Il aimait, il estimait le commerce, parce qu'il le regardait comme la source de la richesse ; je le détestais, parce qu'il était à mes yeux celle de l'avarice et de la friponnerie. Mon père sentait bien que je ne pouvais agréer ce qui tient à des... Histoire des Girondins - Page 17by Alphonse de Lamartine - 1847 - 295 pagesFull view - About this book
| 1820 - 512 pages
...commencèrent à se développer des différences qui n'ont plus fait que s'accroître entre mon père et moi. Il aimait, il estimait le commerce, parce qu'il le regardait comme la source de la richesse; je le détestais , parce qu'il était à mes yeux celle de l'avarice et de la friponnerie. Mon père... | |
| French revolution, 1789 - 1820 - 520 pages
...à se développer des différences qui n'ont plus fait que s'accroître entre mon père et moi. 11 aimait, il estimait le commerce, parce qu'il le regardait comme la source de la richesse; je le détestais, parce qu'il était à mes yeux celle de l'avarice et de la friponnerie . Mon père... | |
| Madame Roland - France - 1821 - 450 pages
...commencèrent à se développer des différences qui n'ont plus fait que s'accroître entre mon père et moi. Il aimait , il estimait le commerce , parce qu'il le regardait comme la source de la richesse ; je le détestais, parce qu'il était à mes yeux celle de l'avarice et de la friponnerie. Mon père... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1821 - 458 pages
...commencèrent à se développer des différences qui n'ont plus fait que s'accroître entre mon père et moi. Il aimait , il estimait le commerce , parce qu'il le regardait comme la source de la richesse ; je le détestais, parce qu'il était à mes yeux celle de l'avance et de la friponnerie. Mon père... | |
| Roland (Madam) - France - 1840 - 682 pages
...commencèrent à se développer des différences qui n'ont plus fait que s'accroître entre mon père et moi. Il aimait , il estimait le commerce , parce qu'il le regardait comme la source de la richesse ; je le détestais , parce qu'il était à mes yeux celle de l'avarice et de la friponnerie. Mon père... | |
| France - 1847 - 540 pages
...commencèrent à se développer des différences qui n'ont plus fait que s'accroître entre mon père et moi. Il aimait, il estimait le commerce, parce qu'il le regardait comme la source de la richesse ; je le détestais, parce qu'il était à mes yeux celle de l'avarice et de la friponnerie. Mon père... | |
| Alphonse de Lamartine - 1861 - 528 pages
...prétendants à sa main. Son père voulait la marier dans la classe à laquelle il appartenait lui-môme. Il aimait, il estimait le commerce, parce qu'il le...analogues aux siens. Son idéal était une âme et non une'fortune. « Nourrie dès mon enfance dans le commerce des grands hommes de tous les âges, familiarisée... | |
| Madame Roland - France - 1864 - 388 pages
...commencèrent à se développer des différences qui n'ont plus fait que s'accroître entre mon père et moi. Il aimait, il estimait le commerce, parce qu'il le regardait comme la source de la richesse ; je le détestais, parce qu'il était à mes yeux celle de l'avarice et de la friponnerie. Mon père... | |
| Alphonse de Lamartine - 1865 - 438 pages
...autels, travailler pour Dieu. Telle est la confession qu'elle fait elle-même de son changement. VI. Cependant cette jeune fille attirait déjà de nombreux...siens. Son idéal était une âme et non une fortune. o Nourrie dès mon enfance dans le commerce des grands hommes de tous les âges, familiarisée avec... | |
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