 | Bernardin de Saint-Pierre - Natural history - 1797 - 464 pages
...s'était passé dans des tems reculés et loin d'eux ; leur curiosité ne s'étendait pas au-delà de cette montagne. Ils croyaient que le monde finissait...n'imaginaient rien d'aimable où ils n'étaient pas. Leur affection mutuelle et celle de leurs mères occupaient toute l'activité de leurs emes. Jamais... | |
 | Jean Baptiste Dugas-Montbel - 1829 - 580 pages
...(t) Ad h. 1. etOd. p', ai. (a) -Tonte lenr étude était de se complaire et de s'entr'aidcr. An « reste ils étaient ignorants comme des créoles , et ne savaient ni lire ni «•écrire.» (Paul et Virg., t. IV des Étnd. de la nat., p. ao, éd. de 1788.) (3) Vid. Hen. Slepb. Thesanr. ling.... | |
 | French literature - 1835 - 488 pages
...coquille. Toute leur étude était de se complaire et de s'entr'aider. Au reste, ils étaient ignorans comme des Créoles , et ne savaient ni lire ni écrire....et loin d'eux ; leur curiosité ne s'étendait pas au-delà de cette montagne ; ils croyaient que le monde finissait où finissait leur île, et ils n'imaginaient... | |
 | Bernardin de Saint-Pierre - French fiction - 1836 - 240 pages
...rappelèrent les enfants de Lëda , enclos sous la même coquille. Toute leur étude était de se complaire et de s'entr'aider. Au reste , ils étaient ignorants...s'était passé dans des temps reculés et loin d'eux j leur curiosité ne s'étendait pas au-delà de cette montagne. Ils croyaient que le monde finissait... | |
 | Jacques Henri Bernardin de Saint-Pierre - 1839 - 528 pages
...les enfants de Léda , enclos sous la même coquille. m Toute leur étude était de se complaire et de s'entr'aider. Au reste, ils étaient ignorants...delà de cette montagne. Ils croyaient que le monde fmissait où fmissait leur Ile , et ils n'imaginaient rien d'aimable où il n'étaient pas. Leur affection... | |
 | Louis Müller - French language - 1840 - 296 pages
...celle qu'il puisait lui-même. (fYW/twi.) Toute l'étude de Paul et Virginie, était de se complaire et de s'entr'aider. Au reste, ils étaient ignorants...comme des créoles, et ne savaient ni lire ni écrire, (ß. de St. Pierre.) Cet homme est bizarre, emporté, du reste, brave et intrépide. (Girard.) Je vous... | |
 | Bescherelle (M., Louis Nicolas) - 1841 - 892 pages
...Philippe montra partout un COURAGE et une PRUDENCE supérieurs a son âge. (RoLLiN.j PAUL et VIRGINIE étaient ignorants comme des créoles, et ne savaient ni lire ni écrire. (BERNARDIN DE ST-PIERBE.) Charles XII , ayant reçu TARGENT et TESCORTE nécessaires pour son retour... | |
 | Bernardin de Saint-Pierre - 1845 - 170 pages
...Léda, enclob dans la même coquille. Toute leur étude était de se complaire et de s'e^itr'aider. Au reste, ils étaient ignorants comme des créoles,...s'inquiétaient pas de ce qui s'était passé dans les temps reculés, et loin d'eux; leur curiosité ne s'étendait pas au delà de cette montagne. Ils... | |
 | Henri Bernardin de Saint-Pierre - 1845 - 172 pages
...les enfants (le Léda, enclos sous la même coquille. Toute leur étude était dî; se complaire et de s'entr'aider. Au reste, ils étaient ignorants comme des créoles et ne savaient ni 8 lire ni écrire. Ils ne s'inquiétaient pas de ce qui s'était passé dans des temps reculés et... | |
 | A. Bonnaire - 1846 - 468 pages
...genres différents, l'attribut se met au masculin, comme le genre le plus noble : « Paul ET Virginie étaient IGNORANTS comme des créoles, et ne savaient ni lire ni écrire. » (BERNARDIN DE SAINT-PIERRE.) — « Dans la Laponic, la ronce, le genièvre ET la mousse sont SEULS... | |
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Toute leur étude était de se complaire et de s'entr'aider. Au reste, ils étaient ignorants comme des créoles, et ne savaient ni lire ni écrire. Ils ne s'inquiétaient pas de ce qui s'était passé dans des temps reculés et loin d'eux; leur curiosité... 
