Fables de La Fontaine: avec des notes historiques, mythologiques et grammaticales, à l'usage des colléges et des écolesJ. Munroe & cie., 1841 - 336 pages |
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... Enfin , cette édition - ci des Fables de l'immortel bonhomme est mise au jour spécialement pour la jeunesse américaine des États - Unis , à qui elle est dédiée cordialement ; avec le souhait ardent , que le travail et les soins qu'elle ...
... Enfin , cette édition - ci des Fables de l'immortel bonhomme est mise au jour spécialement pour la jeunesse américaine des États - Unis , à qui elle est dédiée cordialement ; avec le souhait ardent , que le travail et les soins qu'elle ...
Page xiv
... Enfin , on doit éviter dans la poésie la rencontre des voyelles qui ne s'élident pas . Boileau en a donné la règle dans ces deux vers : Gardez qu'une voyelle , à courir trop hâtée , Ne soit d'une voyelle en son chemin heurtée . Telles ...
... Enfin , on doit éviter dans la poésie la rencontre des voyelles qui ne s'élident pas . Boileau en a donné la règle dans ces deux vers : Gardez qu'une voyelle , à courir trop hâtée , Ne soit d'une voyelle en son chemin heurtée . Telles ...
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... Enfin il avait trouvé un tempérament : c'était de choisir des fables - ( 1 ) Ces fables étaient connues depuis long - temps lorsque So- crate vint au monde . ( 2 ) Le savant M. Thurot a prouvé que le mot Musique , en grec ...
... Enfin il avait trouvé un tempérament : c'était de choisir des fables - ( 1 ) Ces fables étaient connues depuis long - temps lorsque So- crate vint au monde . ( 2 ) Le savant M. Thurot a prouvé que le mot Musique , en grec ...
Page xxi
... Enfin les mo- dernes les ont suivis : nous en avons des exemples non seulement chez les étrangers , mais chez nous . Il est vrai que lorsque nos gens y ont travaillé , la langue était si différente de ce qu'elle est , qu'on ne les doit ...
... Enfin les mo- dernes les ont suivis : nous en avons des exemples non seulement chez les étrangers , mais chez nous . Il est vrai que lorsque nos gens y ont travaillé , la langue était si différente de ce qu'elle est , qu'on ne les doit ...
Page xxiv
... enfin le ciel et la terre , de même aussi , par les raisonnements et conséquences que l'on peut tirer de ces fables , on se forme le jugement et les mœurs , on se rend capable de grandes choses . Elles ne sont pas seulement morales ...
... enfin le ciel et la terre , de même aussi , par les raisonnements et conséquences que l'on peut tirer de ces fables , on se forme le jugement et les mœurs , on se rend capable de grandes choses . Elles ne sont pas seulement morales ...
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Adieu animaux Apollon baudet beau belette belle berger bête brebis C'était cent cerf chasseur chat Chauve-Souris cheval Chèvre chien chose ciel cœur conte corbeau Cormoran coup crut déesse Dieu dieux dire dit-il donne doux Ellipse encens enfants enfin Ésope esprit FABLE IV FABLE VII FABLE XV fais femme fille fils Fontaine fortune fourmi gens grec Grenouilles homme J'ai J'en jeune jour Junon Jupiter l'aigle l'âne l'animal l'autre l'homme l'oiseau l'ours L'un laisse lapin lièvre lion logis Louis XIV loup maint maître manger messieurs mieux monde mort mouche mouton n'en oiseaux passer pauvre peine père peuple Phèdre Pilpay plaisir poét poisson prendre prince qu'à qu'un queue raison renard repartit rien rime rime féminine rime masculine s'en sage seigneur sera serpent seul singe sire soin sort souris Styx tête Tircis tortue trésor troupeau trouve Ulysse veux vient voilà voleurs zéphyrs
Popular passages
Page 143 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 12 - Comment l'aurais-je fait si je n'étais pas né ? Reprit l'agneau ; je tette encor ma mère. — Si ce n'est toi, c'est donc ton frère. — Je n'en ai point. — C'est donc quelqu'un des tiens ; Car vous ne m'épargnez guère, Vous, vos bergers, et vos chiens. On me l'a dit : il faut que je me venge.
Page 24 - Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.» Comme il disait ces mots. Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 122 - Il est velouté comme nous, Marqueté, longue queue, une humble contenance; Un modeste regard, et pourtant l'œil luisant: Je le crois fort sympathisant Avec messieurs les rats; car il a des oreilles En figure aux nôtres pareilles. Je l'allais aborder, quand d'un son plein d'éclat L'autre m'a fait prendre la fuite.
Page 49 - L'invention des arts étant un droit d'aînesse, Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner. La feinte est un pays plein de terres désertes; Tous les jours nos auteurs y font des découvertes.
Page 99 - J'oppose quelquefois, par une double image, Le vice à la vertu, la sottise au bon sens, Les agneaux aux loups ravissants, La mouche à la fourmi, faisant de cet ouvrage Une ample comédie à cent actes divers, Et dont la scène est l'univers.
Page 3 - II ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le renard s'en saisit, et dit : 'Mon bon monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l'écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute.
Page 218 - Amants , heureux amants, voulez-vous voyager; Que ce soit aux rives prochaines. Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau , Toujours divers , toujours nouveau ; Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste.
Page 143 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait ? Nulle offense ; Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut ; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.
Page 155 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son; II était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable ; J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeau ? Perrette là-dessus saute aussi, transportée.