Œuvres complètes de Condillac: Histoire moderneDufart, 1803 |
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alliés ambassadeurs Anglais armée armes Auguste auroient auroit avoient avoit avoit besoin Basile Gallitzin Boristhène Bourdelot boyars Charles Gustave Charles XII Christine commencer confédérés conférences connoître couronne czar avoit czar Pierre Danemarck déclara demandoit dessein devoient devoit donner donnoit duc de Savoie duchés ennemis états étoient étoit eût faisoient faisoit falloit foible forces Frédéric fût général gouvernement guerre Guillaume Haye Hollande Holstein jugeoit l'Angleterre l'électeur l'empereur l'Europe Léopold Livonie lorsqu'il Louis XIV maison d'Autriche maison de Bourbon maître maréchal Marlborough ment Mentzikof mer Baltique mille hommes ministres monarchie d'Espagne Moscou n'avoit n'étoit Narva nation négociation pagne paix paroissoit peuples Philippe Pologne pouvoient pouvoit prétexte prince Eugène proposoit provinces puissances régner reine république restoit Riswyck rois royaumes de Naples Russes s'étoient sances secours seroient seroit Sleswick Sophie strélitz succès Suède Suédois Tartares tion Torci traité de partage traité de Westphalie trône troupes trouvoit venoit vouloient vouloit voyoient voyoit Whigs
Popular passages
Page 139 - ... plus touchant. Le Roi éprouva pour lors que l'état d'un monarque maître absolu d'un grand royaume n'est pas toujours l'état le plus heureux et le plus à souhaiter : il sentit que s'il étoit au-dessus des autres hommes, il étoit aussi...
Page 158 - La volonté des alliés, dirent-ils, est que le Roi « se charge ou de persuader au roi d'Espagne, ou de « le contraindre lui seul, et par ses seules forces, « de renoncer à toute sa monarchie. » (Ils rejetèrent toute proposition de les aider à faire la guerre au roi Philippe.) « L'argent, ni la jonction des troupes fran...
Page 136 - ... guerre avoit commencé. Le Roi donnoit alors ses ordres sur les bords du Danube, du Tage et du Pô : on n'auroit pas cru qu'après quelques années il eût été réduit à défendre l'intérieur de son royaume, même obligé d'examiner s'il pourroit demeurer en sûreté dans le lieu de son séjour ordinaire.
Page 95 - Il fallait passer sur le ventre à toutes ces troupes avant que d'arriver devant le camp, qui était muni d'un rempart et d'un double fossé. Le roi de Suède avait débarqué à Pernaw, dans le golfe de Riga, avec environ seize mille hommes d'infanterie , et un peu plus de quatre mille chevaux. De Pernaw il avait précipité sa marche jusqu'à Revel, suivi de toute sa cavalerie, et seulement de quatre mille fantassins.
Page 114 - Ce fut donc dans ce terrain désert et marécageux, qui ne communique à la terre ferme que par un seul chemin, qu'il jeta* les premiers fondements de Pétersbourg, au soixantième degré de latitude et au quarante-quatrième et demi de longitude.
Page 138 - ... touché de ses peines intérieures que de la souffrance de ses peuples, toujours occupé des moyens de la soulager, et de terminer la guerre. A peine...
Page 230 - le Prince qui est le plus proche de la couronne en est héritier de toute nécessité; que c'est un héritage qu'il ne reçoit ni du roi son prédécesseur, ni de la loi; de sorte que, lorsqu'un roi vient à mourir, l'autre lui succède immédiatement sans demander le consentement de personne; qu'il succède non comme héritier, mais comme le maître du royaume dont la seigneurie lui appartient, non par...
Page 139 - ... à propos de lui imposer. Le chancelier enchérit encore sur cette cruelle peinture ; et tous deux, s'adressant au ministre de la guerre comme à celui des finances, les pressèrent de dire à Sa Majesté, en ministres fidèles, s'ils croyoient, connoissant particulièrement l'état des troupes et des finances , qu'il lui fût possible de soutenir les dépenses, et prudent de s'exposer aux hasards de la campagne.
Page 230 - ... n'est obligé de sa couronne ni à la volonté de son prédécesseur, ni à aucun édit, ni à aucun décret, ni à la libéralité de qui que ce soit...
Page 10 - Le traité régloit le partage à faire, en cas de mort du roi d'Espagne, des Etats dépendant de sa couronne : précaution jugée nécessaire pour maintenir le repos de l'Europe. Selon ce partage, M. le Dauphin devoit avoir les royaumes de Naples et de Sicile, les places dépendantes de la couronne d'Espagne situées sur les côtes de Toscane, le marquisat de Final et la province de Guipuscoa. Le prince électoral de Bavière, fils de l'électeur, étoit désigné pour régner sur l'Espagne et les...