... baisait l'image ; Ses longs cheveux épars flottaient au gré des vents ; Au pied de l'échafaud, sans changer de visage, Elle s'avançait à pas lents. Tranquille elle y monta. Quand, debout sur le faîte, Elle vit ce bûcher qui Fallait dévorer,... Oeuvres complètes de P.-L. Courier - Page 280by Paul-Louis Courier - 1834Full view - About this book
| 1819 - 640 pages
...fattc , Elle vit ce bûcher qui Fallait dévorer , Les bourreaux en suspens , la flamme déjà prête , Sentant son cœur faillir, elle baissa la tête, Et se prit à pleurer. Là , commence un hymne de douleur. Ah ! pleure , Glle infortunée . Ta jeunesse va se flétrir , Par... | |
| Art and literature - 1819 - 636 pages
...faîto , Elle vit ce bûcher qui Fallait dévorer , Les bourreaux en suspens , la flamme déjà prête , Sentant son cœur faillir, elle baissa la tête, . Et se prit à pleurer. Là , commence un hymne de douleur. Ah ! pleure , fille infortunée , Ta jeunesse va se flétrir ,... | |
| Casimir Delavigne - 1823 - 220 pages
...faîte, Elle vit ce bûcher qui fallait dévorer , Les bourreaux en suspens , la flamme déja prête , Sentant son cœur faillir , elle baissa la tête , Et se prit à pleurer. Ah ! pleure , fille infortunée ! Ta jeunesse va se flétrir Dans sa fleur trop tôt moisonnée ! .... | |
| Paul-Louis Courier - Political science - 1826 - 408 pages
...comme ils disent) des antichambres de Pitti. Ariane, ma sœur, de quel amour blessée , n'est point une phrase de marquis ; mais nos laboureurs chantent...faillir!, elle baissa la tête Et se prit à pleurer (i), n'a point trouvé cela certes dans les salons ; il s'exprime en poète : pouvait-il mieux ? jamais,... | |
| Paul-Louis Courier - Political science - 1826 - 408 pages
...sœur, de quel amour blessée , n'est point une phrase de marquis ; niais nos laboureurs chantent : feru de ton amour , je ne dors nuit ni jour. C'est la même...faillir], elle baissa la tête Et se prit à pleurer (i) , n'a point trouvé cela certes dans les salons ; il s'exprime en poète : pouvait-il mieux? jamais,... | |
| Paul-Louis Courier - 1828 - 460 pages
...bleste'e , n'est point une phrase de marquis; mais nos laboureurs chantent :feru de ton amour, je ne dort nuit ni jour. C'est la même expression. L'autre qui...faillir , elle baissa la tête Et se prit à pleurer (i). (i) Casimir Delavigne. n'a point trouvé cela certes dans les salons ; il s'exprime en poète... | |
| M. J. Janin - French poetry - 1829 - 326 pages
...faite Elle vit le bûcher qui Fallait dévorer, Les bourreaux en suspens , la flamme déjà pri"tc , Sentant son cœur faillir, elle baissa la tête , Et se prit à pleurer. Ah! pleure, fille infortunée, Ta jeunesse va se flétrir Dans sa fleur trop tôt moissonnée ! Adieu... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1831 - 754 pages
...blessée, n'est point une phrase de marquis; mais HOs laboureurs chantent -.feru de ton amour, je ne don nuit ni jour. C'est la même expression. L'autre, qui dit de Jeanne : Sentant s0u cœur faillir, elle baissa ta IêU; JîI se prit à pleurer *, n'a point trouvé cela certes dans... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 446 pages
...sœur, de quel amour blessée , n'est point une phrase de marquis ; mais nos laboureurs chantent : feru de ton amour, je. ne dors nuit ni jour- C'est la même...Jeanne : Sentant son cœur faillir , elle baissa la télé Et se prit à pleurer '. n'a point trouvé cela certes dans les salons ; il s'exprime en poète... | |
| François Noel - 1835 - 596 pages
...faîte, Elle vit ce bûcher qui l'alloit dévorer , Les bourreaux en suspens, la flamme déjà prête, et le Corrége; Ah ! pleure, fille infortunée ! Ta jeunesse va se flétrir, Dans sa fleur trop tôt moissonnée! Adieu... | |
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