Sa première satire , les Adieux à Paris , annonça ce qu'on pouvait attendre de son talent . Pour apprécier la correction du style et l'élé- gante versification qu'on trouve déjà dans ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 555 - Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu ! c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Page 621 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 143 - Que si je ne suis né pour de si grands projets, Du moins que les ruisseaux m'offrent de doux objets! Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie! La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie, Je ne dormirai point sous de riches lambris; Mais voit-on que le somme en perde de son prix?
Page 500 - Ton Dieu que tu trahis, ton Dieu que tu blasphèmes, Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes; En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres ; Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
Page 55 - Tout l'univers est plein de sa magnificence : Qu'on l'adore ce Dieu, qu'on l'invoque à jamais ! Son empire a des temps précédé la naissance ; Chantons, publions ses bienfaits. UNE voix, seule. En vain l'injuste violence Au peuple qui le loue imposerait silence : Son nom ne périra jamais.
Page 143 - Solitude, où je trouve une douceur secrète, Lieux que j'aimai toujours, ne pourrai-je jamais Loin du monde et du bruit goûter l'ombre et le frais?
Page 82 - Nous avons beau enfler nos conceptions au delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C'est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part.
Page 196 - Avouons-le, on sent la force et l'ascendant de ce rare esprit, soit qu'il prêche de génie et sans préparation, soit qu'il prononce un discours étudié et oratoire, soit qu'il explique ses pensées dans la conversation: toujours maître de l'oreille et du cœur de ceux qui l'écoutent, il ne leur permet pas d'envier ni tant d'élévation, ni tant de facilité, de délicatesse, de politesse.
Page 127 - Mais l'homme, sans arrêt dans sa course insensée, Voltige incessamment de pensée en pensée : Son cœur, toujours flottant entre mille embarras, Ne sait ni ce qu'il veut ni ce qu'il ne veut pas.
Page 324 - Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes, parce que, si nous les supposions des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous-mêmes chrétiens.