Œuvres, avec notes par m. de Levizac, Volume 21804 |
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... main , Vous portâtes la mort jusque sur leurs murailles . Ce jour presque éclaira vos propres funérailles : Titus vous embrassa mourant entre mes bras , Et tout le camp vainqueur pleura votre trépas . Voici le temps , seigneur , où vous ...
... main , Vous portâtes la mort jusque sur leurs murailles . Ce jour presque éclaira vos propres funérailles : Titus vous embrassa mourant entre mes bras , Et tout le camp vainqueur pleura votre trépas . Voici le temps , seigneur , où vous ...
Page 25
... main eut fermé sa paupière , De mon aimable erreur je fus désabusé ; Je sentis le fardeau qui m'étoit imposé ; Je connus que bientôt , loin d'être à ce que j'aime , Il falloit , cher Paulin , renoncer à moi - même ; Et que le choix des ...
... main eut fermé sa paupière , De mon aimable erreur je fus désabusé ; Je sentis le fardeau qui m'étoit imposé ; Je connus que bientôt , loin d'être à ce que j'aime , Il falloit , cher Paulin , renoncer à moi - même ; Et que le choix des ...
Page 26
... main pour essuyer mes larmes ; Et ne prévoit rien moins , dans cette obscurité , Que la fin d'un amour qu'elle a trop mérité . Enfin , j'ai ce matin rappelé ma constance : Il faut la voir , Paulin , et rompre le silence . J'attends ...
... main pour essuyer mes larmes ; Et ne prévoit rien moins , dans cette obscurité , Que la fin d'un amour qu'elle a trop mérité . Enfin , j'ai ce matin rappelé ma constance : Il faut la voir , Paulin , et rompre le silence . J'attends ...
Page 27
... main à les sécher est long - temps occupée . Enfin tout ce qu'amour a de nœuds plus puissans , Doux reproches , transports sans cesse renaissans , Soin de plaire sans art , crainte toujours nouvelle , ACTE II , SCENE II . 27.
... main à les sécher est long - temps occupée . Enfin tout ce qu'amour a de nœuds plus puissans , Doux reproches , transports sans cesse renaissans , Soin de plaire sans art , crainte toujours nouvelle , ACTE II , SCENE II . 27.
Page 33
... main peut s'épancher , Vous fuyez mes bienfaits tout prêts à vous chercher ! Pensez - vous qu'obliant ma fortune passée Sur ma seule grandeur j'arrête ma pensée , Et que tous mes amis s'y présentent de loin Comme autant d'inconnus dont ...
... main peut s'épancher , Vous fuyez mes bienfaits tout prêts à vous chercher ! Pensez - vous qu'obliant ma fortune passée Sur ma seule grandeur j'arrête ma pensée , Et que tous mes amis s'y présentent de loin Comme autant d'inconnus dont ...
Common terms and phrases
ACHILLE ACOMAT ACTE ÆGINE AGAMEMNON aime Allez amant âme amour Amurat ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE assez ATALIDE avoit Bajazet Bérénice cacher Calchas CENONE cher chercher CLYTEMNESTRE cœur connois courroux crime cruel dessein dieux dis-je discours douleur enfin ennemi époux ÉRIPHILE esclave étoit expirer falloit fatal fille fils flamme foible foiblesse funeste fureur gloire Grecs haine Hélas héros heureux HIPPOLYTE hymen Ibid IPHIGÉNIE ISMENE j'ai jamais jour juste l'aime l'amour l'autel l'ingrat laisse larmes Lesbos lieux long-temps m'en madame main malheur MITHRIDATE moi-même MONIME mort mortels Mycène Oh ciel OSMIN PANOPE parler paroître PAULIN pensée père perfide péril peut-être Pharnace PHEDRE Phénice PHODIME pleurs pouvoit prince prompt puis-je Racine reine rien rival Romains Rome ROXANE sais sang SCENE secret seigneur sentimens serrail seul soins sort soupirs sultan tendresse THERAMENE Thésée Titus tragédie trépas Trézène triste trouble ULYSSE vais venger veux vœux vois vous-même XIPHARES yeux Zaïre ZATIME
Popular passages
Page 347 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale. Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains. Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée , Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée , Contrainte d'avouer tant de forfaits divers , Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible?
Page 6 - Je les conjure d'avoir assez bonne opinion d'eux-mêmes pour ne pas croire qu'une pièce qui les touche et qui leur donne du plaisir puisse être absolument contre les règles. La principale règle est de plaire et de toucher : toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.
Page 356 - Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé ; Dans les rênes lui-même il tombe embarrassé. Excusez ma douleur ; cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle. J'ai vu, seigneur, j'ai vu votre malheureux fils, Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
Page 321 - Portant partout le trait dont je suis déchiré, Contre vous, contre moi, vainement je m'éprouve : Présente, je vous fuis; absente, je vous trouve; Dans le fond des forêts votre image me suit; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Page 5 - Il y en a qui pensent que cette simplicité est une marque de peu d'invention. Ils ne songent pas qu'au contraire toute l'invention consiste à faire quelque chose de rien...
Page 270 - C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux, Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigne
Page 327 - Au-devant de ton bras je le sens qui s'avance. Frappe : ou si tu le crois indigne de tes coups, Si ta haine m'envie un supplice si doux, Ou si d'un sang trop vil ta main serait trempée, Au défaut de ton bras prête-moi ton épée ; Donne.
Page 311 - Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable. Je péris la dernière et la plus misérable.
Page 235 - L'honneur parle , il suffit; ce sont là nos oracles. Les dieux sont de nos jours les maîtres souverains ; Mais , seigneur , notre gloire est dans nos propres mains.
Page 347 - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu , mon père , à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir , cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille : Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas ! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit : Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie , Je rends dans les...