Œuvres complètes de Lamartine: Histoire de la restaurationL'auteur, 1862 |
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âme armée armes avaient Bourbons Bourdonnaie Bourmont c'était cabinet Casimir Périer chambre des pairs Chantelauze Charles Charles X charte château Chateaubriand clergé cœur collègues comte d'Artois conscience conseil coup d'État cour couronne crime députés devant dévouement dit-il duc d'Angoulême duc d'Orléans duc de Bordeaux duchesse d'Angoulême duchesse de Berri dynastie esprit factions famille royale Fayette fidélité force fortune frère garde nationale gloire gouvernement Grèce guerre hommes jeune jour journaux l'armée l'Église l'esprit l'opinion l'opposition Laffitte laisser larmes libéraux liberté Louis XVIII lui-même madame du Cayla main maison maréchal Marmont Martignac ment ministres monarchie monsieur de Chateaubriand mort Mortemart n'avait négociations Odilon Barrot officiers Ottomans palais paroles pensée peuple Peyronnet politique populaire pouvait premier presse prince de Polignac princesses publique Ranville règne religion républicains restauration révolution révolutionnaire royauté s'était sacerdotal Saint-Cloud sang secret Semonville sentiment seul soldats tion Trianon tribune trône troupes Tuileries Villèle Vitrolles voiture vote voulait XXII
Popular passages
Page 306 - Mais ces maximes ont une autre sanction plus positive encore, celle de la Charte elle-même. L'article 14 a investi Votre Majesté d'un pouvoir suffisant, non sans doute pour changer nos institutions, mais pour les consolider et les rendre plus immuables. « D'impérieuses nécessités ne permettent plus de différer l'exercice de ce pouvoir suprême ; le moment est venu de recourir à des mesures qui rentrent dans l'esprit de la Charte, mais qui sont en dehors de l'ordre légal, dont toutes les...
Page 142 - J'ai voulu marquer, en rompant un long silence, ma vive opposition au principe théocratique qui menace à la fois la religion et la société, d'autant plus odieux que ce ne sont pas, comme aux jours de la barbarie et de l'ignorance, les fureurs sincères d'un zèle trop ardent qui rallument cette torche.
Page 133 - Je veux que la cérémonie de mon sacre termine la première session de mon règne. Vous assisterez, messieurs, à cette auguste cérémonie. Là, prosterné au pied du même autel où Clovis reçut l'onction sainte, et en présence de celui qui juge les peuples et les rois, je renouvellerai le serment de maintenir et de faire observer les...
Page 303 - L'expérience, Sire, parle plus hautement que les théories. Des hommes éclairés sans doute, et dont la bonne foi, d'ailleurs, n'est pas suspecte, entraînés par l'exemple mal compris d'un peuple voisin, ont pu croire que les avantages de la presse périodique en balanceraient les inconvénients, et que ses excès se neutraliseraient par des effets contraires.
Page 429 - Vous aurez donc, en votre qualité de lieutenant général du royaume, à faire proclamer l'avènement de Henri V à la couronne. Vous prendrez d'ailleurs toutes les mesures qui vous concernent pour régler les formes du gouvernement pendant la minorité du nouveau Roi. Ici je me borne à faire connaître ces dispositions : c'est un moyen d'éviter encore bien des maux.
Page 429 - V à la couronne. Vous prendrez d'ailleurs toutes les mesures qui vous concernent pour régler les formes du gouvernement pendant la minorité du nouveau Roi. Ici je me borne à faire connaître ces dispositions : c'est un moyen d'éviter encore bien des maux. « Vous communiquerez mes intentions au corps diplomatique, et vous me ferez connaître le plus tôt possible la proclamation par laquelle mon petit-fils sera reconnu Roi sous le nom de Henri V.
Page 295 - La dernière Chambre des députés a méconnu mes intentions. J'avais droit de compter sur son concours pour faire le bien que je méditais ; elle me l'a refusé ! Comme père de mon peuple , mon cœur s'en est affligé ; comme roi, j'en ai été offensé.
Page 304 - ... sans doute immolés aux vengeances populaires. La presse périodique n'a pas mis moins d'ardeur à poursuivre de ses traits envenimés la religion et le prêtre. Elle veut, elle voudra toujours déraciner, dans le cœur des peuples, jusqu'au dernier germe des sentimens religieux.
Page 430 - ... c'est un moyen d'éviter encore bien des maux. Vous communiquerez mes intentions au corps diplomatique, et vous me ferez connaître le plus tôt possible la proclamation par laquelle mon petit-fils sera reconnu Roi sous le nom de Henri V. Je charge le lieutenant général vicomte de Foissac-Latour de vous remettre cette lettre.
Page 176 - A l'avenir, il ne s'imprimera plus une ligne en France, je le veux; une frontière d'airain nous préservera de la contagion étrangère, à la bonne heure. Mais il ya longtemps que la discussion est ouverte dans le monde entre le bien et le mal...