...solitude, j'avais des heures quelquefois penibles a passer; si nous allions dans le monde, j'y etais aimee de gens dont je m'apercevais que quelques-uns pourraient trop me toucher : je me plongeai dans le travail avec mon mari, autre exces qui cut son inconvenient ; je 1'habituai h. ne savoir se passer de moi pour...

..., joint à celui de vingt années plus que moi , rendait de trop l'une de ces deux supériorités. Si nous vivions dans la solitude , j'avais des heures...pourraient trop me toucher : je me plongeai dans le travail avec mon mari, autre excès qui eut son inconvénient; je l'habituai à ne savoir se passer de moi...

..., joint à celui de vingt années plus que moi , rendait de trop l'une de ces deux supériorités. Si nous vivions dans la solitude , j'avais des heures...quelques-uns pourraient trop me toucher : je me plongeai dajis le travail avec mou mari, autre excès qui eut son inconvénient; je l'habituai à ne savoir...

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...dominateur, joint à celui de vingt années plus que moi, rendait de trop l'une de ces deux supériorités. Si nous vivions dans la solitude , j'avais des heures...pourraient trop me toucher : je me plongeai dans le travail avec mon mari, autre excès qui eut son inconvénient ; je l'habituai à ne savoir se passer de moi...

...dominateur, joint à celui de vingt années plus que moi, rendait de trop l'une de ces deux supériorités. Si nous vivions dans la solitude , j'avais des heures...pourraient trop me toucher : je me plongeai dans le travail avec mon mari, autre excès qui eut son inconvénient; je l'habituai à ne savoir se passer de moi...

...celui de vingt années plus que moi , rendait de trop l'une de ces deux supériorités. Si nous vivioos dans la solitude , j'avais des heures quelquefois....pourraient trop me toucher : je me plongeai dans le travail avec mon mari , autre excès qui eut son inconvénient ; je l'habituai à ne savoir se passer de moi...

...ces deux supériorités. Si nous vivions dans la solitude, j'avais des heures quelquefois pénibles a passer ; si nous allions dans le monde , j'y étais...pourraient trop me toucher : je me plongeai dans le travail avec mon mari , autre excès qui eut son inconvénient ; je l'habituai à ne savoir se passer de moi...

...superior! te's. Si » nous vivions dans la solitude, j'an vais des heures quelquefois péni» bits à passer ; si nous allions dans » le monde, j'y étais aimée de gens » dont je m apercevais que quel» ques-uns pourraient me toucher. » Je me plongeai dans le travail » de mon...

...des natures. C'est elle-même qui fait sa confession. « Si nous vivions dans la solitude, dit-elle, j'avais des heures quelquefois pénibles à passer;...pourraient trop me toucher. Je me plongeai dans le travail avec mon mari : autre excès qui eut son inconvénient; je l'habituai à ne savoir se passer de moi...