Œuvres completes de Voltaire, Volume 70 |
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acte Adieu affaire affez aimable aime amis amitié anges auffi aura avez beau belle Berlin bontés Bruxelles c'eft c'eſt cent charmant cher cher ami chofe cœur commence compte COMTE D'ARGENTAL cour crois d'autres d'être demande devait Dieu dire doit donner doute écrire écrit enfin eſt êtes fais fans favez femble fentez fera feul flatte foit font force fous fuis générale gens gloire Haie homme j'ai j'avais jouer jours juge l'abbé l'amitié l'honneur LETTRE livres Louis m'avez madame du Châtelet Mahomet main mandé MARQUIS ment mettre mieux mille miniftre mois monde Monfieur n'ai n'eft n'en nouvelle ouvrage paffer paix paquet parler perfonne petit petite peut-être philofophe pièce plaifir porte pourrait pouvez préfent premier prince Pruffe qu'à qu'un raifon reçu refpects refte reine rendre Richelieu rien rois s'il tendres terre trouve venir vérité veut voilà voudrais voulez voulu
Popular passages
Page 54 - N'y avait-il pas d'autres princes qui contribuèrent à polir et à éclairer le genre humain ? Cependant le nom de Léon X a prévalu parce qu'il encouragea les arts plus qu'aucun autre. Eh...
Page 54 - ... c'est que, malgré un million d'hommes dont il a privé la France, et qui tous ont été intéressés à le décrier, toute l'Europe l'estime, et le met au rang des plus grands et des meilleurs monarques. Nommez-moi donc, milord, un souverain qui ait attiré chez lui plus d'étrangers habiles, et qui ait plus encouragé le mérite dans ses sujets.
Page 11 - On n'a fait que l'histoire des rois , mais on n'a point fait celle de la nation. Il semble que , pendant quatorze cents ans , il n'y ait eu dans les Gaules que des rois, des ministres et des généraux : mais nos mœurs, nos lois, nos coutumes, notre esprit, ne sont-ils donc rien?
Page 55 - Nommez-moi donc, milord, un souverain qui ait attiré chez lui plus d'étrangers habiles, et qui ait plus encouragé le mérite dans ses sujets. Soixante savants de l'Europe reçurent à la fois des récompenses de lui, étonnés d'en être connus.
Page 154 - Ce globe mal connu, qu'il a su mesurer, Devient un monument où sa gloire se fonde; Son sort est de fixer la figure du monde, De lui plaire, et de l'éclairer.
Page 143 - Ses fujets ne comportent pas cette élévation dont ceux que vous traitez font fufceptibles. Vous avez fenti votre talent , comme il a fenti le fien. Vous êtes philofophe , vous voyez tout en grand ; votre pinceau eft fort et hardi.
Page 144 - Je vous prêcherai donc éternellement cet art d'écrire que Despréaux a si bien connu et si bien enseigné, ce respect pour la langue, cette liaison, cette suite d'idées, cet air aisé avec lequel il conduit son lecteur, ce naturel qui est le fruit de l'art, et cette apparence de facilité qu'on ne doit qu'au travail.
Page 55 - Colbert, il veut être votre bienfaiteur ; il m'a commandé de vous envoyer la lettre de change ci-jointe comme un gage de son estime.
Page 57 - Burnet avoue que ce goût, acquis en France par les courtisans de Charles II, réforma chez vous jusqu'à la chaire, malgré la différence de nos religions; tant la saine raison a partout d'empire ! Dites-moi si les bons livres de ce temps n'ont pas servi...
Page 57 - Cayenne en 1672, et sans les mesures de M. Picard, jamais Newton n'eût fait ses découvertes sur l'attraction. Regardez, je vous prie, un Cassini et un Huygens, qui renoncent tous deux à leur patrie qu'ils honorent, pour venir en France jouir de l'estime et des bienfaits de Louis XIV.