Quelques fables choisies, mises en vers patois limousin, par J. Foucaud, avec le texte français, Volume 1 |
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Page 120
... cent peuples divers . Quel droit vous a rendus maîtres de l'univers ? Pourquoi venir troubler une innocente vie ? Nous cultivions en paix d'heureux , champs : et nos mains Etaient propres aux arts ainsi qu'au labourage . Qu'avez - vous ...
... cent peuples divers . Quel droit vous a rendus maîtres de l'univers ? Pourquoi venir troubler une innocente vie ? Nous cultivions en paix d'heureux , champs : et nos mains Etaient propres aux arts ainsi qu'au labourage . Qu'avez - vous ...
Page 157
... ; Quis pouléîs , coumo dé rosou Trouboran - bé doréï méyjou Pèr viàuré càüco bogotello . • L'ofochodi 15 dé bla , dé blodiü , 16 dé froumén , Loû nuriro certénomén , O Achetait un cent d'œufs , faisait triple couvée : La ( 157 )
... ; Quis pouléîs , coumo dé rosou Trouboran - bé doréï méyjou Pèr viàuré càüco bogotello . • L'ofochodi 15 dé bla , dé blodiü , 16 dé froumén , Loû nuriro certénomén , O Achetait un cent d'œufs , faisait triple couvée : La ( 157 )
Page 158
Jean de La Fontaine. Achetait un cent d'œufs , faisait triple couvée : La chose allait à bien par son soin diligent . Il m'est , disait - elle , facile D'élever des poulets autour de ma maison : } Le renard sera bien habile S'il ne m'en ...
Jean de La Fontaine. Achetait un cent d'œufs , faisait triple couvée : La chose allait à bien par son soin diligent . Il m'est , disait - elle , facile D'élever des poulets autour de ma maison : } Le renard sera bien habile S'il ne m'en ...
Page 174
... cent têtes . Ce qu'il n'entreprend pas , et ce qu'il entreprend , * ( 1 ) En bas . I ( 2 ) En haut . ( 3 ) Irritez . ( 4 ) Leurs enfans . XXX . L'Éycorobisso é so Fillo : YCOROBISSO lo maï ( 174 ) Marchent à reculons, tournent le dos au ...
... cent têtes . Ce qu'il n'entreprend pas , et ce qu'il entreprend , * ( 1 ) En bas . I ( 2 ) En haut . ( 3 ) Irritez . ( 4 ) Leurs enfans . XXX . L'Éycorobisso é so Fillo : YCOROBISSO lo maï ( 174 ) Marchent à reculons, tournent le dos au ...
Page 176
... Cent dieux sont impuissans contre un seul Jupiter . Louis et le Destin me semble de concert Entraîner l'univers . Venons à notre fable . Mère écrevisse un jour à sa fille disait : Comme tu vas , bon dieu ! ne peux - tu marcher droit ...
... Cent dieux sont impuissans contre un seul Jupiter . Louis et le Destin me semble de concert Entraîner l'univers . Venons à notre fable . Mère écrevisse un jour à sa fille disait : Comme tu vas , bon dieu ! ne peux - tu marcher droit ...
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Quelques Fables Choisies, Mises En Vers Patois Limousin, Par J. Foucaud ... Jean De La Fontaine No preview available - 2018 |
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Common terms and phrases
Anén argén béléü béü béüta Bouey boun bouno càüco càücu càüqué châz chobas coum-un coumo counté countén créü d'àû D'ovéy d'uno dàu dẻ dé lâs dé lo dé sé dé soun dé tou dé-ségur dégu dîré dîs lou dissèt doun dous éï énté Éntré esséy éyro éyta Fables faï fâs fàu fogio forço forio fuguèt gran guèz ïàü jomaï loû lou boun-diü Lou Lioun lou moundé lou pûs Lou Rénar lour màï Mâs mâs pèr màü méï méymo Miréîs mojesta moun n'éï n'ey N'io nén nôtréîs noturo noû pàu pàubré pèr lou pèr sé Pesto péyzan piti pitito prémiéz pûs qu'àu qu'éï qu'ey Qu'eyro Quan qué lo quéü quîs quouéy ré dé rosou Rouméns sàï sẻ ségur séï séy siran sirio siro soû sount tan-qué-tan terro têto toù tou lou toun touto vàï vàu vàûtréîs vèi-qui véy véyqui véyré viéï
Popular passages
Page 42 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait ? Nulle offense ; Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut ; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.
Page 58 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 200 - Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner.
Page 24 - Sire, répond l'Agneau, que votre Majesté Ne se mette pas en colère ; Mais plutôt qu'elle considère Que je me vas désaltérant Dans le courant, Plus de vingt pas au-dessous d'Elle, Et que par conséquent, en aucune façon, Je ne puis troubler sa boisson.
Page 40 - Plus d'amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : «Mes chers amis, Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune ; Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux, Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 38 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 96 - Tel fruit, tel arbre, pour bien faire. C'est dommage, Garo, que tu n'es point entré Au conseil de celui que prêche ton curé ; Tout en eût été mieux : car, pourquoi, par exemple, Le gland, qui n'est pas gros comme mon petit doigt, Ne pend-il pas en cet endroit ? Dieu s'est mépris.
Page 56 - Le chêne un jour dit au roseau : "Vous avez bien sujet d'accuser la nature : Un roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 138 - PERRETTE, sur sa tête ayant un pot au lait Bien posé sur un coussinet, Prétendait arriver sans encombre à la ville. Légère et court vêtue, elle allait à grands pas, Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, 5 Cotillon simple et souliers plats.
Page 44 - Ainsi dit le renard; et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du tigre, ni de l'ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses. Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient de petits saints.